John Wayne

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« Je m'étonne qu'il n'y ait pas encore de page John Wayne sur ce site délirant de bonne humeur et rempli à foison d'hommes célèbres intelligents. »


La naissance d'une légende

C'est ça Johnny ! MONTRE LEUR LA PUISSANCE DE TA REPRÉSENTATION PHALLIQUE REPRÉSENTANT TA FRUSTRATION LIÉE À TON SEXE !

Tout d'abord, je dois dire que c'est un pseudonyme. Son vrai prénom est Marion (c'est vrai !). Ceci peut laisser planer quelque doutes sur sa personne, ce qui explique qu'on a si peu d'informations sur une telle star du Far Ouest.

En fait je sais pas si on peut dire que John Wayne est une légende.

Je veux dire bon, personnellement moi j'adore John Wayne, mais je reconnais que c'est subjectif, voire même arbitraire ou faciste. J'aime pas trop le cinéma, vous voyez...mais John Wayne, c'est quelque chose, quoi. C'est un modèle de justice et de respect d'autrui. Ce mec là m'a aidé à m'épanouir, vraiment, ainsi que toute cette bande de branques en manque de repères dont la vie n'avait pas plus de raison de leur amener la réussite que certaines personnes de percer dans la chanson internationale. À travers cet Homme, c'est l'American Way of Life qui s'exprime, voyez-vous ?

Ce mec là, avouez bande de thons, c'est un des premiers héros à avoir lancé la mode du bon gros héros américain qui défouraille partout dans tous les sens, surtout avec quarante-douze balles dans la peau, tout en mâchouillant son éternel cigare interminable, et dont les manières rustiques lui interdisent de prendre la peine de poser les questions après.

Chuck Norris lui-même ne peut prétendre le battre sur ce terrain, désolé vieux, faut savoir être bon perdant. John Wayne n'a pas à trembler devant ces Tintin, Hulk, Danny Boon, Mister Bean, Sangoku, Sylvester Stallone, et autres hommes férus de bagarres et de bitures entre copains, car c'est lui qui a inventé ce concept. Alors moule ta gaufre deux minutes, Superman.

La mort d'une légende

Un sourire qu'on a désormais envie d'écraser à coup de tatane. Ce sourire me débecte franchement. Arrogant petit pitre.

Malgré toute cette classe qui l'enrobait comme un bonbon fourré partout où il allait, cette grâce féline de panthère rose marchant à pas feutrés, un défaut rongeait cet homme : il soutenait la guerre du Viêt-Nam.

Honte à lui putain, honte à lui, c'est dégueulasse, ça se fait pas, j'ai la gerbe.

Depuis ce jour, il faut avouer que des films tels que "Opération dans le Pacifique" ou "Les bérets verts" ont pris une saveur autre, un peu comme quand on fait tomber un steack dans des poils, et on le mange malgré tout; ça a toujours un goût de steack, mais un petit quelque chose en plus chatouille la langue et finalement, c'est moins bon que les fois d'avant.

Franchement c'est dommage, avec Clint Eastwood ils formaient jusque là le duo imperturbable des garçons vachers qui portaient des pantalons de cuir moulants, sans pour autant que ça fasse homosexuel. Et puis vas-y que je galope toute la journée sans avoir mal au cul, que je dors à la belle étoile sans attraper de la froi-froid au cu-cul, que je me rase au coupe-chou sans trancher la gorge, que je fume des sans-filtres du matin au soir sans avoir le cancer. Des héros, je vous dis.

Ah euh...rectification; finalement, on dit que John Wayne eût été mort d'un cancer. De l'estomac. Hmmm. Normal de la part d'un Américain, finalement...

Quand j'y pense, tout ce foin pour rien, ça me rend malade.


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