Clovis Cornillac

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche

Le temps, ce concept ô combien fallacieux utilisé par nous les hommes (sans oublier les femmes bien entendu. Foutue parité !) afin de matérialiser la détérioration inexorable et irréversible de toute chose. Pour ne pas sombrer dans une confusion pour le peu inextricable, le calendrier a bien évidemment été inventé, chose qui permet indéniablement de définir une action à un instant précis et permettant ainsi de désigner un évènement avec déterminisme. Il est clair que certaines années furent plus marquantes que d'autres comme par exemple l'année 1491 qui a marqué le Début du règne de Ramathibodi II roi fort célèbre de la province d'Ayutthaya. Mais alors pourquoi notre esprit ne retient-il que quelques dates aléatoires ? Eh bien tout simplement parce que les profs d'histoire ont vraiment autre chose à foutre que de passer en revue toutes les années du calendrier Grégorien. Franchement c'est pas déjà assez pénible de se rappeler tous ces évènements à la con qui nous font chier la bite tout ça pour faire genre je suis cultivé a connaître toutes ces dates qui sont totalement révolues et qu'en plus la fin de cette phrase est totalement illisible et que je suis obligé de zoomer a donf' sur mon explorateur (si tenté vous savez zoomer avec ctrl molette ou alors vous avez fait un copier/coller du paragraphe dans un éditeur de texte ou bien encore vous êtes allés dans l'onglet modification pour essayer de déchiffrer ce charabia entre ces foutues balises small et ces putains de liens internes) tout ça pour me rendre compte qu'au final cette phrase est complètement débile certainement dû au fait que le trou du cul qui a écrit ça n'avait strictement aucune idée de comment se sortir de cette introduction complétement tordue.

Tout ça pour en venir où d'ailleurs ? Eh bien tout simplement pour en venir au 16 août 1967. Dans une petite maternité de la région lyonnaise, le silence fut soudainement rompu par un homme, un but, une mission. Un cœur, une âme, juste une solution. Un jet de lumière yeah, un dieu, une vision. Une chair, un os, une vraie religion. Une voix, un espoir, une vraie décision. Wowowowo donne moi une vision.

C'est ainsi que naquit :

CLOVIS CORNILLAC
CornillacIntro.jpg


Biographie 100% dégradable

Parce que chaque geste compte, n'hésitons pas à recycler les images provenant d'autres articles pour sauvegarder notre planète.

Le petit Clovis Cornillac passe une enfance sans problèmes, en élève assidu il potasse ses cours et travaille avec acharnement, s'intéressant à toutes les matières qui lui sont enseignées. À ce stade, rien ne prédestinait Clovis Cornillac à faire une grande carrière d'acteur.

Arrive la période de l'adolescence où il continue son bonhomme de chemin. Il se plonge corps et âme dans ses études et décroche son baccalauréat haut la main. À ce stade, rien ne prédestinait Clovis Cornillac à faire une grande carrière d'acteur.

Fort de son diplôme, Clovis se passionne alors pour les métiers de l'hôtellerie où il prend goût à l'effort. Il ne compte plus les heures et impressionne tous ses professeurs par son travail acharné. À ce stade, rien ne prédestinait Clovis Cornillac à faire une grande carrière d'acteur.

Sa vie prends une tournure plutôt inattendue, lorsqu'on lui propose un petit rôle dans le film « Hors la loi ». À sa plus grande surprise, il se découvre alors une passion pour le métier d'acteur et décide de se lancer dans cette aventure. À ce stade, rien ne prédestinait Clovis Cornillac à faire une grande carrière d'acteur.

Au jour d'aujourd'hui, en acharné de travail qu'il est, Clovis Cornillac à enchainé les rôles allant jusqu'à jouer dans quatre films en une seule année. Il compte à l'heure actuelle pas moins de 60 films à son actif. À ce stade, rien ne prédestine Clovis Cornillac à faire une grande carrière d'acteur.

Recyclage.jpg


Le nouveau Gérard Depardieu du cinéma Français

Autorité compétente prompte à juger les acteurs du paysage cinématographique français

Suite a son interprétation toute en finesse et en profondeur dans le film « Brice de Nice », Clovis Cornillac fut alors désigné par les autorités compétentes comme « Le nouveau Gérard Depardieu du cinéma français. »

CornDenisot.jpg
Michel Denisot dit :

Alors, Clovis Cornillac bonjour. Vous venez nous voir pour la sortie du Film « Brice De Nice », un film extraordinaire, qui, soyons en sûrs fera des millions d'entrées. Votre interprétation y est en tout point remarquable, grâce a votre talent inné, vous avez su donner toute la dimension dramatique requise par le rôle. On peut dire que vous êtes « le nouveau Gérard Depardieu du cinéma français ».

C'est ainsi que Clovis Cornillac rejoignit le cercle très fermé des « nouveaux Gérard Depardieu du cinéma Français ». Nous noterons que cette caste comporte nombre de talentueux acteurs. Comme par exemple Samuel Le Bihan, consacré lors de la promo du film « le pacte des loups ».

CornDenisot.jpg
Michel Denisot dit :

Alors, Samuel Le Bihan bonjour. Vous venez nous voir pour la sortie du Film « le pacte des loups », un film extraordinaire, qui, soyons en sûrs fera des millions d'entrées. Votre interprétation y est en tout point remarquable, grâce a votre talent inné, vous avez su donner toute la dimension dramatique requise par le rôle. On peut dire que vous êtes « le nouveau Gérard Depardieu du cinéma français ».

Ou bien encore ce magnifique acteur dont le nom m'échappe qui a joué dans « comme elle respire », qui a malheureusement connu une fin tragique.

CornDenisot.jpg
Michel Denisot dit :

Alors, Guillaume Depardieu bonjour. Vous venez nous voir pour la sortie du Film « Comme elle respire », un film extraordinaire, qui, soyons en sûrs fera des millions d'entrées. Votre interprétation y est en tout point remarquable, grâce a votre talent inné, vous avez su donner toute la dimension dramatique requise par le rôle. On peut dire que vous êtes « le nouveau Gérard Depardieu du cinéma français ».

Bien que gratifiant, ce titre reste somme toute relatif étant donné que 100% des acteurs francophones sont « les nouveaux Gérard Depardieu du cinéma français ».

Clovis Cornillac, un mythe, une légende, une icône, un boulet

Désormais omniprésent dans le monde du 7ème art français, Clovis Cornillac est un véritable précurseur. Il fut le premier à avoir l'idée de faire des remakes de films américains. C'est ainsi qu'il convint, non sans mal, Georges Lucas de faire le remake français de Star Wars. Georges Lucas finit par accepter à la seule condition que ce soit lui qui dirige le film. Le titre du film fut remanié afin de coller au plus près à la grande tradition du cinéma français.

Le remake Français de Star Wars, chronique d'un échec annoncé

La distribution du film :

  • Dark Vador : Clovis Cornillac
  • La princesse Leia : Sophie Marceau
  • Luke Skywalker : Gérard Jugnot
  • Obi Wan Kenobi : Marion Cotillard (trop chère), Nathalie Baille (pas libre), Charlotte Gainsbourg (un peu de sérieux quand même) Sophie Marceau
  • Han Solo : Gérard Depardieu
  • Chewbacca : Valérie Damidot

Malgré toutes les difficultés rencontrées, Georges Lucas a accepté de nous livrer en exclusivité les images du tournage.

 : Georges Lucas, bonjour ! Eh bien merci de nous livrer votre témoignage, bien que ce film n'ait malheureusement jamais vu le jour, vous avez accepté de nous livrer les rushs, alors tout d'abord parlons de la naissance du projet si vous le voulez bien. Georges ? Ça va Georges ?
Georges Lucas : Franchement, si ça ne tenais qu'à moi, j'aurais préféré oublier toute cette histoire sordide, mais ça fait partie de ma thérapie. Mon psychanalyste m'a dit que je devais affronter mes démons si je voulais aller de l'avant.
 : Euh ? Oui d'accord. Bon alors pour jouer le rôle de Dark Vador vous avez choisi de prendre Clovis Cornillac. Pourquoi... aarrrglll nooonn Georges arrréteeez, aidez-moi, n'importe qui, il est en train de m'ééttttrangler. Aaahhh, merci. Non mais ça va pas monsieur Lucas, vous avez pété un câble ou quoi ?
Georges Lucas : Exc.. Excusez moi, c'est juste que, en fait quand j'entends le nom de, de « la chose », je ne me contrôle plus. Si vous pouviez éviter de mentionner son nom à l'avenir ça, ça m'arrangerait, parce que là rien que d'y penser, il y a tout qui me revient et, c'est, c'est trop dur. Enfin je...
 : Bon très bien, mais prévenez-moi quand même la prochaine fois. Revenons en au film et... euh, bon je fais quoi là ? Il est parti se réfugier dans un coin de la pièce et il suce son pouce. Monsieur Lucas ? Eh oh Monsieur Lucas ! Bon passons directement au making-of là je crois qu'on est en train de le perdre.

Star Wars [fr] le making-of

CornSW1.jpg



Scéne 1 - Navette des rebelles - Enlèvement de la princesse Leia

CornSW2.jpg
Dark Vador : Alors princesse, vous pensiez vraiment pouvoir échapper à l'empire ?
La princesse Leia : S'échapper ? Non. On ne peut jamais s'échapper de la réalité on peut au mieux s'évader de courts instants mais elle nous rattrape toujours, ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie, n'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?
Dark Vador : Non mais dis-donc espèce de petite conne ! Tu vas mieux parler à ton père oui ? J'ai pas niqué Nathalie Portman dans la guerre des clones pour me retrouver en face d'une petite bourgeoise mal élevée. Eh ben dis donc j'espère que ton frère Luke qu'on va voir dans la scène juste après a reçu une meilleure éducation, parce que là t'es mal barrée pour que je te paie ton forfait SMS illimités ce mois-ci.
Georges Lucas : Coupez !


Georges Lucas : Non mais vous me faites quoi là ? Putain Sophie c'est quoi cette tête et ces dialogues, c'est pas du tout ce qui est écrit dans le script !
Sophie Marceau : Ah ! On voit bien que vous n'avez jamais tourné avec de vrais acteurs, pour moi la princesse est trop lisse trop effacée, il faut donner du caractère à ce personnage c'est pourquoi j'ai pris la liberté de retravailler ces dialogues insipides, un peu de culture merde ! Vous les américains à part faire péter des trucs dans tous les sens vous savez rien faire d'autre, je suis sûre que vous êtes passé complètement à côté de mon interprétation, subtil mélange de révolte et de compassion qui permet de suggérer au spectateur le besoin indéniable qu'a l'humanité de se retrouver en face de ses propres peurs afin de mieux les affronter. Faites ce que vous voulez mais jamais je ne succomberai aux sirènes du mercantilisme de bas niveau.
Georges Lucas : Oui mais là c'est totalement incohér... Ok, bon je sens que ça pas être facile. Bordel ! Et toi Clovis, mais ça va pas de révéler toute l'histoire dès le début ! Comment on va faire pour la suite ? T'y a pensé à ça ?
Clovis Cornillac : Alors là je suis désolé mais moi je suis un instinctif. Je ne joue pas moi môssieur, je suis ! Je sors ça comme ça me viens et je ne me pose pas de questions existentielles, après ça plait ou ça plait pas. Mais ne comptez pas sur moi pour changer, on est en France ici môssieur l'américain. Si vous croyez pouvoir balayer plus de 2000 ans d'histoire d'un revers de la main, vous vous fourrez le doigt dans le cul.
Georges Lucas : Non mais c'est juste que là... Enfin merde quoi !
L'assistant de production : T'inquiète pas Georges, de toute façon on retouchera tout ça en post prod', laisse les faire c'est des abrutis.
Georges Lucas : Ok, bon on va dire que c'est dans la boîte, allez les enfants , lets move to the next scene. Eh ben ça va pas être une partie de plaisir c'est moi qui te l'dis


Scène 2 - Extèrieur jour - Introduction du personnage de Luke Skywalker

CornSW3.jpg
Georges Lucas : Coupez !!!


Georges Lucas : Non, non, non, non mais alors hein ? Mais c'est quoi ça ? C'est ça le Luke Skywalker français ? Mais vous vous foutez de ma gueule ou quoi ? Ramenez moi le directeur de casting.
Georges Lucas : Eh mais franchement où est-ce que t'es allé me le pêcher celui là ? Tu trouves vraiment qu'il a une gueule de héros ? faut pas déconner quand même.
Le directeur de casting : Écoute, il a pas l'air comme ça mais il est hyper bankable en France, il a fait plein de films à succès, fais moi confiance avec lui on peut pas se tromper.
Gérard Jugnot : Alors là permettez moi de m'offusquer, on ne m'a jamais traité de la sorte ! Écoutez si c'est ça moi je rentre à Paris faire les bronzés 4 et je vous laisse vous démerder avec votre film à la noix, je ne vous salue pas monsieur.
Georges Lucas : Attends mais qu'est ce qu'il nous fait là Jim Carrey, mais il se casse, eh oh, mais j'ai un film à tourner moi !
Clovis Cornillac : Euh si je peux me permettre.
Georges Lucas : Oui quoi !
Clovis Cornillac : Moi je peux vous le faire Luke Skywalker si vous voulez. Vous inquiétez pas je suis sûr que j'tiens le personnage.
Georges Lucas : Et tu trouves pas ça un peu bizarre toi que les deux personnages principaux ils aient exactement la même tronche non ? je sais pas, enfin j'dis ça j'dis rien.
Clovis Cornillac : Rassurez vous, je suis un acteur professionnel je peux jouer de multiples facettes, vous verrez, les spectateurs n'y verront que du feu
Georges Lucas : Bon ben de toute façon je crois que j'ai pas le choix. Allez enfile ta tenue et allons-y c'est pas tout ça mais le compteur tourne. Bon alors là c'est une scène d'introduction qu'on a rajoutée, c'est en fait le monologue du héros qui se pose des questions sur son existence, bref je suppose que tu as lu le script, donc t'as juste à réciter ton texte. Allez action !


Redistribution du film :

  • Luke Skywalker : Gérard Jugnot Clovis Cornillac


CornSW4.jpg
Luke Skywalker : Je m'appelle Luke Skywalker, soit de prime abord, rien ne me différencie d'un autre paysan qui peuple ces contrées, mais je sais que mon destin finira par basculer. Je vais rencontrer mon père qui se trouve être Dark Vador. Certes ma route sera parsemée d'embuches, mais tout cela s'arrangera. Je vais d'abord faire la connaissance d'Obi Wan Kenobi, qui est le type qui a formé mon père, il m'emmènera ensuite voir le capitaine Han Solo et nous irons tous délivrer la princesse Leia qui est en fait ma sœur. Mon père finira malheureusement par tuer Obi Wan qui reviendra par la suite sous la forme d'une espèce de fantôme . Après moult rebondissements mon père me sauvera de l'empereur et redeviendra gentil. Au final plus rien n'empêchera de laisser éclater au grand jour les sentiments qui lient la princesse Leia à Han Solo
Georges Lucas : Coupez.


Georges Lucas : Clovis ! Juste une chose, à quel moment t'as décroché lorsque j'ai prononcé la phrase « t'as juste à réciter ton texte », non franchement dis moi. Parce que là t'es vraiment en train de pourrir tout le film, on a à peine cinq minutes de scène et t'as déjà tout balancé donc on fait quoi pour la suite, tu peux me le dire ?
Clovis Cornillac : Mais ça commence à devenir lourd là bordel ! Je vous l'ai déjà dis et répété, je marche à l'instinct, si j'ai dis ça c'est que le rôle l'exigeait, j'ai pas réfléchi, c'est sorti tout seul un point c'est tout, j'ai pas à me laisser enfermer dans un quelconque script, mais vous ne comprenez rien au cinéma vous ou quoi ?
Georges Lucas : Putain, mais qu'est ce qui m'a pris de faire ce remake bordel, qu'est ce qui m'a pris ?


Scène 3 - Habitat d'obiwan Kennoby - La remise du sabre laser

CornSW5.jpg
Luke Skywalker : Dis moi Obi Wan, tu peux m'en dire un peu plus sur mon père Dark Vador. Il était comment avant de basculer vers le côté obscur ?
Obiwan Kenobi : Il était mince, il était beau. Il sentait bon le sable chaud mon padawan. Y'avait du soleil sur son front, qui mettait dans ses cheveux blonds de la lumière.
Luke Skywalker : Ah ouais cool dis donc. En tous cas j'ai intérêt à m'entrainer avec le sabre avant que mon père me coupe la main dans l'empire contre-attaque, même s'ils vont m'en greffer une autre, c'est pas pareil de se battre avec une main artificielle.
Clovis Cornillac : Aïeu ! Mais Georges pourquoi tu m'as balancé l'écran de contrôle sur la figure.


Georges Lucas : Va te faire enculer pauvre tâche ! Non mais la c'est pas possible jamais j'tiendrais jusqu'au bout, j'en peux plus j'ai les nerfs qui commencent à lâcher.
L'assistant de production : Ecoute relax Georges, la prochaine scène c'est Mos Eisley avec Depardieu, t'inquiète pas, lui au moins c'est un pro, il va te faire un Han Solo aux petits oignons tu va voir, ça va s'arranger.


Scène 4 - Taverne de Mos Eisley - Rencontre entre Obi Wan Kenoby et Han Solo

CornSW6.jpg
It was a teenage wedding, and the old folks wished them well

You could see that Pierre did truly love the madamoiselle And now the young monsieur and madame have rung the chapel bell, « C'est la vie », say the old folks, it goes to show you never can tell

Han Solo : Alors mon Obi Wan, on est pas bien là à tortiller du cul comme deux bonobos en rut, allez après ça j'te paie un petit coup de rouge.
Georges Lucas : Stop ! Stop ! Stop ! Stooooooooop ! Non mais vous avez tous décidé de me prendre pour un con ou quoi ! Mais c'est quoi encore ça ?


Gérard Depardieu : Oh, mais relax ma couille, profite là, profite, on est pas bien là hein, elle est pas cool ta scène, allez prends un p'tit coup de rouge tu verras ça ira mieux.
Georges Lucas : J'men branle de ta vinasse de Franprix t'entends ! Vous trouvez ça logique vous que la rencontre entre Obi Wan et Han Solo se fasse en dansant le twist ?
Sophie Marceau : Pa-thé-tique, vraiment aucune culture, vous n'avez même pas remarqué la suggestion philosophique apportée à la scène, le mouvement des corps, la fusion de l'esprit, c'est cent fois plus puissant que la scène originale.
Gérard Depardieu : Et puis on s'en branle de tout ça hein. Star Wars, Pulp Fiction, la Dolce Vita, c'est kif kif bourricot, c'est la grande famille du cinéma quoi !
Georges Lucas : ...

Scène 5 - Intérieur du Faucon Millenium - Évasion de Mos Eisley

CornSW7.jpg
Han Solo : Alors, les gars, on est pas bien là dans le faucon millenium, à la fraîche, décontractés du gland, allez Luke sers nous un petit coup de rouge va.
Luke Skywalker : Ouais ben t'as plutôt intérêt à te servir de la propulsion en hyper espace tant qu'il est encore temps, parce qu'ils vont finir par la bousiller, mais bon après c'est pas si grave, on finira par la réparer et au final c'est toi qui finira par détruire l'étoile noire dans le retour du jedi.
Obiwan Kenobi : Pluviôse, irrité contre la ville entière. De son urne à grands flots verse un froid ténébreux. Aux pâles habitants du voisin cimetière. Et la mortalité sur les faubourgs brumeux.
Georges Lucas : rrrrrrrhhhhaaaaaaaaaaaaaaaaaa


L'assistant de production : Cool Georges, ça sert à rien de t'énerver, de toute façon ils sont tous partis pour faire n'importe quoi alors laisse couler on rattrapera tout ça en post synchronisation.
Georges Lucas : À la limite que les autres mongols réinventent les textes ça j'ai commencé à m'y faire mais qui est-ce qui a fait ça au faucon millenium, c'est quoi cette déco de, de... la j'ai pas de mots
Valérie Damidot : Mais c'est hy-per tendance cette déco, on est en plein retour sur les teintes pivoine et ocre, là on est pile poil dans le sujet. J'ai aussi rajouté quelques tons chocolat pour donner une ambiance cosy à l'ensemble. La on est top du top niveau des tendances fashion hivernales. Franchement niveau tendances, y'a pas plus tendance.
Clovis Cornillac : Ah moi m'sieur Georges j'trouve ça vachement bien, on se sent à l'aise et c'est quand même nettement mieux que l'espèce de bouse que vous aviez fait auparavant, là on voit bien qu'on est dans un vaisseau spatial. Non mais m'sieur Georges, qu'est que vous...
L'assistant de production : Arrête, mais arrête putain, t'es en train de défoncer l'acteur principal, eh mais venez m'aider vous autres.
CornSWDef.jpg


 : Voilà, donc là ce sont les dernières images du tournage, le film s'est en fait arrêté à ce stade Clovis Cornillac étant dans l'incapacité de poursuivre son rôle. Georges, après avoir visionné ce making-of on peut en conclure que vous y êtes pour beaucoup dans cet échec cuisant, en effet.. Georges ? Mais vous faites quoi là non mais arrêtez enfin c'est juste un film, mais... mais... bon je crois qu'il a finalement eu le mot de la fin.
CornLucas.jpg


Dans la peau de Clovis Cornillac

L'autre étape significative dans la vie de l'acteur est ce scandaleux plagiat orchestré par l'industrie du cinéma américain à savoir le film « Dans la peau de John Malkovich ». A aucun moment il n'a été signifié que ce film était en fait le remake plus qu'approximatif d'une des œuvres les plus magistrales mais pourtant injustement méconnue du cinéma français « Dans la peau de Clovis Cornillac », film réalisé par le non moins talentueux Gaspard Noé. Bien évidement, comme à l'accoutumée, les américains n'ont quasiment rien retenu de l'œuvre originelle et sont complétement passés à côté du message universel délivré initialement par le film. Injustice encore plus grande, « Dans la peau de Clovis Cornillac » n'a jamais reçu les éloges qu'il méritait, il faut dire qu'à l'époque, les critiques ne l'avaient pas épargné, étant passés complètement à côté de la satire pourtant si subtile du système capitaliste dans son ensemble. Comme toujours, seul Télérama avait décelé toute la magnificence de ce petit joyau cinématographique, pour les autres, ben c'est rien que des cons.


« Sublime exercice de réthorique, œuvre incandescente ponctuée d'homéotéleutes et d'anacoluthes. Ce film nous emporte dans des ellipses d'assonances et d'allitérations accentuées par les zeugmes et oxymores employés. Antithèse parfaite du chiasme et de l'hyperbole, le parallélisme par accumulation anaphorise l'épanalepse par synecdoque, métonymie et hypallage. Tout simplement anticonstitutionnellement. »
~ Télérama


« Cor-ni-llac »
~ Télé 7 jour


« Jamais je n'aurais pensé que ce qui n'est au final qu'une suite d'images et de sons puissent autant me souiller. Véritable viol mental, le film « Dans la peau de Clovis Cornillac » soulève une seule et unique question : Le temps serait-il venu d'exterminer la race humaine dans son ensemble ? Si l'être humain est capable de produire une telle ignominie, c'est peut-être qu'il ne mérite plus d'exister. »
~ Moto Magazine


« Plutôt que directement se rendre à notre domicile et nous chier un bel étron bien liquide sur la gueule, Gaspard Noé a préféré le faire par le biais d'un film. Au final, le résultat reste sensiblement le même. »
~ Le journal de Mickey.


Nuvola apps important.png
Faites attention !
Pour les néophytes ne connaissant pas l'œuvre complète de Gaspard Noé, ce film pourrait paraître déroutant de prime abord.

Bande originale composée d'une seule et unique chanson jouée en boucle durant l'intégralité du film :


Dans la peau de Clovis Cornillac - le film


DLPDCC1.jpg
DLPDCCAnim.gif
Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac,
DLPDCC2.jpg
Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac,
Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac,Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac,
DLPDCCAnim2.gif


DLPDCC3.jpg
DLPDCC4.jpg
DLPDCC5.jpg
Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac,Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac,Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac,Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac.
DLPDCC6.jpg
Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Cornillac, Clovis Cornillac, Cornillac.
CORNSTROMBO.GIF

Cornillac mon amour

Clovis Cornillac par Pablo Picasso


Tu peux pavoiser pauvre gland, jamais tu n'arriveras à la cheville du génie Cornillac

Mais qui es-tu au fond, ô toi le sombre héros de l'amer qui a su traverser les océans du vide. Tel une muse iconoclaste tu végètes parmi le septième art comme une hydre à une tête et repousse les limites du genre humain par ton indiscible acharnement à transcender toute chose. Try to remember when life was so tender, et oui seb c'est bien, ô toi l'ami du petit déjeuner.

Hermétique au quand dira t'on, tel Sangoku qui tricote un pull mauve tu méprises l'humanité dans son ensemble par ton enthousisame à balancer tes bouses à la face du monde comme une éjaculation mal maîtrisée. Tu as inspiré les plus grands comme Picasso, Donatello, Raphaël et sans oublier Michelangelo. Bafoué, raillé, méprisé, le 7ème art français fut longtemps trainé dans des torrents de boue de la manière la plus injuste qui soit.

Grâce à toi Clovis, nous pouvons avancer la tête haute car maintenant nous aussi avons notre Chuck Norris. Tu finiras sans nul doute au Panthéon, en attendant, nous te laisserons le mot de la fin, toi le grand, toi le juste, toi le juste grand Clovis. Ave Cornillac.

CornillacBoiteParl.gif
Clovis Cornillac dit :

Allez tous vous faire enculer jusqu'au dernier.


AVECornillac.jpg



Clovis Cornillac
Vous avez voté pour « Clovis Cornillac » le 20 février 2023 à 21:51. Vous pouvez modifier votre choix en cliquant sur une autre réponse ci-dessous.
4
Il y avait 4 votes depuis l’élaboration du sondage au 6 avril 2019 à 17:29.
poll-id 325330029089A1FA2DE6131BE85EFF04

48px-Video-x-generic.svg.png  Portail du Cinéma  •  Photo Bio.png  Portail des Gens


Bestof v1.png

Meilleurde.jpg
Cet article a été voté dans le "best of" de la Désencyclopédie!