Capitalisme

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Entre toutes les merveilles d'un monde d'une modernité inutile mais vaillamment prolixe (qui accoucha du vagin à pile, de la poupée vaudou de président ou du film Camping II de Stanley Kubrick), il en est une plus belle, plus vaste, plus visionnaire, qui englobe toutes les autres et est la seule vraie philosophie réellement nutritive, sous une bonne couche de chocolat Kinder™. Il est intéressant de noter que le Capitalisme est la 1ère religion de France suivie par le Communisme et la Télé-réalité.

Le capitalisme ce sera, suivant votre opposant : un programme avec des agensmith dedans qui accrochent des câbles à nos tétons et à l'arrière de notre crâne ; anal+, un ensemble d'émissions de gaz que seul Emmanuel Chain peut décoder ; un train d'opportunités à prendre en marche ; ou un truc contre quoi son parti il est contre.

Le capitalisme est responsable des merdes qui arrivent partout dans le monde, du réchauffement climatique, de la naissance de la téléréalité, et d'un canard qui veut pas mourir aux États-Unis.

« Les derniers partisans du Front de Gauche se résignent à prendre, après une immense déception aux présidentielles, le train du capitalisme en marche. » On notera qu'il était plus sage d'opter pour cette alternative dès le départ du train, car ces jeunes encourent une amende qui va leur trouer le cul.

Polymorphe, chacun y va de sa petite définition et de son avis sur le sujet, se doutant plus ou moins que tapi dans l'ombre le capitalisme a des oreilles. Chacun y va donc, mais pas trop fort et pas trop loin, et évite soigneusement de mettre ses doigts grantécarnivores dans cette chienlit où se fondent les opinions publiques comme elles le font dans les toilettes du même nom.

Dûment gantés, soulevons donc courageusement ensemble un coin de la burqa qui voile ce tabou millénaire.


Définition

Méconnaissance commun

Jean-Paul Sartre : Bon, alors le capitalisme c'est...chouette, non...sans matière grasse, nonon...J'ai pas d'idée (pour changer)...Tu qualifierais ça comment, Fidel, le capitalisme ?
Fidel Castro : Ben comme chez nous c'est le paradis... C'est l'enfer !
Jean-Paul Sartre : L'enfer ? Mais c'est déjà les autres...
Fidel Castro : Eh ben le capitalisme c'est les autres, lâche moi maintenant...


Rendons-le fidèlement à Fidel, le capitalisme c'est donc les autres. Enfin, pas seulement. C'est aussi nous dans les autres et inversement.
Maçonniquement imbriqués dans ce vaste chantier pioché dans un casque magique, le mûr capital c'est une fenêtre sur l'avenir qui depuis ses fondations nous tracte à la pelle vers un futur en béton.
Un chemin tortueux, équarrissant notre peur musquée des bambous sous les ongles que nous enfile depuis l'empalement des temps notre mère nature.

Vous l'aurez compris, sa définition est difficile, car le capitalisme c'est tantôt du BTP humain à grande échelle, tantôt une partouze internationale d'intérêts échaudés, tantôt de la violence faite sur des petits animaux. Et dans tout ça le capitalisme c'est...tout ça justement.

Effort personnel

Alors, hors toute acception qui ne serait que la redite d'une belle formule poussée très fort à l'extérieur du cloaque[1] d'un énarqueur en manque de renom, NOUS NOUS DEVONS de proposer notre propre définition complète et objective de ce grand pilier du comptoir politique.

Le capitalisme c'est une multitude de petits groupes, forcés de cohabiter par des dirigeants pas bridés qui s'imposent par leur blabla en faisant gonfler les égos dans une démarche de développement précaire


(D'aucuns noteront qu'il s'agit peu ou prou de l'antithèse de quelques uns de nos préjugés sur le communisme, mais historiquement ce n'est pas blâmable alors qu'ils se taisent.)

Tentons maintenant de justifier, à la manière de nos plus audacieux leaders cette proposition que nous venons de formuler sans réfléchir ( ce peut-être un peu lourd alors à la fin on a mis une femme à poil) :

  • multitude de petits groupes : Nous ne pensons pas qu'il soit ici nécessaire d'épiloguer sur l'amitié russo-tchétchène ou sur les bisous israëlo-palestiniens, ni sur les taquineries du gouvernement chinois envers l'espiègle Dalaï-Lama ou sur la grande caméra cachée tournée au Darfour...le sentiment de n'être qu'un seul groupe ne fait pas facilement l'unanimité et l'on a tôt fait d'envoyer son poing dans la gueule de son voisin.
  • forcés de cohabiter : Il suffit de regarder les informations pour s'apercevoir qu'à Jérusalem et dans les autres sanctuaires modernes les relations de voisinages souffrent d'une tension palpable. Pourtant, comme on leur a expliqué que c'était plus ou moins nos ressources qu'il y avait dans leur sol, on ne peut pas nous en blâmer.
  • par des dirigeants pas bridés : Nous estimons que cette précision assure en elle-même une parade contre tout amalgame éventuel avec le communisme. Parce que, et cela n'engage évidemment que l'auteur, « c'est quand même un peu pareil ».
  • qui se sont imposés par leur blabla : On imagine mal Lionel Jospin avec un AK-47 ou notre premier-consul en Ironman d'un mètre soixante-deux. Ils doivent donc nous submerger d'une mélasse faite de bouillasson, d'argot énarque et de versions officielles pour engourdir notre volonté et leur permettre, une fois tout crabe découragé, de se hisser hors du panier.
  • en faisant gonfler les égos : Parce que la voix d'un homme est importante, surtout lorsqu'elle n'est pas élevée par son papa mais placée dans la famille d'une urne.
  • dans une démarche de développement précaire : Bon...cet ajout doit correspondre à un sursaut guevarrien de la conscience de l'auteur, pour qui les pygmées ou les indiens sont des mammifères qu'il faut protéger. Humaniste jusque dans le lapsus, l'auteur de cet article a offert à sa conscience une brève prise de parole. Mais maintenant, qu'elle la ferme de façon définitive.

Cette définition peut ne pas faire, et ne fera très certainement pas, l'unanimité. Mais d'une part elle vient dorénavant d'un article sencyclopédique ce qui lui confère une éminente véracité, et d'autre part il s'avère que celui qui a recherché tous les arguments sus-mentionnés les trouve très convaincants. Nous validons donc (et toc) notre propre production et tenterons, sur cette base, de pénétrer un peu plus à fond le concept qu'il ne nous pénètre chaque jour.

Le capitalisme, c'est aussi la diffusion sur internet de beaucoup de femmes à poil. Cette chaleureuse femme se fait chier à Poil, quelqu'un pour venir l'éteindre ?

Formes de capitalisme

Scarlett a quand même un truc faut dire...certains diront qu'elle en a deux.

Comme Dracaufeu ou Scarlett Johansson, le capitalisme possède plusieurs formes toutes très intéressantes, qui se distinguent les unes des autres suivant que l'on mette l'accent sur une de ses caractéristiques précitées ou sur une autre : un capitalisme haineux (nous préférons ce terme atténué, pour des raisons que vous comprendrez plus tard, à celui d' agressif) mettra l'accent sur Lego™ et le DP (le développement précaire, ndlr) ; un capitalisme gentil (ou péteux) mettra en évidence l'absence de bridé et la cohabitation des groupuscules (qui ne sont pas des séances de sexe en groupe) ; un capitalisme modéré brillera par son absence au journal télé (on dira en regardant ses yeux qu'il prend de la coke).

Aujourd'hui semblent coexister des formes impures de capitalisme, alternativement distributrices de claques ou de câlins suivant la position géographique, la religion , la race ou la marée. Il est cependant impossible de remonter très loin pour se confronter à ces formes pures mais dans l'ensemble, cette idée géniale est arrivée un peu partout en même temps, comme éjaculée du ciel. Tout cela a précipité la refonte du capitalisme dans sa définition moderne.

A quand remonte le capitalisme moderne ?

Certains évènements précipitèrent la fin de cette période transitoire à la grande surprise des travailleurs.

Si l'on en croit Ludéklass[2], qui dit en son temps du capitalisme (enfin, on suppose) qu'il était « le plus bel organe » de compromis social sans demi-mesure[3], le capitalisme apparut avec la raie et la nuit des temps à la mort d'une phase transitoire de dictature du prolétariat. Mais comme ce philosœphe de pâquotille a aussi annoncé qu'après le capitalisme naîtrait une autre de ces phases transitoires, ne soyons pas trop tristes et ployons sous l'illogique.

Selon certaines légendes, Dieu plaça lui-même le capitalisme entre les mains de Charlton Heston.

Au vu des difficultés à dater ce rite funéraire, résumons plus simplement les recherches d'archivistes compétents (en une seule phrase pour montrer à quel point leur travail nous indiffère) : le capitalisme naît transitoirement entre deux phases transitoires d'une dictature temporaire d'un prolétariat précaire (ce qui rejoint à peu près notre définition), mais de façon définitive (pour rejoindre celle de ses sympathisants). Pas facile de s'y retrouver me direz-vous ? C'est justement le but. Alors comme Geneviève de Fontenay, Evelyne Thomas ou un bon Château-Margot, concluons cette histoire empreinte d'obscurantisme en disant tout bonnement qu'un bon capitalisme n'a pas d'âge.

Le moins pire des plus pires des affreux systèmes, après tous les autres

Cette phrase qui ne veut rien dire est l'exégèse du verbatim de Churchill (qui dominait cocassement la pensée de son siècle comme une église sur une colline[4]), un individu notoire comme toi et moi. Ce qu'elle a de pas bête, c'est qu'elle n'est pas vraie sans être fausse non plus, ce qui lui confère plus de crédit qu'une annonce faite par un gouvernement d'aujourd'hui. Forte de ce caractère respectablement anodin, elle s'est imposée dans les Instituts d'Essorage Politique comme une évidente lapalissade : le capitalisme est plus fort que bien, car le bien n'existe pas alors que le capitalisme existe lui, et que c'est le plus presque bien. Avec une telle publicité bulleuse, qui lessiva des centaines de cerveaux depuis l'invention de l'essoreuse audiovisuelle et inspira celle d'Ariel (Sharon aussi, tout-à-fait...), le capitalisme expliqué aux nuls a très vite percé chez les élites désireuses de se mettre à niveau en Krav-maga social.

Un zoom sur la pyramide des mieux systèmes établie par Nixon.

Simple et efficace, et sur la base de sa moinspirefection, le capitalisme est une version purgée de tous les anciens défauts des vieux régimes grave plus pires (classification platonicienne, désolé) :

  • À la place d'un gros bulbe de roi-philosophe, le capitalisme donne sa chance à plusieurs gros bonnets sans bulbe en dessous, et est donc plus égalitaire.
  • Au lieu de favoriser la moindre bêtise des grands tyrans, le capitalisme attise la grande bêtises des moindres imbéciles, et est donc plus libertaire.
  • Enfin, le capitalisme n'est pas la prise de pouvoir des meilleurs choisis aux hasard des chênes et des roseaux, mais celle des pires choisis aux rencards des veines et des réseaux, et est donc plus fraternitaire.

Et maintenant deux choses : OUI, un amalgame est fait entre la démocratie et le capitalisme, mais là encore ce n'est pas l'Histoire qui va ouvrir sa gueule ; OUI encore, fraternitaire n'existe pas mais achève avec succès une figure de style à la française...qui va d'ailleurs se mettre en grève.

Donc le moins pire [etc...] des systèmes, OK. Ce n'est pas tout-à-fait juste, mais pas tout-à-fait faux non plus.

Comment imposer son capitalisme ?

La question est plutôt de savoir QUAND imposer son capitalisme. Au bon moment, il est l'alternative naturelle vers laquelle l'humanité tend son fion. Bien placé, le capitalisme « fait mouche » comme le disait Prostatia[5]. Et la fin d'une phase transitoire de dictature du prolétariat ne se trouve pas sous le sabot d'une Séverine Ferrer.
Alors quand tout a échoué, et l'être humain a cela de richesse intérieure qu'avec lui toute entreprise s'écroule tôt ou tard, c'est le bon moment pour placer son capitalisme. C'est là le sens de l' après tous les autres du clerc sur la colline.

Il est donc important :

  • de ne pas se presser
  • de revêtir l'humilité de l'Abbé Pierre quand vous avancez l'idée (à un G8 improvisé ou de préférence dans un bureau presque rond) pour ne pas heurter les internationalistes et se tirer une mine antipersonnelle avec camouflage DDR dans le pied

Une fois ces conditions sine qua non parfaitement remplies, vous noterez une hausse incroyable dans votre cote de popularité. Par un mécanisme de foules en liesse et d'avalage de fèces se tourneront alors vers vous les sourires enjôleurs des proclamés électeurs (tenez, soit dit en passant, qu'elle est le pouvoir le plus flatteur s'il-vous-plaît : celui d'élire d'autorité LA bonne personne ? Ou celui d'attendre benoîtement d'être choisi pour être cette personne ? Vu comme ça, ça paraît être une grosse responsabilité d'être électeur. Encore de la poudre aux yeux sémantique.).

Votre capitalisme deviendra ensuite ce que vous en ferez.


Comment cultiver et préserver son capitalisme santé

La question est beaucoup plus épineuse, la réponse pas toute rose et vous en perdriez vos pétales à avoir des boutons. Mais comme nous aimons entretenir le jardin où vient mourir votre culture, nous ne laisserons pas votre curiosité en friche. Voici l'engrais adéquat pour un hydro-capitalisme de compétition.

un bon engrais vous permettra de disposer d'une plante vivace pour un bon siècle.

Vous remarquerez qu'un capitalisme, si bien enraciné soit-il, jaunit avec l'assèchement de la foi populaire qui n'en peut plus d'avaler des champs de couleuvres. Pour cela rien de plus simple : quand il commence à faner, mettez-en une partie au soleil, et faite disparaître l'autre (on parle toujours du capitalisme hein...), ce qui déclenchera une crise qui renouvellera dans tous les cas les apports en haine et en pet[6]. Et ce, peu importe la nature de la crise, qui dépendra du type de capitalisme que vous avez planté :

  • un capitalisme haineux engendrera une guerre florissante rouge vif aux arômes de barbus et de napalm.
  • un capitalisme péteux fera éclore des bourgeons dominants riches en Tout[7] qui optimiseront jusqu'à la saturation les ressources de votre terreau.

Dans tous les cas, cela revitalisera votre capitalisme et vous n'aurez pas besoin de sacrifier un autre bulbe.

Cependant, même en maintenant un bon rythme de phase de croissance et de décroissance, bien souvent ce tuteur précaire vous entraînera dans un cercle vicieux de phases successives de capitalisme haineux et de capitalisme péteux. Inéluctablement, pour en sortir, il vous faudra opter pour une phase de jachère prolétarienne et retourner à la charrue.

Après le capitalisme

Un éternel recommencement c'est désespéré comme la situation ci-dessus

N'y a-t-il donc pas d'après ? Personne de sensé ne voudrait croire à un éternel recommencement (un cercle vicieux et tout...si si...on en a parlé) ou a un éternel échec. Il n'y a que le gouvernement nord-coréen pour s'obstiner à vouloir prouver au monde qu'un être humain peut vivre sans manger. L'auteur de cet article pense qu'il n'y a que le monde pour s'obstiner à croire le contraire.

La vie est difficile, et très lucidement la valeur d'une vie humaine n'atteint pas plus avec le capitalisme qu'avec ses augustes prédécesseurs une véritable obésité. La valeur d'une goutte de sang est aujourd'hui indexée sur celle d'autres liquides qui font mieux avancer les voitures. Il est donc tout-à-fait envisageable que cette non prise de conscience interviennent en continu jusqu'au crépuscule des jours.

Les grands fondateurs voyaient le capitalisme à peu près comme ça.


Mais si l'on devait extrapoler sur le système que nous offre l'avenir en perspective, si l'on en croit ses fondateurs, le capitalisme est une sorte de route, ou plutôt un arc-en-ciel, qui mène via un escalator nappé de laine Cajoline™ à un grand coussin rempli de champagne et de pom-pom girls lesbiennes, plus beau et chaud[8] qu'aujourd'hui notre jardin dédaigne. Pourquoi ? Parce qu'on arrive à croire ce préjugé génialement gros comme un 11 septembre selon lequel le bonheur fait peur. Faites-y donc gaffe au bonheur !

Références

  1. un merveilleux mot que le cloaque : triptyque sacré pour certaines espèces à plume, c'est une icône immortalisant les trois fonctions de base du cerf ou du Greg-le-millionnaire.
  2. Libre penseur nomade de la Grèce Antique, de deux siècles l'aîné de Platon, il se définissait lui-même comme un rousseauiste pascalien.
  3. in Les comptes de la mère Loi, édition papyrus.
  4. aujourd'hui abandonné au profit de son successeur en pensée profonde, le suisse Aïd MosketMinarett.
  5. la vestale du culte à Anusysos, le dieu du petit-train.
  6. pour ceux qui n'ont jamais fait de culture, K, P et N vous sont étrangers et vous êtes passé à coté d'un calembour d'une subtilité verdoyante.
  7. les all-I-got excréments
  8. le saviez-tu : il fait beau et chaud est le contrepet préféré des belges.


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Exceptions notables:
- Le Ku Klux Klan a tué plusieurs noirs mais ça fait longtemps qu'on en entend plus parler.
- En 2008, un singe thaïlandais s'est révolté contre son maître et l'a tué en lui lançant des noix de coco.
- Un jour, un homme s'est noyé dans sa soupe en tombant dans les pommes.
- Le 25 mars 1996, Un homme fut tué par ses pets durant son sommeil car il suivait un régime constitué exclusivement de choux et de flageolets.
- En 1997, un américain escalada un pylône électrique avec 6 cannettes de bières. Au moment de boire la sixième cannette, il décida d'uriner ce qui l'électrocuta. La police le trouva avec de la fumée sortant de sa braguette et une cannette de bière à la main.
- En 2014, 68 personnes moururent d'un cancer de Nickelback en écoutant un album du groupe,, si on peut l'appeler ainsi...


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