Jimmy Wales
Jimmy Wales est un illuminé, inspiré par l'Esprit Saint, selon ce qu’il prétend à chaque conférence de presse.
Biographie
Jimmy Wales habite dans un station balnéaire chic et friquée, à Saint Raphaël, USA, entouré de gonzesses blond platine qui l’entourent et dont il aime à s’entourer pour penser.
C'est un gourou qui dirige la secte mondiale qu’il a appelée « l’Opium du peuple », sans doute pour ses liens avec le trafic d’opium dont Ben Laden est à la tête, et qui finance la secte de Wales, dit-on.
Avant de devenir le gourou mondialement célèbre qu’il est aujourd’hui, Jimmy Wales est d’abord connu pour avoir fondé avec ses amis Hermann Göring, Joseph Goebbels, et Joseph Staline un objet internet d’un type nouveau où tout est promis car tout est possible selon ses promesses : Wikipédia.
Le projet Wikipédia
Le slogan publicitaire de Wikipédia, « Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver. » s’est imposé comme une traînée de poudre.
La bande des 4 (opposants à Mao) que nous nommerons pour faire plus court G-G-S-W, adopta cette belle devise en guise de slogan pour se faire la place sur internet depuis ce jour où Wales eut en rêve, ou après avoir peut-être un peu abusé du produit que lui refile son copain afghan, cette illumination qui s’est imposée à lui comme une révélation céleste « Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver. »
Depuis le projet s’est accompli et résume Wikipédia qui a fabriqué tee-shirts, badges et autres gadgets jusqu’à la lampe à huile portant sa devise gravée au front. Elle a même fabriqué une chanson à sa propre gloire qui est chantée dans les écoles et chez les scouts et toutes les organisations de jeunesse militaires, dont le refrain est :
« Quand j'entends le mot culture, je sors mon revolver. »
C'est pourquoi, Wikipédia est un grand succès dont les revenus sont, dit-on, supérieurs à ceux des Rolling Stones.
Malgré cela Jimmy Wales, qui est âpre au gain, essaie d'obtenir notre argent en nous inspirant pitié avec une photo de lui sur toutes les pages wikipedia, où il apparait hagard, mal rasé, l'air misérable seul au milieu des bois ce qui laisse suggérer qu'il a perdu sa femme et sa maison.