Animal
Les origines de l’animal sont encore incertaines. Plusieurs illustres membres de la communauté scientifique et/ou de la communauté religieuse se sont penchés, en vain, sur la question. Peut-être ne saura-t-on jamais d’où l’animal vient, reste qu’il existe en ce moment plusieurs théories plus ou moins valables définissant ce qu’est un animal et d’où il provient.
Problématique initiale
L’animal ou animo prima en langage scientifique (pl. : animaux) est apparu sur Terre avant l’être humain, c’est bien évident, parce que sinon cette article serait un non-lieu, les origines de l’animal étant connues. De plus, certaines théories affirment que l’homme proviendrait du singe (une espèce animale), mais comme nous le verrons, cette théorie n’est que partiellement vérifiée, ce paternalisme étant disputé avec le poney , une autre espèce animale.
Caractéristiques de l’animal
L’animal se caractérise effectivement. Cependant, la grande variété d’animaux que l’on peut observer rend cet exercice difficile. Nous présenterons tout de même quelques points rendant l’identification de l’animal plus aisée :
- L’animal a des pattes. Se comptant généralement par paires, ces pattes peuvent tout aussi bien être absentes chez certains individus. Le nombre de paires de pattes peut varier de aucune (voir poisson), à une (voir singe) ou plusieurs (voir mille-pattes). On remarque les pattes à l’usage que l’animal en fait. Il est à noter que par le théorème de l’araignée, le nombre de pattes est corrélé au nombre d’yeux, voir l’exemple suivant :
Exemple 1 : Une araignée a 8 pattes (4 paires) – pour autant qu’on ne lui en arrache pas – et 8 yeux (4 paires encore une fois). |
- L’animal a parfois une queue. La queue de l’animal peut ou non avoir de multiples usages. Certains animaux (les mâles) sont dotés d’une paire de queues. Il existe cependant un exception à cette règle : l’éléphant mâle a trois queues. La queue sert à signifier l’humeur (voir chien), le désir (voir rut) et peut aussi servir à respirer dans le cas de la troisième queue de l’éléphant mâle. Notez que les animaux sans queues sont bizarres et ne valent pas la peine qu’on s’attarde sur la question.
- L’animal respire. Cette caractéristique est la plus importante lorsque l’on caractérise un animal. Cette caractéristique permet non seulement de différencier l’animal de la plante mais aussi l’animal vivant de l’animal mort. Afin de bien mettre l’emphase sur cette caractéristique, consultez l’exemple suivant :
Exemple 2 : L’animal est vivant : il respire. |
- L’animal mange et défèque. En effet, pour survivre l’animal doit ingérer de la nourriture. L’effet résultant de cette action est une réaction égale mais opposée dans l’espace : l’animal chie.
- L'animal a une démarche particulière. Sa tête se balance d'avant en arrière. Ses membres vont et viennent suivant un angle de 30° de dedans en dehors, ses traits sont grossiers. Il a une sale gueule et il en est conscient. C'est justement ce dernier élément qui fait que l'animal est toujours potentiellement dangereux, d'autant plus dangereux que...
- L'animal veut être votre ami... Il fait des pattes et des griffes pour se rapprocher de vous. Il se met en valeur en ne la fermant jamais (sa grande gueule). Il crache, rote, pète, pisse et même chie quelquefois en public... et il trouve ça amusant. L'animal est fourbe, au moment où vous croyez l'avoir apprivoisé et que vous vous dites qu'il n'est pas comme les autres animaux, que celui là au moins a de l'avenir (voir Avenir de l'animal),il vous plante ses grosses canines dans la gorge, par derrière bien sûr.
Théories sur l’animal
Tel que mentionné dans l’introduction, il existe plusieurs théories sur les origines de l’animal. Nous exposerons ici les principales.
Théorie scientifique
La théorie scientifique portant sur l’animal stipule que celui-ci origine de sa mère. En effet, les scientifiques affirment que l’animal serait issu de la copulation entre un mâle et une femelle. La variation entre les différentes espèces proviendrait de la copulation entre différentes espèces. Le meilleur exemple de l’évolution de nouvelles espèces est le centaure, voir l’exemple suivant :
Exemple 3 : Le centaure serait issu d’une relation d’ordre sexuel entre un être humain (mâle) et une jument (la femelle du cheval). |
Cet exemple reflète bien un autre problème majeur. Plusieurs scientifiques affirment que l’homme descend du singe, ce qui peut sembler logique vu la ressemblance. Cependant, comment peut-on expliquer l’existence d’adolescents (et d’adultes) de type poney si il n’existait pas d’origine commune ?
Théories religieuses
Les théories religieuses foisonnent d’imagination et sont aussi variées que complexes et indécentes. De plus, d’innommables variations vont de pair avec les diverses confessions. Afin d’alléger le texte, nous ne présenterons que les principales.
Chrétienne
Les chrétiens voient l’animal comme étant l’égale à la femme. Selon la mythologie chrétienne, l’animal aurait été créé par Dieu, tout comme Ève, pour servir Adam. Adam aurait par la suite hérité du droit divin de garde-chasse sur tous les animaux créés, pouvant ainsi assouvir ses instincts les plus bas avec celui qui lui dira lors du moment venu.
Musulmane
Les musulmans voient l’animal comme étant une cible disponible pour la pratique au tir. En effet, un des cinq piliers de la sagesse a ses bases sur la chasse à l’animal. Lorsque le musulman doit convertir de force tous les infidèles, il s’agit en fait d’une mauvaise adaptation moderne de la tradition. À l’origine, le pratiquant devait cuire de force tous les animaux (sauf le porc qui servait aux nuits torrides).
Juive
La théorie juive sur la solution finale des animaux ne varie que très peu de la théorie chrétienne. En effet, Yahvé aurait, tout comme Dieu aux chrétiens, donné tous les droits et privilèges sur les animaux. La seule différence notable est que le juif doit vendre l’animal, et non s’en servir comme un jouet sexuel.
Il y a ici un imbroglio juridique qui persiste depuis quelques 2000 ans. La propriété animale revient-elle de droit aux juifs ou aux chrétiens ? Les deux dieux uniques ne s’étant pas concertés lors de l’attribution de la propriété, les juifs, autant que les chrétiens, ont le droit de demander réparation des autres religions pour leur utilisation hors licence des animaux. L’affaire est toujours devant les tribunaux.
hindouiste
Les hindous voient l’animal comme étant leur grands-parents, ou quelconque autre aïeul réincarné. C’est pourquoi ils sont végétaliens (et par conséquent non concernés par la cause opposant chrétiens et juifs). Il faut admettre que l’auteur les comprend, voir l’exemple suivant :
Exemple 4 : Advenant le fait de la réincarnation et le fait que la plupart des gens n’ont jamais mangé leur parents, grands-parents ou n’importe qui d’autre de leur famille (hormis les rares cas d’inceste). |
Théorie scientologique
Cette théorie se trouve à mi-chemin entre la théorie scientifique et la théorie religieuse. En effet, les scientologistes sont adeptes de la science-fiction et croient que Dieu avait un doctorat en biologie moléculaire et s’est amusé à créer des animaux et les semer sur Terre en gambadant gaiement dans les champs (voir : Dessein intelligent).
Futur de l’animal
Les perspectives d’avenir de l’animal sont minces. En effet, celui-ci se voit mangé de part et d’autre et souffre grandement de l’imbroglio juridique susmentionné. De plus, la transformation de son habitat naturel (la banlieue) en cité le pousse à reculer vers les zones rurales où il est attendu de pied ferme par le campagnol, un prédateur de l’animal. Suivant les critères de la spéciation définis par Darwin, éminent animologue, les animaux se différencient en deux branches distinctes: les animaux domestiques et les animaux sauvages. les animaux domestiques tentent bien que mal de s'assimiler au maître qu'ils vénèrent secrètement: ils vont à l'école, apprennent à se laver et à chier aux WC, et finissent, s'ils gagnent les faveurs de leur maître par couler des jours heureux dans une niche au fond du jardin. les animaux sauvages, quant à eux, ne comprennent décidement rien à rien, entêtés qu'ils sont à vouloir rester des bêtes. leur pronostic est facheux et finissent en général en prison pour animaux.
Présent du subjonctif de l’animal
Selon la biologie moderne, qui classe les êtres vivants en six règnes du vivant (Animaux, Végétaux, Champignons, Bactéries et Deux Autres Machins Bizarres), les humains appartiendraient à une espèce animale. Il reste toutefois à déterminer laquelle.
Selon les sondages, la majorité des humains se déclare peu satisfaite de son inclusion dans le règne animal. De leur côté, les autres animaux se disent parfaitement disposés à laisser les humains migrer vers un autre règne du vivant prêt à les accueillir, et leur proposent ainsi celui des Végétaux ou celui des Champignons. Interrogés sur la question, le règne des Végétaux et celui des Champignons n'opposent quant à eux aucune résistance à l'intégration des humains en leur sein.
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