Ernest Hemingway

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Ernest Hemingway, de son vrai nom Erpest Lemmingway est en fait, comme peu le savent, le dernier descendant d'une famille de lemmings. À 6 mois, comme il répétait jour et nuit le mot écrivain entre deux pleurs, ses parents biologiques de nom inconnu seraient allés jusqu'à Madagascar pour le jeter par avion au milieu de la brousse et ne plus entendre parler de lui.

Jeunesse

Un lemming qui aurait aperçu Ernest sous un arbre, l'air songeur, en train d'écrire avec de la sève de bambou sur une énorme feuille de palmier (pour un bambin agé de seulement 6 mois, notons qu'il s'agit d'un phénomène prodigieux), confondit ses organes génitaux d'une longueur microscopiques avec une queue de lemming et décida de l'adopter comme son fils, touché par l'originalité de la créature.

À vivre ainsi au milieu de la forêt amazonienne, Ernest eut un penchant précoce pour l'aventure et le danger. Sa famille comptait sur lui pour la défendre des dangers environnants, étant donné qu'il semblait toujours grandir, et de la taille et de l'ego. Il combattit à mains nues un gorille à l'âge de 6 ans, un python à 7 ans et un tigre à 9 ans ; il s'ensuivit un recueil de nouvelles jamais publiés, intitulé : Ne faire qu'un avec la menace. Mauvais perdant de naissance, certains le soupçonnennt d'avoir assasinné Mowgli un soir de pleine lune, le jalousant d'être plus habile que lui au déplacement à dos de rhinocéros.

La guerre

Ernest Lemmingway eut vent d'une guerre en découvrant un colis rempli de journaux au bord de l'océan, voyant toutes ces images violentes, pleines d'explosion, de sang et de membre déchiquetés, son excitation pour l'aventure fut insoutenable et il voulut à tout prix goûter a cette expérience extraordinaire nommée : Première Guerre Mondiale. Grâce a sa débrouillardise innée, il réussit à se fabriquer un radeau à l'aide de bambous et de racines diverses pour voguer jusqu'aux États-Unis, ayant comme seul guide son instinct. Il n'eut aucun mal à passer au travers de ce voyage de 30 jours sans autre nourriture que l'espoir.

Arrivé à sa terre promise, rien n'alla plus pour lui, en effet, c'était très différent du Madagascar, la forêt était envahie de toutes sortes d'espèces végétales de forme rectangulaire, faites de matière en apparence indestructible, et des animaux sauvages comme il n'en avait jamais vus qui se nommaient : automobiles, autobus et motocyclette. Néamoins, il sut s'adapter rapidement et fit une requête pour être intégré à l'infanterie américaine, requête qui fut refusée à cause de son accoutrement pas très américain (une grosse paire de culottes en fourrure de lion) et son parler plutôt saccadé et cru (mais pourtant très judicieux). Pas du genre a se décourager pour si peu, Erpest suivit les conseils de la haute hiérarchie et se costuma en gentleman pour faire sa deuxième demande qui cette fois réussit. Il incorpora donc l'infanterie et put fusiller plusieurs centaines de soldats du camp adverse ; et certains de ces camarade le surnommaient Lestringway parce qu'il avait la tringue a chaque fois qu'il tenait une armes a feu entre les mains. Un roman intitulé Ah ! Dieu ! Les armes ! commémore cette période d'extase.

Après la guerre

Suite à cette guerre, Erpest devint citoyen américain. Il écrivit plusieurs autres romans de type autobiographique car il ressentait un besoin d'attention dû à son manque de confiance, associé à la microscopicité de son sexe (il a quand même osé aborder ce complexe dans son livre Pour qui sonne le gland) et au fait qu'il avait découvert à 25 ans qu'il était orphelin et non le fils véritable d'un lemming.


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