Discussion Désinformation:La prothèse sioniste : nouvelle cible de la droite radicale

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« Ralgamalouche. Mais je veux dire, ça aurait très bien pu être écrit par n'importe qui. » Ha ha, excellent ! PdLC.jpgPdLC.jpg Pruster II : La Réponse mars 17, 2017 à 15:07

Mais qu'attends-tu pour faire élire mon merveilleux système ostéo-tendineux au best-of ? Ralgamaziel-Frappez-moi! mars 21, 2017 à 19:07 (UTC)
La phrase qui parle de moi est bien, mais sinon, je dirais, zythum, ou zyzomis. Gen.png Généralissime « Le monde n'était pas prêt » mars 21, 2017 à 19:11

Ralgamaziel serait donc à l'aise même avec un style totalement opposé au sien... Ça force le respect. Kagg.pngTéléphone.jpg avril 26, 2017 à 18:12 (UTC)

A l'aise, c'est un bien grand mot. Tellement même que c'en est trois, du coup. Je fais de mon mieux pour me faire rire, mais je n'ai pas de ces absurdes fulgurances prustéennes dans l'humour... Quand je lis un article de Pruster, voilà ce que je pense, voilà ce que je dis à la nouvelle génération : « Non, il n'est pas mort, celui que vous attendiez. Ça vous retourne, des articles comme ça ; ça vous retourne le monde...  »

Pruster, c'est la légèreté des paroles mêlée au vice le plus furieux, la sacralité qu'on divise, le repris éternel qu'on pardonne encore une fois, car il sait comment nous faire monter les larmes aux yeux. C'est la grandeur de la Nation retrouvée au coin du feu mourant des criminels, c'est le prophète inconscient qui restaure malgré lui un empire oublié, un empire de joie, de passion exaltée, qui ancrera comme une ombre la pensée impatiente du renouveau dans tous les esprits ; c'est la lutte des oubliés contre les couteaux de la haine, du peuple contre les despotismes, de l'art et de la concorde contre la barbarie des tyrans. C'est la beauté simple et intrigante de la nature qui se prononce à travers son œuvre, la fragrance amère de la forêt au printemps, le mysticisme d'un langage oublié qu'on devine à peine, mais qui parle et qui croît de toute ses forces ; on y trouve des impatiences, des volontés uniques, des impétuosités formidables de grand singe en colère. C'est aussi l'espace, l'infini qui se déploie devant les yeux du monde ivre de lui-même et qui tait d'un coup les rumeurs de l'Humanité toute éblouie de vide, saisie de somnolences vertigineuses, qui s'enfonce dans le temps avec les dieux, la religion, les baleines, les gangsters américains, et sert de matelas à la plus profonde des rêveries de l'esprit.

C'est la Vie, la Volonté universelle qui s'exprime par tous les moyens, et qui vogue vers vos vantardises et les vétilles vermoulues de vos voies vicieuses, vaines vilénies votives qui vitrifient les voix vives des versatiles visions de vengeance qu'on vanne virilement de vieux versets vénériens. Ce n'est pas en versifiant vertement la vérité des villes volées au voile des velléités versatiles et visqueuses de vos vicaires qu'on veut viser le vent et la vanne véloce des peuples. Pruster, vert et ventru verrat voguant avec vitesse et volonté, sur votre vol vulgaire de victoire voyageuse et vénale, n'est pas ce vaste et vibrant vilain qui viole et vend vos vertus rendues vides par vos vélites et vos valises votées. C'est ce simple homme, ce grand être qui parvient à rendre le sourire à l'Homme, pendant un instant de joie éclatante, alors que la Femme passe la tête par la cuisine et crie :

« Qu'est-ce qui te fait marrer, gros con ? »

Non, je ne crois plus en l'Humanité. Je ne crois plus aux grands idéaux. Je crois en Pruster. Ralgamaziel-Frappez-moi! mai 3, 2017 à 15:39 (UTC)

Souci

J'ai l'impression que l'article n'apparaît pas avec les désinformations récentes. Sinon, je suis de retour. L'Effaceur Ppc.png septembre 1, 2017 à 22:40