Province

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Entourant la ville-lumière et constituant la majorité du territoire, la Province est un lieu méconnu, habité par des autochtones aux mœurs pittoresques et au folklore dépaysant. La Province désigne des réalités multiples. Chaque province a son identité unique et contrastée, un patrimoine riche, une culture propre et bien d'autres conneries de ce genre qui leur font croire qu'il ont de l'importance.

France et province
En gros, tout ce qui n'est pas dans "maison"

Territoire

Espace d'environ 670 417 km² au sein de la France, la Province reste difficile à situer précisément géographiquement, tant elle manque d'homogénéité. On pourrait simplifier en y comptant toutes les régions hors de l'Île de France où les habitants éprouvent du mépris pour les parisiens - bien que cela risque d'étendre la sélection au reste du monde. Elle est constituée de villages, hameaux, bourgs, lieux-dits, patelins et autres coins paumés sans intérêt, même si certains provinciaux imaginent vivre dans des villes ou même dans des métropoles. La Province ne connaît aucune unité de langage ni aucune entité politique propre. Il serait impossible de faire une liste exhaustive des différents provinciaux et leur patois, et il y aurait toujours un abruti sorti d'une grotte du fin fond du Périgord pour se plaindre qu'on ait oublié son patois local, sa différence culturelle ou sa technique unique de traite des brebis.


Politique

Malgré leurs disparités géographiques, culturelles et ethniques, les provinciaux semblent par contre se mettre d'accord sur un point de vue politique unique. Le rassemblement bleu marine les convainc de faire valoir leur identité locale, prouvant par là même le besoin de reconnaissance des entités régionales, ainsi que la stupidité renommée de ses habitants. D'autres courants politiques ont vu le jour plus récemment, souvent liés par un attribut ostentatoire comme un bonnet rouge, un gilet jaune ou une chemise brune. Ces courants semblent tous bien ancrés dans le milieu du XXème siècle, malgré 20 années passées dans le XXIème.

Economie

provinciaux
Provinciaux typiques

La situation économique de la Province est médiocre. Je veux dire, encore plus médiocre. A la différence de Paris, la Province est quasi-entièrement en faillite, ce qui peut aussi expliquer l'aspect politique évoqué plus haut. Il faut cependant dénoter plusieurs exceptions :

  • L'Ouest de la Province, est en plein essor, mais il faut dire qu'il sont passés au moteur à essence très récemment, abandonnant par là les charrettes et les barques de pêches, ce qui leur permet une certaine croissance.
  • Quelques bourgades d'intérêt secondaire comme Bordeaux ou Rennes connaissent un essor grâce à l'installation d'anciens parisiens félons.
  • Les secteurs de l'alcool et du droit criminel lié au viol de mineurs sont étrangement florissants dans le Nord de la Province.

Culture

Néant.

Conflits internes

On l'a vu, le provincial a un sentiment nationaliste fort. La logique chauvine se poursuit plus loin puisqu'il déteste évidemment son voisin, préférant l'air qu'il respire comme du souffle divin. Qui n'a jamais vu un supporter stéphanois cracher sa frustration sur l'OL gagnant son 5ème championnat d'affilée, un lillois insulter la conduite d'un "6-2 pute", un breton clamer que le Mont Saint-Michel n'est pas Normand, ou un vendéen croire que les bretons connaissent seulement leur existence ? La vérité, c'est que tout le monde s'en contrefout, mais que ça leur permet de se sentir exister à travers la mesquinerie chauvine du quotidien, telle une mégère critiquant sa voisine pour oublier la médiocrité de sa propre vie.

drapeau basque
Symbole désuet n'ayant d'intérêt que pour les péquenauds du coin

Folklore commun

Les différentes peuplades provinciales forment malgré toutes ces divergences une nation commune grâce à leur haine convergente de la capitale parisienne et leur absence d'éducation. Après tout, quoi d'autre que la frustration pouvait unir un tel ramassis de béotiens hein (à part leur absence de culture bien sûr)? C'est la haine ! La haine qui tient ces paysans malgré leur état de misère. Ils ne peuvent que mépriser une culture et une civilisation trop évoluée pour eux. Le rayonnement de la ville-lumière aveugle ces ignares. Je ne vois que ça pour expliquer ce complexe d'infériorité qui les pousse à nous insulter de pédant, de snob, de germanopratin immoral ou de bobo déconnecté des réalités. La jalousie, voilà tout. Quel fléau que les gens simples ne sachent accepter leur infériorité.

provincial beauf
Autre provincial typique

Ils ne peuvent supporter de n'être que des cul-terreux incapables d'apprécier la profondeur d'un long métrage d'Ingmar Bergman en VO non-sous-titrée, la lecture d'un Télérama pour ses critiques aiguisées même si l'on n'a pas la télé, l'importance de porter des vêtements en coton bio équitable pour aller à un concert de Benjamin Biolay, d'apprécier une séance de bronzage place des Vosges (tout habillé, car le bronzage c'est so 2002 et ça fait paraître un peu trop prolo), la divine émotion contenue dans un monochrome de Rothko ou la fierté d'apporter son soutien au peuple tibétain en boycottant les vêtements made in China de chez Zadig & Voltaire.

Bon, et je ne dis pas ça parce que je suis parisien, bien sûr. Les gueux ne sont pas simplement unis par la haine. Il faut aussi évoquer leurs pratiques : regarder des blockbusters américains, écouter JUL, jouer au foot, avoir 3 enfants avant ses 23 ans, adorer Mimie Mathy ou Jean-Luc Reichmann, boire de la bière, écouter du Patrick Sébastien lors de cocasses fêtes de villages ou encore regarder BFM-TV.

Voir l'article complet beaufferie.

Distinctions régionales

Un profil de la société provinciale est complexe, en raison des identités multiples que l'on y retrouve. On peut toutefois identifier les grands types de provinciaux les plus connus, en laissant tomber ceux sans intérêt comme les berrichons, les picards, les normands, béarnais sans même parler des auvergnats. Je veux bien m'intéresser aux bouseux, mais il y a des limites... Ces portraits présentent les principales ethnies sans toutefois sombrer dans une caricature non-représentative ou diffamante pour ces peuplades primitives.

Le Sud-Est

« Putaing-cong tu as mis de l'eau dans mon pastis ! Tu me fends le coeur »
~ Un provincial sud-estien
cagoles
Provinciales typiques du Sud-Est

Il s'agit de la quintessence de la Province, qui a donné l'adjectif provinçal et de charmants villages comme Aix-en-Province ou Saint Paul de Vince.

Les putaing-congs constituent une frange importante de la population provinciale située dans le Sud-Est du territoire Leur idiome est un dérivé du français, où l'utilisation du pléonasme putaing-cong semble être un standard obligatoire pour être entendu et compris par leurs semblables. Entre autres coutumes folkloriques, on remarquera que cette tribu semble principalement se parfumer à l'anis. Plus l'odeur d'anis et le ventre sont forts, et plus la parole est respectée. Ils semblent tous participer à une activité commune. Je vous livre ici l'essentiel : vingt-deux performeurs divisés en deux groupes + une personne neutre offrent un spectacle sur une rectangle herbu délimité par des lignes de peinture blanche. Ils s'amusent visiblement à tomber dès qu'on les touche, ou à taper très fort un objet sphérique bien au dessus d'un rectangle. Ils ne sont destinés qu'à engager le vrai spectacle autour de la scène : les putaing-cong entourent ces saltimbanques en beuglant de nombreuses indications techniques visiblement dirigées contre les performeurs à grands renforts de gestes et d'insultes. Je n'ai pas encore compris l'intérêt exact de cette pratique culturelle locale à laquelle ils semblent tous s'adonner sans retenue.

Nous pouvons toutefois affirmer qu'elle a un rapport avec leur croyance. Les divinités locales sont le Papin, le Tapie et le Zidane. Celles-ci semblent ne guère éprouver d'intérêt pour leurs ouailles et n'avoir que très peu de vertu. Cela se répercute sur leur civilisation qui ne dénombre aucun bienfait notable. Ce désintérêt divin et divin désintérêt peuvent expliquer le retard intellectuel manifeste et l'absence quasi-totale de culture, comme l'Europe l'a souligné avec beaucoup d'ironie en choisissant un patelin provincial des putaing-cong comme dernière capitale de la culture.

Le Nord et Nord-Est

Tony Vairelles
Célébrité élégante et respectée dans la partie Nord de la Province
« J'aimerais bien me taper ma femme plutôt que ma cousine pour changer »
~ Blague typique d'un provincial nordique

Chômeurs, pédophiles, alcooliques, consanguins, j'en passe et des meilleures. De nombreuses légendes noires accompagnent souvent les provinciaux de ces contrées. Elles sont toutes rigoureusement exactes.

Il semble qu'ils se nourrissent principalement de frites, de saindoux et de bières, et - selon certaines variantes locales - de choucroute ou de sanglier, (ce dernier pourrait, selon l'appréciation, constituer une forme de cannibalisme). Ils sont très attachés à leur traditions, notamment dans les choix architecturaux où seuls deux matériaux traditionnels sont acceptés. Des briques rouges cramoisies pour les maisons et du béton armé grisâtre pour les immeubles. Il y a là une véritable cohérence, les deux étant au total adéquation chromatique avec les éléments locaux : ciel gris, terrils charbonneux et la mer caca d'oie. On remarquera que cette harmonie des couleurs est aujourd'hui menacée par un taux de plus en plus importants de non-provinciaux de souche plus basanés et autres couleurs exotiques qui n'entrent absolument pas en adéquation avec la gamme chromatique établie. Ils sont donc rejetés selon une logique ethnocentrique très enracinée chez ces tribus.

L'idiome local, parfois appelé chti en références à ses sonorités gutturales, a été spécifiquement étudié pour être le plus dégueulasse de France. Du moins, j'espère que c'est là l'explication, sinon je ne comprend pas pourquoi tant de laideur. L'intelligence économique sans égal de ces provinciaux leur a permis de s'imposer comme leader dans plusieurs secteurs : les mines de houille, la sidérurgie et la production textile. Des secteurs très porteurs en France, en 1950. Ils semblent aujourd'hui se diversifier dans le chômage, le tuning et la production télévisuelle. Ce dernier point a permis à des documentaires d'une grande véracité de fleurir sur la télé (medium très apprécié en province). Nous pouvons notamment citer Les Ch'tis à Mykonos et Confessions Intimes, une série de documentaires sociologiques édifiants et d'une grande objectivité, filmés exclusivement dans les régions du Nord. Ce vaste réservoir à provinciaux est aussi un véritable vivier à personnages illustres pour l'histoire de France, aux exemples de Michel Fourniret, Francis Heaulme, Franck Ribery, Claude Guéant et Norman Thavaud.

L'Ouest

« J'entends le loup, le renard et la belette »
~ Chanson traditionnelle de l'Ouest provincial
bretonnes
Provinciale de l'Ouest en habit traditionnel

Parfois appelé Bretagne ou Breizh dans le dialecte local difficilement intelligible pour les français normaux, l'Ouest semble être un lieu de rassemblement pour les provinciaux souffrant d'alcoolisme (maladie existant uniquement en Province, consistant à boire régulièrement trop d'alcool). Leurs habitants vouent un culte à la pluie, qu'ils vénèrent comme une divinité bienfaitrice. A la gloire de leur déesse, ils ont mis en place des alignements de pierres et érigé de grandes tours sur les côtes. Ces lieux de culte ont d'ailleurs, par capillarité, un effet positif dans le guidage des bateaux, l'Ouest regorgeant d'hommes vétus de cirés jaunes ou de marinières se baladant dans des embarcations flottantes très différentes de nos péniches. Les adorateurs de la pluie - habitants l'Ouest provincial - semblent aussi doués pour l'exportation d'un drapeau blanc et noir partout dans le monde. Ils font preuve d'une redoutable créativité pour inventer des instruments de torture auditive tels que le biniou, le Manau ou le Nolwenn Leroy. Leur icône est une femme qui a, comme seul exploit, coucher avec deux rois différents.

Plusieurs comportements des bretons restent encore mystérieux pour les experts les plus émérites. Pourquoi s'échinent ils à revendiquer la paternité de la crêpe (simple mélange d'eau et de farine, parfois agrémenté que l'on retrouve dans toutes les civilisations) ? Pourquoi ostracisent-ils des membres de leur communauté vivant dans la bourgade de Nantes, alors qu'il s'agit de leur capitale ? Pensent-ils vraiment de mélanger de la farine avec du beurre et encore plus de beurre, ça fait un gâteau mangeable ?

Le Sud-Ouest

cassoulet
Principal moyen d'alimentation dans les contrées Sud-Ouest de Province
« Avé les mains Bixente, pas avé les pieds »
~ Expression idiomatique du Sud-Ouest

Le Sud-Est est peuplé d'autres bouseux avec un accent aussi ridicule que ceux déjà cités. Ils inventent des mots et expressions comme « chocolatine » ou « gâteau des rois ». Bref, ce n'est pas français, ils ont clairement un pet aux basques.

Ils semblent vivre principalement de chasse aux ours dans les montagnes ou de la torture volontaire de volatiles dans le but de dévorer leur foie. Le lien avec le mythe de Prométhée reste à établir. Il semble qu'une cité efféminée nommée Toulouse a failli les sortir de leur misère quelque temps grâce à la construction d'avions, mais c'était oublier que personne ne veut de machines polluantes conçues par des gueux au fin fond de nulle part. Avec l'aide de leurs voisins espagnols ont aussi exporté le Manuel Valls dont personne ne veut non plus.

La Belle Province

« Les souliers veeeerts, les souliers veeerts ! »
~ Chanson d'une belle-provinciale mariée à un ministre nord-provincial installé à Paris (vous suivez?)

Contrairement aux apparences, la Belle Province ne désigne absolument pas la Province, ce qui aurait d'ailleurs été un adjectif mensonger. Cet oxymore est l'un des noms donnés au Québec, ancienne province de Nouvelle France aujourd'hui Canadienne. Elle ne fait donc pas partie de la Province et n'avait rien à foutre ici, mais puisqu'on en est à dénombrer les blaireaux, pourquoi s'arrêter là ?

Peu de choses nous parviennent d'eux depuis l'Atlantique, hormis quelques faits sans intérêt comme les chanteuses médiocres, un accent à couper au couteau (même si on préférerait couper celui qui parle avec le-dit couteau), une francisation à l'absurde, des têtes-à-claques, de l'humour pas drôle. Preuve en est pour ce dernier point, il semblerait qu'ils aient inventé la sencyclopédie.

L'île en bas là

« Fire in the hole! »
~ Cri de ralliement de l'île
terroristes corses
Provinciaux insulaires dans leur habit traditionnel (étrangement peu adapté à la météo de ces contrées)

L'écriture de mon article se corse, car je ne me souviens plus trop du nom de cette île. Bon. On va faire à l'image du reste de la France, on s'en fout (sauf quand on doit partir en vacances) ! Les habitants sont les Terroristes. Très festifs, ils se promènent encagoulés avec de grands bâtons cracheurs de feu pour égayer les nuits, tels des personnages de carnaval. Ce sont de grands amateurs de soirées costumées, de feux d'artifices et autres fêtes nocturnes, ce qui explique peut-être l'intérêt porté par les touristes pour ce territoire reculé et inhospitalier.

Spécialistes de la cuisine fumée, ils semblent allumer des feux de joie un peu partout la nuit pour s'adonner à leur passion. L'une des coutumes locales très appréciée consiste à grimper un mât par grand vent afin d'attraper un jambonneau ou une bouteille de pinard. L'autre pratique très commune dans le folklore terroriste, plus corsée encore, s'appelle la Vendetta. Elle consiste à massacrer tous les membres d'une famille, sitôt que l'on se sent offensé par l'un d'entre eux. Coutume probablement héritée des francs il y a 1 500 ans, sans avoir grandement évolué du fait de leur isolement. Les Terroristes se logent principalement dans des paillasses ou des villas. Cependant, les délais de construction peuvent être très longs de par des explosions fréquentes lors de chantier. De nature repliée, les Terroristes semblent de pas frayer avec les autres provinciaux, quand bien même leur île n'aurait ni eau ni électricité sans la présence des "métropolitains" (idiome méprisant utilisé localement).

lion lyon
Ceci n'est pas à Lyon

L'Est

« Venez à Lyon, c'est tout comme Paris mais sans les parisiens »
~ Habitant lyonnais ayant visiblement un complexe d'infériorité

A l'Est, certains Provinciaux sont des ennemis de la France, parlant allemand, mangeant des saucisses et persuadés d'avoir inventé Noël. Beaucoup des habitants de la région semblent s'être spécialisé dans le tourisme d'hiver. Impossible de savoir quelles sont les activités des locaux durant le reste de l'année. Peut-être produisent-il de la neige et des skis, l'hypothèse reste à démontrer.

D'autres habitent une petite ville nommée Lyon, et pensent ainsi être civilisés pour avoir été la Capitale des Gaules il y a plus de deux millénaires. Se gargarisant de leurs médiocres attraits, leur plus grande fierté est une vague fête de village où l'on allume 3 lampions sur les quelques baraquements présents. Ils sont aussi connus pour les quenelles, la rosette (spécialités culinaires au goût discutable) et le mauvais vin (spécialité beaujolaise au dégoût indiscutable). Surprenamment, on ne trouve aucun lion à Lyon.

Note.jpg Plus par contrainte morale que par obligation, l’auteur vous a laissé un petit mot doux :
Il y a beaucoup à dire sur eux et sur les autres régions constituant la Province, mais étant donné que tout le monde s'en fout en dehors des cercles d'ethnologues et autres experts en sociologie des populaces primitives, je m'arrêterai ici pour revenir à un sujet plus intéressant

Moi,


PARIS EST MAGIQUE !

Les tribus provinciales de toutes ces régions partagent aussi un mythe primitif comparant Paris à Babylone. Les parisiens sont nommés « putain de 75 » et rejetés pour leur supposé mépris et leur arrogance. Il convient de dire que ces traits de caractère sont totalement fictifs et affabulés par ces populations aussi jalouses qu'arriérées (mais je ne dis toujours pas cela car je vis dans le XVIème arrondissement de la ville-lumière, bien sûr). La civilisation symbolise toujours la dépravation chez les esprits faibles et influençables. Telle Rome entourée par les Barbares, il nous assiègent de badauds et autres ploucs en short et marcel chaque année. Nous devons résister un peu plus chaque année à ces rustres aux modes de vies moyenâgeux et aux cultes païens. Combien de temps tiendra t-on encore face à ces hordes sauvages issues de leur cambrousse qui n'ont jamais rien apporté de bon si ce n'est le vin qu'on daigne leur acheter et des paysages pittoresques à publier sur Instagram durant à peine deux ou trois semaines dans l'année ?

Note.jpg Plus par contrainte morale que par obligation, l’auteur vous a laissé un petit mot doux :
Suite à une alterte sur mon MacBook, je dois arrêter l'article ici car c'est l'heure d'amener Victoire et Appolline à la crèche pour apprendre le swahili et j'ai encore ma pétition pour imposer le tri sélectif en Ouzbékistan à partager, je suis en retard. Paix et ouverture d'esprit à tous !

Moi,


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