Utilisateur:Monsieur Brouillon/Le Zinjin

Un article de la désencyclopédie.
Aller à la navigation Aller à la recherche
le Zinjin
Zinjin.jpg

Le Zinjin est un dialecte international, né en 2003 en Alsace dans la région de Colmar, très simple d'utilisation et à la compréhension universelle. Il s'utilise sur la base du français, mais est néanmoins compatible avec toutes les langues. On peut ainsi assimiler la conception de ce langage à celle du "Schtroumpf", à la différence que le Zinjin est bien plus développé puisqu'il ne compte pas 1 mais 5 mots. Il fut créé puis développé par un nombre très restreint d'étudiants, se connaissant tous entre eux, dans le seul but d'exprimer des sentiments indescriptibles par des mots de notre langue et pouvant affirmer l'universalité des choses qui nous entourent. Son vocabulaire, à la fois simple, pratique et ludique, se veut très restreint notamment pour des soucis d'efficacité.

Vocabulaire

Le Zinjin compte très peu de mots, toutefois leur richesse en font sa force:

- Valsn: signifie à peu près tous les noms communs. Variante possible: "Vasley". Ex: "Peux-tu me passer le valsn?"

- Flanssn: Même signification que Valsn. Ex: Aujourd'hui j'étais au flanssn.

Notons que ces 2 mots, d'une universalité bouleversante, permettent également de désigner des lieux, des personnes, des entités, des associations,... bref, tout ce qui porte un nom. Valsn et Flanssn peuvent être utilisés ensemble dans la même phrase, toutefois il est très rare, voire incorrect d'utiliser 2 fois le même mot dans la même phrase, car la compréhension en serait alors remise en cause.

- Sioufoui: Exprime l'intensité d'une sensation agréable. Ex: (Pendant un repas délicieux) Sioufoui!

A noter qu'il est le plus souvent utilisé pour l'attirance gastronomique ou sexuelle, mais aussi par exemple pour toute sorte de plaisir provoqué par un évènement (footballistique, politique ou autre). Il peut également, mais à de très rares occasions, s'utiliser pour son terme français "Suffit", afin d'exprimer son agacement envers quelque chose. Variantes possibles: "Soufi" ; "Sioufi" ; "Kioufoui" ; "Hhhiouffhhoui" (ce dernier faisant acte de l'atteinte de l'intensité maximale de la sensation agréable).

- Azinjin: Permet d'appuyer ses propos. Ex: Peux-tu me passer le valsn azinjin?

Ce terme permet de mettre de l'intensité sur ce que l'on dit, il est comme une ponctuation à haute voix qui donne une profondeur et une importance à ce que l'on vient de dire. ATTENTION! Ne pas confondre avec "zinjin"!

- Zinjin: c'est le mot le plus universel et c'est celui qui a donné son nom à ce dialecte. Tout comme valsn et flanssn, il exprime tous les noms communs. Mais sa force réside dans l'universalité de ses significations. Il permet par exemple d'exprimer un salut (Ex: Zinjin = salut), un agacement... en fait il est aussi l'expression de notre état d'âme vis à vis d'un évènement non agréable ("Sioufoui" faisant déjà état de l'expression de sensation agréable). Il peut s'employer quasiment en toutes occasions et permet d'exprimer un nombre incalculable de sentiments. Il est aussi un indicateur de compréhension, puisqu'il permet de faire comprendre à l'autre qu'on l'a compris. Il peut également mettre fin à un débat ou le relancer.

A noter qu'un mélange des syllabes de ces différents mots est possible. A utiliser néanmoins avec extrême précaution, car la compréhension risque d'être plus que jamais remise en cause. Ex: "Sioujin", "Vajin", "Zinfoui", "Flanjin", etc...

Historique

L'origine de ce dialecte remonte au début du XXIe sicèle, plus précisément en 2003. Il a été créé par un duo de jeunes étudiants, au lycée Blaise Pascal de Colmar. Il est basé sur un amalgame d'anecdotes personnelles, ou encore de personnages réels mythiques rencontrés au cours de leur vie. Ce dialecte est en perpétuelle évolution, ce qui en fait notamment sa force. La plupart de ses mots ont subi plusieurs modifications au cours de leur existence, tant au niveau de leur prononciation que de leur orthographe.

Voici un descriptif de l'origine de chacun des mots:

- Zinjin: il s'agit du premier mot créé dans ce dialecte. Son origine provient du dessin animé Pico et Colombus, au moment où la petite souris s'exclame sur son embarcation: "La terre du grand fomaaaaaaage!" Ce "grand fomaaaaaage" a ainsi subi une première modification afin de devenir: "grand fromaaaaaazege". Ce "zege" a ensuite été isolé afin de devenir un mot à part entière. Quelques années plus tard, ce mot subit sa dernière modification, grâce à la complicité d'une personne rentrée en contact avec l'un des deux amis, et transforma ainsi le "zege" en "zinjin". Cette dernière version est restée inchangée depuis et ne comporte aucune variante, signe probable d'atteinte maximale de l'évolution de ce mot.

- Azinjin: il fut créé peu de temps après le mot "zege", dont il trouve d'ailleurs son origine. Sa première version fut: "azege". Lors de la création du mot "Zinjin", il suivit tout naturellement la même évolution et se transforma en "Azinjin".

- Valsn: ce mot quant à lui a pour origine un personnage réel portant le nom de famille Valdeck. Celui-ci fut rencontré lors du parcours scolaire du duo d'amis aux alentours de la fin du primaire. Les discussions répétées au sujet de ce personnage ont tout d'abord conduit à une première modification de son nom de famille en Valsteck. Ce n'est que bien plus tard, en 2005, que la version actuelle du mot valsn fut développée.

- Flanssn: l'historique de ce mot reste encore à l'heure actuelle un grand mystère. Seule certitude: ce mot fut créé après valsn, car il utilise le même type de terminologie. Des études menées par les fondateurs ont été récemment entreprises afin de faire la lumière sur les origines de ce fameux mot.

- Sioufoui: l'origine de ce mot trouve sa place dans le lycée Blaise Pascal de Colmar, et plus précisément lors du cours d'anglais. Le personnage fictif de "Sue", trouvé lors de la lecture d'un texte, est la base de la création de ce mot. Le suffixe "foui" a quant à lui été rajouté peu de temps après, pour des raisons qui resteront probablement inconnues à jamais. Les premières orthographes de ce mot ne trahissaient en rien ses origines anglophones: "Suefue" ou bien "Suefuee". Son orthographe actuelle et ses différentes déclinaisons (kioufoui, soufi, sioufi, hhhhhiouffhhhoui) sont en revanche bien plus récentes (2007-2008 environ). Il s'agit du mot le plus apprécié par les pratiquants du Zinjin, et il possède encore vraisemblablement la marge d'évolution la plus forte.

Population et zone géographique

Le Zinjin est parlé surtout en Alsace, lieu de sa création, mais vise toutefois à s'étendre hors des limites de cette région, voire de la France. Sa compatibilité avec toutes les langues a d'ailleurs récemment permis de développer ce dialecte à l'international, notamment en Allemagne (région de Berlin), en Pologne (Varsovie), ou encore en Hongrie (Budapest). Son universalité et sa simplicité devraient faciliter son expansion territoriale. Malgré cette apparente simplicité, il est parlé par très peu de personnes, car son apprentissage requiert une ouverture d'esprit et une philosophie que peu de personnes ont atteint. Seuls les quelques initiés ont pu atteindre un niveau de maitrise parfaite de ce dialecte. On recense tout de même à l'heure actuelle une quinzaine de personnes maitrisant ainsi ce langage et ses subtilités (soit 2.094*10-7% de la population mondiale en 2013), et plusieurs dizaines de personnes touchées et/ou initiées, mais n'ayant pas encore atteint l'ouverture d'esprit nécessaire à sa bonne maitrise.

Philosophie

Le zinjin est un dialecte encore largement méprisé, de par ses sonorités étranges et par sa prétendue absurdité. Toutefois il est surtout inaccessible aux autres par la philosophie, l'ouverture d'esprit et la simplicité dont il faut faire preuve pour s'en approprier l'utilisation. En effet, son adoption requiert une grande capacité de raisonnement, mais également de faire abstraction de l'absurdité de ce langage, le faisant apparaitre enfantin, quand en fait il se veut cosmopolite. C'est pour cela que son adoption par le plus grand nombre est encore pour l'instant trop utopique, malgré une croissance régulière du nombre de ses pratiquants.

Liens externes