Chanson

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« L'idée m'est venue en voyant tomber un pruneau d'un pommier sous lequel je faisais un soduku. »
~ Sacha Guitry à propos de la chanson.

Description

La chanson est une invention du bien urbain Sacha Guitry. Son explication est assez compliquée, ça serait comme expliquer la différence entre Alexandrie et Alexandra. Car même si elles sont toutes belles belles belles, c'est souvent la même chanson.

Bien sûr, tout cela vous met l'eau à la bouche et vous vous sentez parcouru d'un frisson électrique...

Enfin laisse tomber, monte à bord du sous-marin jaune et imagine que le soleil vient ici, dans cette page.


Allez une petit blague avant de voir la suite :

Sarah et Aline sont en train de chanter ! Soudain, l'une des 2 s'enfuit, mais laquelle ?

Réponse : Aline, car Sarah l'appelle pour qu'elle revienne !

Histoire

« C'était un lundi au soleil »
~ Sacha Guitry à propos du jour où il inventa la chanson.

Sacha était un peu sous pression ce jour-là. En effet, le maître des marionnettes des guignols de l'info venait de lui dire un truc du genre : le spectacle doit continuer, avec ou sans toi.

C'est pas ma faute à moi, moi Sacha Guitry. C'est tout ce qu'il put dire pour sa défense, car sept secondes plus tard la police arrêtait sa femme Roxane pour prostitution ainsi que son frère Jacques et son ami Pierrot pour le meurtre d'une chandelle.

Le chien noir, l'oiseau et l'enfant étaient eux confiés à une famille d'accueil.

« J'étais foudroyé. Ils avaient détruit notre maison avec de la T.N.T. J'entendis alors au fond de mon cœur, maintenant dur comme un roc, les cloches de l'enfer. Je le savais, j'étais de retour en noir sur l'autoroute menant vers l'enfer - passons au D car j'en ai assez des C. »

Le lendemain, Sacha prenait son petit déjeuner en Amérique dans un hôtel tout bleu, l'hôtel California. Abattu par tant d'acharnement subi la veille, il errait tel un zombie dans les rues de Philadelphie, vous savez, là où les rues n'ont pas de nom.

Il se sentait comme une merde mais il le savait, le compte à rebours final était enclenché. Les pendules avançaient à la vitesse du son et bien que troublé, Sacha devait jouer froidement le coup, sans parachute pour le sauver en cas d'échec.

« Je ne me ferais plus avoir de nouveau. Même planqué derrière tes yeux bleus, tu l'auras dans le baba, O'riley. La chanson est finie. »
~ Sacha Guitry à propos de Baba qui ?

Voilà c'était fait, avec cette citation, la chanson était inventée. Il y avait quelque chose de magique là dedans genre le paradis c'est pour tout le monde. Seulement, il fallait trouver l'escalier menant au paradis.

Sur cette affaire là, Sacha se sentait tellement seul. C'était la dèche mais en appelant Elvis, Sacha savait que ce héros local l'aiderait à mener cette enquête privée, comme un frère d'armes.

Après quelques recherches, Joe le taxi déposa Sacha et Elvis devant un château de cartes. Sacha frappa aux portes du paradis et effectivement, c'était ici (ben oui puisque c'est les portes du paradis pardi !).

Sa quête était enfin terminée. Sacha savait maintenant qu'il était né pour être vivant. Il fit un détour pour rentrer chez lui, accompagné d'un super vagabond. Sacha lui dit adieu l'étranger, tout en pensant ma foi qu'en fin de compte la chanson c'est logique, il aurait dû y penser plus tôt.

Rayonnement universel de la chanson sur tout le globe terrestre

Peu de temps après son invention, la chanson se répandit très rapidement à la surface de la Terre, des rivières de Babylone jusqu'aux lacs du Connemara en passant par tes états d'âme Eric, dans les états d'Amérique.


Mais je sens qu'il serait pas mal de sortir une petite blague :

Que dit un habitant des Alpes en pleine nuit en montrant les montagnes ?

Réponse : Regarde, des monts de minuit !

Analyse

Qui n'aime pas la chanson ? Personne dans l'univers bien sûr à part peut-être son inventeur Sacha Guitry

« Ils n'ont rien compris à la chanson. Ce qu'ils ont en fait me fait vomir. »
~ Sacha Guitry à propos de la chanson

Certains en effet regrettent la disparition du côté concupiscent de la chanson, cette toute puissance qui vous entraîne innocemment vers un monde parfait.

Plus encore, la chanson nous renvoie notre image et nous pousse à l'introspection : qui suis-je pour juger la chanson car mon nom est personne. Je suis juste un grand blond avec une chaussure noire.

David, un charcutier français nous dit ici que les mots ne viennent pas facilement et que finalement, il faut suivre la doctrine de Van Halen : saute !

Conclusion

C'est la fin mon vieil ami. Avant de partir, allume mon feu puis suis le chemin tracé par Sacha Guitry. Prends les portes et casse-toi !


Cet article a une chance non nulle de figurer dans le Best Of ou de ne pas en être.
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