Fourrure

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En signe de protestation face à la publication de cet article, Brigitte Bardot a décidé de poser à poils.
« Le fou-rire est le propre de l’homme »
~ François Rabelais
« La fourrure est le propre de l’animal. »

L’industrie de la fourrure est l’archétype de l’exploitation par l’homme des ressources produites par des animaux sans défense. Elle est donc en totale opposition avec l’industrie de l’ivoire qui pour sa part n’exploite que les animaux avec défenses.

Origine de la fourrure

La croyance populaire qui veut que le plus vieux métier du monde soit celui de prostituée est facilement remise en question par la moindre fouille archéologique faite avec un minimum de conscience professionnelle. Si vous creusez sous le trottoir en bas de votre immeuble, vous avez toutes les chances au bout d’un temps donné de trouver des vestiges préhistoriques de type silex, bâtons en bois (fossilisés) et restes de fourrure. Pourquoi ? Tout simplement parce que l’homme préhistorique, profitant de la prodigalité de Dame Nature en matière d’animaux velus, n’hésitait pas à se vêtir de luxueux débardeurs et kilts en fourrure. Le plus vieux métier du monde est donc bien celui de fourreur, et non pas celui de fourrée.

Bien entendu, je vois venir du fond de la salle une objection à ma démonstration : comment peut-on affirmer aussi péremptoirement que ladite fourrure retrouvée lors de ces fouilles appartient à un homme préhistorique et pas à une pute ? J’attendais cette question et elle est bien légitime puisque toutes les putes portent des fourrures. Toutefois, cette remarque ne tient pas car en analysant certains vestiges pré-néanderthaliens, on retrouve dans plusieurs cas une quantité anormale de fourrure (à peu près deux fois plus). L’explication en est simple : les putes préhistoriques aussi portaient des fourrures en plus de leurs vêtements traditionnels faits également de fourrure. CQFD. En plus il est rare qu’une pute se serve d’un silex ou d’un bâton.

Une brève histoire de la fourrure

Si l’utilisation de la fourrure reste à peu près égale à travers le temps, on note une évolution du côté du matériau de base utilisé, également appelé animal.

Avant de découvrir les propriétés thermiques de la fourrure, l’homme se caillait les miches. Surtout que, comble de malchance, il n’avait pas non plus encore découvert la maîtrise du feu. Du coup, l’espérance de vie était de l’ordre d’une quinzaine d’années, l’arrivée de la puberté et de la maturité des glandes sudoripares se révélant fatale au plus grand nombre. Puis un beau jour, une femme réclama à son mari un manteau et ne sachant que faire, il lui confectionna des guenilles dans la peau velue du mammouth à demi dévoré. La fourrure était née.

Paradoxalement, cette découverte n’augmenta pas d’emblée l’espérance de vie des hommes préhistoriques. Il faut dire qu’à l’époque, il n’était pas aussi facile que maintenant de tuer un mammouth.

La chasse à la fourrure

Mammouth dans son environnement naturel, le musée de la préhistoire.

Pour tuer un mammouth afin d’en récupérer la viande, puis la fourrure, les hommes préhistoriques avaient une technique certes efficace mais peu rentable en matière de ressources humaines. Ils partaient à une trentaine et lorsqu’ils avaient repéré leur proie, la moitié d’entre eux se mettaient devant l’animal en imitant le cri de la femelle mammouth (également appelée mamma) en train de jouir : GNIIIIIIIIIIIAAAAAAAAARH. Il fallait ça car autant le mammouth est poilu, autant il est dur d’oreille. Excité par ce son prometteur d’agapes sexuelles pachydermiques, le mammouth mâle se précipitait alors vers le groupe d’hommes préhistoriques mais se retrouvait tout penaud en constatant la supercherie. Très rancunier comme tous les pachydermes[1], il commençait alors à piétiner les chasseurs servant d’appâts et, profitant de la diversion, le reste de la troupe lui projetait des cailloux, des lances et autres objets contondants de l’époque jusqu’à ce que mort s’ensuive, soit entre 5 et 8 jours selon la résistance de l’animal.

Charles Aznavour a par ailleurs très bien décrit cette scène de chasse simulant le cri d’orgasme de la femelle mammouth dans sa chanson « La mamma » dont voici les premiers vers :

♪♫ Intermède musical ♫♪
Ils sont velus ils sont tous là,

elle va jouir laaaaaaaaaaaaaaaaa mammaaa

♪♫ Fin de l’intermède musical ♫♪

Avec chaque mammouth, on pouvait habiller environ 12 personnes préhistoriques. Ou 6 si c’étaient des putes préhistoriques[2]. Il n’en fallut pas plus aux paléontologues de tous poils pour déterminer que cette chasse à la fourrure fut la cause principale de l’extinction prématurée des mammouths. Ce n’est pas tant que le nombre de mammouths tués fut si élevé, mais tout simplement un réflexe pavlovien fit qu’à force de se faire tromper, le mammouth mâle ne répondit plus aux appels sexuels de la mamma, craignant le piège. Et donc au bout d’un moment, il n’y eut plus de naissances de marmmos, nom commun du jeune mammouth.

Cette hécatombe est parfaitement résumée dans un célèbre distique d'alexandrins écrit sous forme de tautogramme et qu'on retrouve dans la tragédie en cinq actes Diplodocus de Virgile :

Magnifiques manteaux, mammifères maudits.

Moult mammouths moururent manu militari[3].

Rites et coutures

Une fois le mammouth mort, il était dépecé par le sorcier du village, le Mammih. Ce dernier avait été formé par ses prédécesseurs pour effectuer une découpe au cordeau de la peau de l'animal et maîtrisait donc parfaitement le processus. Dans le village, tout le monde laissait le Mammih faire. Mais faute de Mammih, n'importe quel gars avec un silex affuté pouvait faire l'affaire.

Afin d’en prolonger la conservation, la partie viande était enterrée sous la place du village, ce qui explique encore de nos jours le nombre important de fossiles de mammouths retrouvés par les terrassiers au moment de mettre en place le tout-à-l’égout dans n’importe quel patelin paumé. Coïncidence ou pas, beaucoup de ces chantiers de terrassement sur lesquels ont émergé des fossiles étaient destinés à l'édification d'hypermarchés Mammouth[4].

La tradition pour le chef de tribu de porter une moumoute a perduré jusqu'à l'homme préhistorique moderne. La composition de cette dernière en poils de mammouth reste sujette à caution.

La peau de son côté, était découpée en autant de morceaux qu’il restait d’habitants dans le village. Le chef se réservait le privilège de s’attribuer la touffe de poils ornant à l’origine le crane du mammouth, là où le derme est particulièrement mou. Il s’en fabriquait alors une espèce de petit chapeau qu’on appelait par raccourci lexical moummouth dont est dérivé le terme actuel de moumoute. Mais au bout de quelques siècles, certains hommes préhistoriques néo-communistes (homo leninum) ont commencé à dénoncer cette pratique, trouvant qu’en agissant ainsi, leur chef ne manquait pas de toupet.

Il faut noter que cette coutume s’est également propagée vers des zones géographiques non peuplées de mammouths, notamment sous les tropiques. Mais à la place des poils des mammouths mâles, les autochtones exploitaient les plumes des perroquets femelles, les perruches. La partie plumée réservée au chef venait non pas du sommet du crane mais de la queue de la perruche, qu’on appelait la « perruqueue » dont est dérivé le mot « perruque ».

Les autres morceaux de peau avec fourrure servaient ensuite à fabriquer les vêtements de toutes sortes mais qui devaient obéir à des directives précises de découpe. Là encore, c'était au chef de la tribu qu'incombait la responsabilité de définir les plans de coupe de chaque carré de peau. Quand il endossait cet habit, le chef était alors appelé le patron[5].

Après le mammouth

Puis un beau jour, le dernier mammouth périt sous les coups de haches[6] de chasseurs affamés et désireux de connaître les tendances de la mode automne-hiver -1700 avant J.-C. Il fallut alors trouver d'autres ressources.

Il existe une caractéristique typique de l’homme préhistorique sur laquelle s’accordent tous les historiens et paléontologues : il était con comme une bite. Ainsi, après avoir massacré le mammouth au péril de sa vie (et de celle du mammouth, soyons honnête), l’homo sapiens (sic) se tourna vers le grizzli, qui arrivait justement en seconde place sur l’échelle de dangerosité animale.

Je profite du fait que c’est moi qui décide ce que j’écris pour préciser qu’à ce sujet, le paléoanthropologue français Yves Coppens a émis une intéressante hypothèse : l’homme préhistorique aurait choisi son gibier en fonction d’un unique critère, la complexité du nom porté par l’animal. Ainsi, après mammouth, venait grizzli puis ensuite sans doute dans le désordre ornithorynque, okapi, scutigère et cætera[7]. Aussi originale que soit cette théorie, elle est malheureusement invérifiable puisque l’homme préhistorique n’a pas survécu à l’étape grizzli. C’est d’ailleurs préférable pour Yves Coppens parce qu’avec un nom aussi compliqué que « paléoanthropologue », il aurait été bien placé sur la liste des animaux recherchés pour leur fourrure par les hommes préhistoriques. Fin de l’aparté (ça aussi, c’est moi qui décide).

Après toutes ces péripéties, l'homme commença à réfléchir, à tel point qu'il devint homo sapiens sapiens, le bégaiement étant considéré par les orthophonistes comme un signe d'intelligence. Il se rabattit alors pour récupérer de la fourrure vers des animaux non létaux comme le vison ou le lapin. Mais certains irréductibles continuent de penser que la vraie fourrure ne peut être obtenue qu'en mettant sa vie en danger. Ceux-là se tournent plus volontiers vers la panthère, le loup ou l'amanite phalloïde. Mais nous y reviendrons après la pause.

Une anecdote cocasse

La moustache, symbole du rêve brisé d'un enfant incompris.

À ce stade du récit, je ne peux m’empêcher de vous raconter une anecdote hilarante et tout à fait véridique puisque je l’ai lue dans un excellent journal d’extrême-droite. Quand il était petit, Adolf Hitler avait deux passions : la peinture et la torture d’animaux. Son père, Sigmund Hitler, lui-même notable très en vue de la ville autrichienne de Braunau où résidait la famille, voyait d’un très mauvais œil que son fils choisisse une profession artistique. Il l’encouragea donc logiquement à se consacrer plutôt à la torture d’animaux, lui offrant ainsi pour ses 9 ans un vadémécum d'équarrisseur, un lot de couteaux japonais à sushis et des petites menottes adaptables aux papattes des chienchiens et des chatchats.

Le petit Adolf se prit au jeu et en quelques années, il maîtrisa parfaitement tout ce qui concernait la capture, la découpe et le dépeçage de nos amis à poils. Aussi, quand à la fin de la 3ème le conseiller d’orientation du collège Nicolas II de Braunau lui demanda ce qu’il voulait faire de sa vie, Adolf Hitler lui répondit naturellement : fourreur. Hélas, trois fois hélas, le conseiller d’orientation, dont c’était la dernière année avant la retraite, était à moitié sourd et il comprit de travers les desiderata du jeune Adolf, notant sur sa feuille de vœux : Führer.

La méprise ne fut découverte qu’à la rentrée et il était trop tard pour permettre au jeune homme d’intégrer la filière de fourreur qu’il désirait tant. Son père refusant obstinément que son rejeton redouble, Adolf Hitler dut contre son gré suivre le cursus de Führer dont personne ne voulait. Le reste est dans les livres d’histoire.

Conséquence de cette petite histoire, Adolf Hitler développa une féroce jalousie à l’encontre de ceux qu’il estimait avoir pris sa place, à savoir les fourreurs. Or, tous les fourreurs sont Juifs, ce qui explique bien des choses. Malgré tout, vers la fin de sa vie, il réalisa son rêve en devenant le gérant de la toute première boutique de fourrure exploitant uniquement le poil de berger allemand à Berlin. On peut encore admirer dans le centre-ville de la riante cité teutonne l’enseigne de cette boutique joliment baptisée en souvenir de ses origines « Autrichien à sa mémère ».

Types de fourrures

Après ce sympathique détour historique, revenons à nos moutons.

Bien que très poilu, le mouton est un animal peu prisé par les fourreurs. Seuls les fous les prisent. STOP ! Dis donc mon gars, tu vas arrêter de mater la photo de droite ? Elle n'a rien à voir avec ce paragraphe sur les moutons. Reprenons. Le poil du mouton a en effet tendance à frisotter, ce qui est un signe de piètre qualité pour la fourrure. De nombreux essais ont été effectués sur toutes les parties du corps du mouton mais rien n’y fait, ce n’est vraiment pas un animal adapté à cette industrie. Par ailleurs, La zone où le poil du mouton est la pire se situe au niveau de l’aine. L’aine du mouton et a tendance à mettre les nerfs des fourreurs en pelote.

La fourrure de Miss France est récoltée en général vers fin décembre-début janvier.

Cet exposé d’une clarté limpide prouve bien que le fait d’être un animal à poils est une condition nécessaire mais pas suffisante pour faire du bon matériau à fourrure. Prenons un autre exemple avec les Miss France. Ce n’est que récemment qu’on a découvert que la Miss France était un animal à poil. La mue intervient en général la semaine qui suit son élection. En milieu captif, elle se pare de ses atours habituels à base de robes de haute couture et de diadèmes. Il faut alors tout le courage et l’abnégation de reporters animaliers consciencieux[8] pour débusquer la Miss France à poil. Mais là encore, grosse déception pour les fourreurs : il y a en général assez de matière pour faire un cache-nez en fourrure, mais guère plus.

Pas de quoi en faire grand-chose si ce n'est un masque anti-grippe A malheureusement peu efficace car il a tendance à laisser passer les germes.

Les fourreurs doivent donc se tourner vers les valeurs sûres qui ont donné leurs lettres de noblesse à cette profession. On pense d’abord au vison. Vif, élancé, au poil soyeux comme le blé et luisant comme l’or, le vison est l’essence même de la fourrure de la femme moderne nantie. À tel point que les heureuses propriétaires de manteau en fourrure de vison ne disent pas « J’ai une fourrure en vison » mais plus simplement « Je t’emmerde ».

Éleveur de vison débutant qui a bêtement dépecé l'animal avant de lui trancher la jugulaire.

Fort de son succès, le vison est désormais un animal d’élevage. L’éleveur le recueille quelques jours après la naissance. Il faut la voir, cette petite boule de poils toute mignonne qui ne demande qu’à téter sa maman ! Il est nourri 6 fois par jour au biberon par son maître attentionné qui de son côté récolte les fruits de son labeur en voyant ce petit amour grandir tous les jours un petit peu plus, lui donnant moult signes d’affection à base de bisous, caresses et autres guiliguili sur le bidon. Puis au bout de 7 semaines, l’éleveur prend son couteau, tranche la jugulaire du machin et réalise une petite incision au niveau de la base de la queue. Il attrape alors les extrémités de la fente ainsi créée, écarte d’un geste sur pour décoller le derme et les poils du reste de la chair et en coinçant la queue de la bestiole avec son pied, tire très fort la peau vers le haut pour la retourner comme une chaussette. Faisant honneur à ses ancêtres préhistoriques, il mangera la partie comestible en brochettes ou en civet selon ses goûts avec des oignons et du persil.

Au fil du temps, l’éleveur de visons doué acquiert la faculté de percevoir dès la prime jeunesse de l’animal s’il donnera une fourrure de qualité. Un éleveur capable de se projeter ainsi dans l’avenir est appelé un bon visonnaire.

Le processus reste grosso modo le même avec les autres animaux à fourrure parmi lesquels on citera le renard dont la queue permet la fabrication de confortables manchons, le chinchilla qui fait aussi d’adorables manchons mais cette fois avec le corps entier en plaçant une main à l’intérieur de chacune des extrémités ou encore le lapin. Le cas de ce dernier animal est assez particulier. Autant la femme en vison peut marcher tête haute dans la rue pour provoquer la jalousie autour d’elle, autant la propriétaire d’un manteau en lapin a-t-elle tendance à raser les murs, puis son manteau pour en faire une gabardine.

Types de fourreurs

Très sollicité, le fourreur est obligé de procéder à une sélection drastique parmi ses clientes sur la base de critères connus de lui seul.

Le fourreur est un homme courageux et surtout très travailleur, comme le prouvent ses nombreux poils dans la main. Nous l’avons déjà souligné mais il est bon de le redire, tous les fourreurs sont Juifs. Un peu comme les banquiers ou les médecins. On dit d’ailleurs que la fourrure est au Juif ce que le carrelage est au Portugais ou ce que le KFC est au Noir. L’explication des intrications entre judaïsme et fourrure divise les historiens. On trouve d’un côté ceux qui n’en ont rien à foutre et de l’autre ceux qui pensent que cela n’a aucun intérêt.

De part sa profession, le fourreur est un homme à femmes. La capacité de pouvoir leur vendre un manteau à -15% du tarif normal hors période de soldes est l’argument de drague ultime qui fait se pâmer les dames et permet au fourreur de beaucoup fourrer. On dit alors du fourreur qui profite de la qualité de sa production pour mettre dans son lit un maximum de femmes qu’il est un chaud lapin (ou un chaud vison selon sa spécialité).

Polémique

Pour certaines femmes, le fait de porter ou non de la fourrure relève du véritable dilemme. On est content de ne pas être à leur place mais on voudrait être derrière elles pour les soutenir. Amis lecteurs, soyons les souteneurs de ces femmes en souffrance.

Pour autant, le fourreur n’est pas toujours un homme bien dans sa peau. Depuis quelques années, les campagnes de dénigrement envers sa profession se succèdent, arguant de la souffrance que subissent les animaux que l’on prive de leur fourrure, notamment à l’approche de l’hiver. Et il est vrai que cette opération ne se fait pas sans douleurs. Vous pouvez d’ailleurs en faire l’expérience vous-même : quand vous croiserez une femme dans la rue portant un manteau de fourrure, essayez de le lui arracher contre son gré et vous la verrez alors pousser des cris d’orfraie, alors même que l’orfraie est un oiseau rapace et n’est donc pas une espèce menacée par cette industrie.

Du fait de ces campagnes anti-fourrure à répétition, la profession a toutefois dû prendre des mesures, ce qui heureusement était dans ses habitudes car il n’existe pas de fourrure en prêt-à-porter. On a vu ainsi apparaître les premières fourrures synthétiques à base de dérivés de pétrole. Puis on s’est rendu compte que c’était très con car il est quand même préférable de massacrer des animaux dont on n’a rien à péter plutôt que de gaspiller une ressource rare qui sert à faire avancer les limousines dans lesquelles les femmes qui portent de fourrures prennent place.

D’autres tentatives ont été faites pour dédramatiser le problème de la souffrance infligée aux animaux. Certains producteurs ont essayé de concevoir de la fourrure en écailles de poissons tant il est vrai qu’un lapin qui souffre c’est horrible, mais un poisson, ça fait plutôt marrer. Esthétiquement, le résultat était convaincant mais le problème de l’odeur de marée persistante n’a pas encore été résolu.

Conclusion

Mais ces polémiques sont plutôt vaines et surtout assez futiles. Pourquoi vouloir empêcher une femme de porter un manteau de fourrure si elle l’a décidé avec son libre-arbitre et le portefeuille en peau de crocodile de son mari ? Qui sommes nous pour juger ? Et j’irai même plus loin : je vous le dis mes frères, tuer la fourrure, c’est tuer la liberté.


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Notes

  1. cf Tintin au Congo (Hergé, ed. Casterman), Lucky Luke, Western Circus (Goscinny/Morris, ed. Dargaud), Dumbo II, la vengeance dans le pachyderme (Disney)
  2. ou préhipatéticiennes
  3. Et en plus, ça rime
  4. Qui eux aussi ont disparu
  5. Faut le faire quand même
  6. Ils avaient fait des progrès techniques importants entretemps
  7. Le cætera est une sorte de petit mammifère rongeur voisin de la musaraigne
  8. Notamment ceux de la revue naturiste « Entrevue »


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