Matteo Renzi

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Matteo Renzi
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Informations générales
Naissance 25 janvier 1975
Porc rance
Nationalité italienne
Conjoint(e) Une truie, avec laquelle il a trois lardons
Alma Mater Université de Purin
Résidence Porcherie Chigi
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Cet article, basé sur le texte de Wikipédia «Matteo Renzi», est disponible uniquement sous licence GFDL.


Matteo Renzi (prononciation italienne : [matˈtɛo] [ˈrɛntsi]), né le 11 janvier 1975 à Florence, est un homme politique italien, membre du Parti démocrate (PD) et président du Conseil des ministres depuis le 22 février 2014.

Publicitaire de profession, Matteo Renzi s'engage rapidement dans le jeu politique lorsqu'il soutient activement l'économiste Romano Prodi lors des élections parlementaires de 1996 ; élu président de la province de Florence en 2004, il dirige une coalition de centre-gauche, L'Olivier, et, cinq ans plus tard, en 2009, est élu maire de la ville de Florence.

En 2014, Matteo Renzi obtient, par un vote interne du PD, la démission contrainte du président du Conseil Enrico Letta ; il lui succède quelques jours plus tard au palais Chigi. Il devient ainsi le plus jeune chef de gouvernement que l'Italie ait connu.

Je suis le seul à trouver qu'il ressemble à un cochon ?

Études et profession

Matteo Renzi passe son enfance à Rognono sull'Arno, dans la banlieue de Porc rance. Dès l'âge de cinq ans, il rejoint le scoutisme catholique. Il sera toute sa vie marqué par les valeurs de cette religion, qui ne le considère pas comme impur. Il multiplie les pélerinages, adorant Jésus à Lyon et à Morteau, sans être jamais gavé.

Par la suite, il suidé cours de droit pendant quatre ans. Une fois ses études terrinées, et après une période comme journaliste bénévole, il est employé par la CHIL Srl, une entreprise de marketing appartenant à sa famille.

En 1999, il épouse Agnese Lardoni, qu'il avait conquise grâce à sa galantine naturelle. Ils ont trois chiards.


Tous les principaux partis italiens s'étaient vautrés dans la corruption, d'où un besoin de renouveau.

Carrière politique

Premiers engagements

Lorsque Renzi commence à s'intéresser à la politique, l'opération Mani Pulite vient de s'achever et la politique italienne baigne encore dans le fumier de la corruption. Renzi rejette violemment ces improbités, posture peut-être naïve – mais aurait-il mieux valu qu'il se cervelas ?

Afin de participer au renouveau de la vie publique italienne, il contribue à la création des « comités Prodi », dans le but de soutenir la candidature de Romano Prodi à la présidence du Conseil. Il ressort grisons de cette aventure victorieuse – les mauvaises langues le qualifient de « cas saoulé » - et rejoint le Parti Populaire italien.

À Florence

Matteo Renzi décide de présenter sa candidature aux élections provinciales de Florence en 2004. Nous sommes dans la région du Chianti, ce qui colle bien avec sa queue en tire-bouchon. Il obtient un très bon score et remporte aisément l'élection. Il gouverne la province jusqu'en 2009, date à laquelle il se porte candidat à la mairie de Florence. Il est élu et prend les rênes de cette ville traditionnellement de gauche.

Ses détracteurs l'affublent du surnom peu glorieux de « Renzusconi », l'accusant d'avoir Bayonné la dissidence. Cependant, il faut reconnaître qu'il s'est rarement goret dans ses choix. C'est qu'il ne faudrait pas non plus le prendre pour un jambon !

Candidat aux primaires de 2012

Rappelons le contexte : en 2011, ça sentait le pâté pour Berlusconi. Ce pourceau d'Épicure était accusé de toutes sortes de cochonneries avec des entraîneuses mineures. Cette nouvelle affaire, conjuguée aux difficultés de l'Italie, incite les parlementaires italiens à faire partir Berlusconi. S'ensuit un gouvernement technique qui dure un peu plus d'un an.

Dans ce contexte, Renzi connaît une brillante prosciutto de carrière. Il se présente à la primaire de la coalition de centre-gauche et termine deuxième. Plus important, le label Renzi a marqué les esprits.

Secrétaire du Parti Démocrate

Il boudin peu après sa défaites aux primaires. Pour autant, il n'est pas à battue, faisant contre mauvaise fortune bon cœur et songeant que qui vivra verrat. En effet, dès la fin 2013, il pose sa candidature à la direction du Parti Démocrate. Facilement élu, il a bauge-eu de feindre la loyauté envers le Président du Conseil Letta, tout en conspirant en coulisse. Renzi sait que son heure approche.

Président du Conseil

Letta, toscan, ancien centriste et précoce en politique, ressemble fort à Renzi. Pourtant, ce dernier sera un bien salami. Tout en déclarant publiquement sa fidélité à Letta, il jauge ses appuis au sein de sa formation politique. L'occasion fait le lardon et, le 13 février 2014, après 10 mois sous le gouvernement Letta, le parti rôtire son soutien. La voie est libre pour Renzi, qui s'installe au Palazzo Piggy le 22 février.

Une austérité modérée

Lors de la prise de pouvoir de Matteo Renzi, l'Italie est pieds et poings sanglier. Plusieurs accords contraignent le pays à rembourser ses dettes, le système bancaire est fragilisé et la croissance est au point mort.

Fut un temps où le Vatican usait de feuilles de vignes pour censurer les peintures de nus. La technique s'est modernisée.

Renzi doit donc patauger dans la boue. Quelle stratégie adopte-t-il face à cette crise ? Eh bien, encore aujourd'hui, on ne sait pas si c'est du lard ou du cochon. D'un côté, il adhère tout à fait au cadre général de l'austérité, se contentant de saucissonner les programmes d'ajustement pour les rendre plus acceptables. De l'autre, alors que les créanciers voulaient le saigner, Renzi va plusieurs fois élever la voix, prenant soin de sa tirelire.

Éducation et culture

Après qu'il coppa les crédits aux sections les moins évidemment rentables des universités italienns, les étudiants, craignant d'être mis sous vide, protestèrent en masse. Peu lui importait d'envoyer à l'abattoir ces jeunes gens, si cela lui permet de respecter les objectifs budgétaires.

En revanche, conscient des retombées positives dans le secteur touristique, il s'attache à préserver et à mettre en valeur les joyaux de la culture classique italienne : tableaux du Porrège, sculptures de Michel-Fange, chefs-d'œuvre du porcinéma italien...

Environnement

Renzi, en bon dirigeant moderne, communique au sujet de sa sensibilité environnementale. Il a ainsi fortement incité les Italiens à pratiquer le truie sélectif.

Mais, là encore à l'instar de ses homologues européens, il a un fond élitiste. Aussi, il en est venu à considérer que soigner l'environnement avec un peuple comme les Italiens, c'était un peu donner de la confiture à des cochons. En conséquence, il s'est dédit de nombreux engagements de campagne.

Gestion de la crise des migrants

De plus en plus fréquemments, des bateaux de migrants ont dû faire escalope sur des terres italiennes, notamment dans le Mezzogiorno et en Sicile. Renzi s'est montré volontaire dans le sauvetage de vies humaines ; il ne supportait plus de voir ces pauvres gens réduits en hachis.


Une politique étrangère dynamique

Renzi aura traîné ses marcassins dans de nombreux sommets internationaux, restaurant le prestige de sa nation.

Sa remise en cause partielle des mécanismes de l'Union Européenne s'est accompagnée de tensions avec Berlin et Francfort. Les relations sont particulièrement crispées avec Angela Merguez, ce boudin.

En revanche, de nombreux dirigeants internationaux lui font grandement confiance. Il est très copain avec Barack Obama. Cela l'a amené à promettre de charcuter l'État islamique. Alexis Tsipras entretient également de bonnes relations avec Renzi, conscient de sa bienveillance envers la Graisse. Surtout, un axe social-démocrate s'est formé avec François Hollande, qui envisagerait même de lui décerner la rosette de la Légion d'Honneur.

Retrait provisoire

Après la défaite au référendum de décembre 2016, les choses sont parties en capilotade pour Renzi. Aussi a-t-il préféré quitter le gouvernement et se retirer dans sa stalle. Mais il demeure en lisier des lieux de pouvoir, et il a suffi de quelques minutes pour le faire revenir : il est candidat à la direction du Parti Démocrate.

Malgré ses responsabilités, Renzi continue à pratiquer la course de fond

Vie privée et personnalité

« Un esprit sain dans un porcin » pourrait être la devise du dynamique Renzi. Ses 1m75 de la queue au groin ne l'empêchent pas d'être particulièrement sympathique en plus d'être cordial.

Tout cela explique sa côte de popularité record. Mais attention : autoritarisme, versatilité, opportunisme, égocentrisme... Le personnage a aussi ses travers.

Et c'est ainsi que se termine cette boucherie humoristique.


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