Alfred Dreyfus
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- Nous sommes en 1894, une minute avant la condamnation de Dreyfus :
<< - Approchez, monsieur si vous voulez assister au procès, allez venez n'ayez crainte. Voilà, vous voyez ce monsieur, il s'appelle Dreyfus et il parait qu'il a trahi la France; et en plus c'est un Juïf !!!
- Mais cet homme parait être quelqu'un de bien pourtant.
- Attendons de voir que les conclusions viennent d'elles mêmes... >>
Le juge ordonne à la salle de se taire et annonce le procès de Mr Alfred Dreyfus; haut gradé militaire qui a un peu trop d'ambitions.
Le Juge : Mr Dreyfus, vous êtes accusé de traitrise envers notre Grande et Imperturbable patrie, digne héritière de conquêtes glorieuses et dont les représentants les plus élogieux sont des français de souche ni juïfs, ni soumis. Qu'avez vous à dire pour votre défense ?
Dreyfus : Je... ne sais pas .. Quel sont les preuves qui m'accusent ?
Un homme s'approche dans la salle de cour pénale et glisse une liasse de billets à un autre homme, qui prend alors la parole : "Désolé mais ces documents sont un secret d'état, il serait d'une grande traitrise que de les montrer au public.. Veuillez évacuer la salle je vous en prie !", dit-il en s'adressant aux gardes du fond de la salle.
La salle est évacuée, mais parvient à observer la scène en se cachant derrière Dreyfus...
Mr Dreyfus se lève et s'adresse à l'homme détenant les "preuves" :
<< - Montrez moi donc ces prétendus documents que je juge de leur valeur juridique, et j'aimerai avoir un avocat pour en attester.
- Vous n'avez pas besoin d'avocat, vous êtes militaire et par conséquent vous pouvez défendre vos opinions comme un homme. C'est regrettable pour vous il est vrai, mais je suis dans l'obligation de conserver ces documents en lieu sûr, afin que personne n'essaye de falsifier les documents en s'essuyant le derrière avec. Vous voyez je ne voudrai pas que les preuves soient détruites, alors j'ai mis les documents dans les toilettes des généraux dans la salle à côté, et je leur ait donné la recommandation de préparer le procès à l'avance.
- Donc il n'y a pas de preuves ?
- Bien sur que si ! Mais ce sont des documents confidentiels, et quelqu'un vous a vu fouiner dans le bureau secret où il y avait les documents que vous avez falsifiés. Cette personne était présente au bon endroit, au bon moment tandis que vous n'étiez pas là où vous auriez du être. Par conséquent, Traitre, honte de la france, vous n'avez plus qu'à admettre que vous êtes coupable parce-que vous l'êtes, un point c'est tout et que le méchant plein d'oseilles à toujours raison. Mais qui est cette personne derrière vous ?.
- Heum.. à vrai dire, je ne sais pas ce qu'il fait là à écouter cette mascarade.
- Vous mentez Monsieur, si il est là c'est parce que vous êtes un traître, et que cette personne est votre complice. Si il était derrière vous pour espionner le procès, c'est qu'il est de votre côté, donc c'est qu'il votre complice, et donc il est logique que vous êtes un traître.
- Je.. je .. pense qu'il y a erreur !
- C'est indéniable Mr Dreyfus, comment .. pouvez affirmer le contraire alors que votre nom à une consonnance Juïve, et que qu'en plus vous gay et portez des lunettes en bois ? Vous appellez bien Alfred Pécunier, n'est ce pas ?
- Non c'est faux.. je m'apelle Alfred Dreyfus, et je suis fier de ma patrie.
- Eh bien vous ferez moins le fier dans votre prison, allez embarquez le ! >>
Et c'est ainsi que finit aussi dans un sombre cachot, mais c'est une autre histoire.
Bref, Dreyfus le méchant juïf "pas beau et vilain".. fut incarcéré en attendant son exécution. Il fut remis à pied et déchu de son grade peu de temps après.
Puis un jour, un homme qui "n'avait rien à foutre de sa journée parce-qu'il s'ennuyait quand il ne faisait ni l'amour avec sa femme ou sa maîtresse ce jour là" relut le procès en question dans le journal parisien et s'insurgea d'un complot de cette envergure. Vous vous doutez bien que "celui qui n'avait rien à foutre de sa journée parce-qu'il s'ennuyait quand il ne faisait ni l'amour avec sa femme ou sa maîtresse ce jour là" s'empressa d'écrire une lettre à la personne la plus respectable du pays "qui lui aussi n'avait rien à foutre de ses journées quand il n'allait pas manger un bon ragoût préparé sa femme", une lettre intitulée : << J'accuse >>.
En fait, il accusa les Postiers de traitrise car en faisant la grève, il ne pouvaient pas distribuer assez de PEANUTS dans les boîtes aux lettres qui accompagnent souvent les publicités sur les PEANUTS qui parlent de PEANUTS qui galèrent d'être riches et aussi des publicités sur les PEANUTS qui recommandent des réductions spécial PEANUTS..
Bref, ça n'a aucun rapport mais "celui qui n'avait rien à foutre de sa journée parce-qu'il s'ennuyait quand il ne faisait ni l'amour avec sa femme ou sa maîtresse ce jour là" avait pris un peu d'opium, un peu, mais juste un peu ti' peu beaucoup. Alors "celui qui n'avait rien à foutre de ses journées quand il n'allait pas manger un bon ragoût préparé sa femme" reçut cette lettre un jour alors qu'il n'avait rien à foutre de ses journées quand il n'allait pas manger un bon ragoût préparé sa femme. Comme il s'ennuyait, celui dont je ne vous rappellerai pas le nom se dit qu'il pourrait faire autre chose que de s'ennuyer ou de manger le ragoût préparé par sa femme.
Et tout finit bien, parce que c'est beau comme un Joli conte de Dysney !
FAIM
T'as faim, ben n'en redemandes pas plus, sinon tu seras puni vilain garnement.
Tais toi et retournes dans ta chambre.
Allez va, ou je vais me fâcher !
Par contre t'as le droit de supprimer cet article si tu es un méchant modérateur; mais si tu es gentil tu auras droit à un susucre ;).
Mais je crois que n'aura pas cette chance...
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