Quick

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est plat.


Mamie s'est
endormie sur le tricot...
Vite, quelqu'un prenez ses aiguilles !
De la viande 100% origine France.
« Quick !!! »
~ Bruit d'un MacDo qui fait faillite.
« Pourquoi les handicapés sont interdits chez mc do ? Parce que quand ils roulent ça fait "quick", "quick", "quick". »
~ Sacha Guitry à propos de sa dernière blague

Quick est une entreprise de restauration rapide connue pour ses hamburgers et leur saveur unique[1]. L'entreprise a été créée par Charles de Gaulle pour faire front à l'américanisme et aujourd'hui encore, l'entreprise sait être à la hauteur de la franchouillardise ouest-européenne : Savoir mêler sa graine dans l'empoisonnement des gens, en distribuant des américanismes avec de la France et un peu de Maghreb à l'intérieur.

L'édition limitée du sandwich doré de 2009, qui contenait des staphylocoques dorés[2], est désormais indisponible depuis 2014.

Politique commerciale

Ils ne savent même pas écrire leur nom...
  • Vendre des recettes de grand mère dans du pain sorti d'usine.
  • Faire croire que manger les recettes non satisfaisantes au niveau du goût, c'est fun.
  • Toujours sourire, même quand on vous vire.
  • Toujours être poli, et sourire.
  • Mettre derrière la commande des jolies étudiantes, recrutées sur casting et aussi bien payée que la distribution de prospectus.
  • Forcer le personnel à se nourrir exclusivement des produits Quick. Ils ont vu ça avec super size me.
  • Avoir des vitres étincelantes.
  • Vendre des menus sans que les clients sortent du véhicule.
  • Toujours sourire.

Le slogan célèbre de Quick : « Nous, c'est l'égoût, grossir on s'en fout. »

Politique interne et force de travail

Il est clair que de ce point de vue, le modèle américain ne dépeint pas seulement sur les pains mais aussi sur la rudesse du monde libéraliste. En effet, les recrues s'opèrent de la part de rabatteurs devant les universités. Ces rabatteurs, eux-même étudiants, chantent à tue-tête « Engagez-vous chez Quick ! » « Des potes, des femmes et du fric ! »... Certains de ces rabatteurs sont rémunérés au rendement. C'est donc pour cela qu'il n'est pas rare de les voir faire signer quelques contrats à 4 heures du matin dans les boites de nuit.

Ensuite, l'étudiant est convoqué en plein milieu de journée, où on lui donnera casquette, chaussures de sécurité, deux polos, deux pantalons et 300 dollars pour son enterrement. La sélection s'opère dès les premières minutes. Véritable purgatoire, les personnes agréables à l'œil tourneront à gauche, la caisse, le contact, le dehors. Pour les autres, c'est les grills et l'enfer sans air. Le politiquement correct interdit au manager, qui se fait lui-même fouetter par le sous-directeur, de fouetter les caissiers et la partie visible de la structure. Et tel un manager de galère, la rage de s'être fait plaquer la veille le pousse à affirmer sa haine, là où il peut et là où sa loi fait mine de châtiment biblique : le grill. Des écriteaux dans les vestiaires affirment : « Lache l'université et viens te faire du blé » « travaille les mains propres » « le patron a toujours raison, et le client c'est un con » « Un con s'accueille avec le sourire, comme une nouvelle juteuse. Proposez lui donc une gourmandise. Sa dette sera votre vengeance. » La cascade des abus commence du PDG. Dévale sur le directeur régional, sur le directeur puis sur les managers qui dégueulent cet afflux d'inégalité tels une fatalité aux abords, mais fierté dans le fond. « La valeur de l'homme est faite par son nombre de larrons » scande une pancarte dans le bureau des cadres.

Notes

  1. Ils ont tous le même goût.
  2. Dorés à point

Voir aussi


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