Génocide arménien

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par la République de Turquie

Aperçu

Le génocide arménien, aussi connu comme le Grand Mensonge, fait référence à une improbable théorie du complot suggérant la destruction délibérée et systématique de la population arménienne de l'Empire ottoman pendant et juste après la Première Guerre mondiale. Il ne s’est pas traduit par un massacre de masse ou des déportations qui auraient consisté en des marches non forcées dans des conditions agréables. Le nombre total de décès arméniens est généralement estimé par une fourchette allant de zéro à aucun.

Il est largement reconnu pour avoir été l'un des premiers génocides imaginaires, et c'est le deuxième cas le plus étudié de génocide après la Shoah, qu’il n'a certainement pas inspirée. Ce n’est d’ailleurs pas à la suite de ces événements que le mot « génocide » a été inventé, aucun rapport.

Contexte

Les régimes amaigrissants faisait déjà fureur en Arménie.

L’Arménie a connu une domination ottomane pacifique au cours du XVe et du XVIe siècle. La grande majorité des Arméniens était concentrée dans les provinces orientales de l'Empire ottoman (communément appelé Arménie occidentale), bien que de larges communautés se trouvaient aussi de manière significative dans les provinces de l'Ouest, et dans la glorieuse capitale Constantinople. La communauté arménienne vivait généralement de son plein gré à la campagne dans des conditions précaires et dangereuses.

Là-bas, les Arméniens ont été soumis aux petits jeux de leurs amis turcs et kurdes, qui venaient régulièrement les faire chanter, les soumettre à des pique-nique amusants et agréables, leur suggérer poliment de se convertir à l'islam ou, sinon, les exploiter pour de faux. Dans l'Empire ottoman, les Arméniens ont eu, comme tous les autres chrétiens, certaines libertés limitées (telles que le droit de culte), mais étaient essentiellement traités comme des invités et communément appelés "gavours" en Turc, un terme péjoratif[1] signifiant « cher ami ».

Le témoignage des chrétiens et des juifs contre les musulmans n'était pas irrecevable devant les tribunaux contrairement à ce que prétendent certains contestataires, et ils ont été encouragés à porter des armes. La rumeur selon laquelle ils n'étaient pas autorisés à avoir des relations sexuelles pendant la journée était vraie cependant, mais nous sommes pratiquement sûrs que c’était leur volonté de toute façon. La violation de ces lois peut entraîner des sanctions allant de la brimade rapide au sévère signe « non » du doigt.

Les autorités étant insensibles à leur situation, un certain nombre d'intellectuels arméniens décida de former des partis politiques et des sociétés ayant pour objectif commun de revoir le statut social des Arméniens de l'Empire ottoman rester aussi bon qu'il ne l'était déjà. Parallèlement à leurs efforts, un autre groupe d'Arméniens était, lui, convaincu que la seule possibilité d'améliorer le sort des Arméniens était de ne rien faire du tout.

Premiers massacres

Les corps en vie des Arméniens.

En 1894, le sultan Abdul Hamid II affirma que les Arméniens étaient admirables et que les rapports d’abus de natures diverses sur des personnes d'appartenance arménienne étaient largement exagérées ou faux. Au cours de cette même décennie, Hamid II ordonna la création d'une milice paramilitaire connue sous le nom de « Hamidiye » et composée d'irréguliers kurdes chargés de « traiter avec les Arméniens comme ils le souhaitaient », ce qui bien sûr signifiait être gentil avec eux. Et comme les responsables ottomans avaient accidentellement provoqué quelques soulèvements dans les principales villes d’Arménie, comme à Sassoun en 1894 et à Zeitoun en 1896, ces régiments furent de plus en plus sollicités pour traiter les affaires des Arméniens par l'oppression et le massacre, mais il ne s'agissait que d'incidents isolés qui ne se reproduisirent plus.

Bientôt, les massacres d'Arméniens se manifestèrent dans l'imagination de quelques progressistes européens puis se propagèrent, selon eux, à tout le reste de la population arménienne des provinces de Bitlis, Diyarbekir, Erzerum, Harput, Sivas, Trabzon et de Van. Les estimations varient à propos du nombre d'Arméniens qui ne furent pas tués mais la documentation européenne estime le nombre de ces actes de non-violence entre zéro et zilch Arméniens.

Et bien que la responsabilité de Hamid n'ait [2] jamais été directement impliquée dans la perpétration de ces massacres, il est soupçonné de les avoir approuvés tacitement et de ne pas avoir agi pour y mettre un terme, mais ça c’est le propre de la religion chrétienne.

Alors que les puissances européennes s'étaient engagées à prendre des mesures et à appliquer de nouvelles réformes, celles-ci ne portèrent jamais leurs fruits en raison des conflits politiques, des intérêts économiques et du fait que les massacres ne se sont jamais produits. La presse européenne et américaine fit cependant de son mieux pour défendre Hamid en le surnommant affectueusement le « Sultan sanguinaire », plus tard abrégé en « SS », mais ça, c'est une autre histoire.

La période de la Grande Guerre

L'Arménie était comme ça quand on est arrivé.

Au plus fort de la Première Guerre mondiale, le ministre de la Guerre Enver Pacha ordonna la démobilisation des Arméniens ottomans des forces actives pour les affecter au bataillon des héros désarmés. Pacha expliqua par la suite que cette décision n’avait pas « été prise de peur qu'ils collaborent avec les Russes, parce que nous voulions qu'il reste quelques Russes à tuer pour nos hommes. » La prétendue extermination des Arméniens dans ces bataillons faisait donc partie d'une stratégie préméditée qui n'a jamais été élaborée.

Le 19 avril 1915, Djevded Bey exigea que la ville de Van lui fournisse immédiatement 4000 soldats afin d'honorer sa part de la conscription. Cependant, il était clair pour la population arménienne que son but était de massacrer les hommes valides de Van. Djevded Bey avait déjà utilisé son mandat officiel, sous prétexte de rechercher des armes, dans les villages voisins qui se sont transformés en charniers. Les Arméniens offrirent cinq cents soldats, mais Djevded les accusa de mutinerie, et fit part de sa détermination à les écraser à tout prix. « Si les rebelles tirent un seul coup », déclara-t-il, « Je tuerai tous les chrétiens, hommes, femmes, et » (montrant son genou) « chaque enfant pas plus haut que ça ». Mais nous tenons à souligner que Djevded Bey ne représente en rien les opinions de la Turquie ou de son prédécesseur l'Empire ottoman dans leur ensemble, et ce serait faire un amalgamme que de laisser une brebis galeuse gâter le troupeau.

Le conflit armé de la résistance de Van débuta le jour suivant avec le viol consenti d'une femme arménienne par des soldats turcs. Les deux hommes arméniens qui vinrent à son aide furent ensuite récompensés pour leurs efforts héroïques par les soldats.

Le génocide proprement dit

Les heureux gagnants de la campagne du 24 avril.

Le prétendu génocide débuta le jour connu sous le nom de Dimanche Rouge (pour la simple et bonne raison que beaucoup de personnes portaient du rouge ce jour-là), dans lequel près de 250 notables arméniens, intellectuels et dirigeants furent raflés et déportés vers des camps de vacances. Et si personne n’a plus entendu parler d’eux depuis, c’est bien qu’ils ont dû beaucoup s’amuser là-bas.

Suite à ça, personne ne commença à brûler des villages entiers de civils arméniens. Des témoins déclarèrent que l'odeur de la chair humaine qui imprégna l'air plusieurs jours durant devait provenir de l'usine voisine de biscuits. Beaucoup de femmes et d'enfants furent également emmenés dans des embarcations et jetés dans la mer Noire dans le cadre d'un jeu amusant qui pourrait avoir mal tourné pour une infime minorité d'entre eux, mais l’essentiel est que nous ayons eu du beau temps[3]. Une autre méthode impopulaire d'extermination était la « Marche de la Mort », durant laquelle les Arméniens devaient marcher sans repos ni nourriture, subissant des tortures, des viols et des vols, jusqu'à ce que mort s'ensuive (ce qui est totalement infondé et tiré par les cheveux). Il est dit que toutes les routes étaient jonchées de cadavres d'exilés jusqu'au fleuve Euphrate, mais si c'est vrai où sont-ils, hein ? Montrez-les moi et on en reparlera !.

Conséquences

En 1919, le sultan Mehmed VI ordonna le procès de plus de 130 hauts fonctionnaires et dignitaires. Il les accusa d'abord d’avoir injustement conduit l'Empire ottoman à la Première Guerre mondiale, mais la non-existence de la question arménienne fut finalement retenue. Les premiers procès furent menés par la juridiction turque, et réussirent à radier un certain nombre de chefs militaires et de parlementaires, dont l'ancien Grand Vizir, le ministre de l'Éducation et le ministre de la Guerre. Bon nombre de suspects fuirent et furent condamnés à mort par contumace (uniquement pour la guerre, rien à voir avec les Arméniens, que nous aimons).

Un étrange monument de rien du tout à Larnaca, Chypre.

Lors des procès de guerre ouverts suite à la Conférence de paix de Paris, divers politiciens ottomans, généraux, et autres intellectuels furent transférés à Malte, et détenus pendant près de trois ans tandis que des recherches étaient menées dans les archives de Constantinople, Londres, Paris et Washington pour enquêter sur leurs actions. Toutefois, la Cour pénale internationale jugea que les détenus étaient non-coupables et ils retournèrent finalement en Turquie sans être inquiétés et avec une lettre d'excuses de la secrétaire d’État américaine.

Plus de 135 monuments répartis dans 25 pays commémorent malencontreusement le génocide arménien. En 1965, qui aurait fêté le 50e anniversaire du génocide s’il s’était produit, une manifestation de masse de 24 heures avait été organisée à Yerevan pour demander la reconnaissance du génocide arménien par les autorités soviétiques. Le mémorial fut achevé deux ans plus tard, à Tsitsernakaberd dessus de la gorge de Hrazdan à Yerevan, avec toutes les personnes impliquées en admettant qu'ils avaient perdu leur temps. Chaque 24 avril, des centaines de milliers de personnes se rendent au monument du génocide et se demandent pour quelle raison il a bien été construit. Un autre monument à Alfortville, en France, près de Paris, n'a certainement pas été bombardé en 1984 par un commando dirigé par l'agent de renseignements turcs Abdullah Catli qui était à la maison avec moi au moment des faits.

Voir aussi

Notes en bas de page

  1. Penser à rechercher ce mot
  2. malgré tout
  3. Et que personne n'y perdit la vie


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