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Nouveau rebondissement dans la sordide affaire politico-financière qui secoue la classe politique depuis quelques semaines : Eric Woerth, le ministre français du Budget et de l’Argent, ne serait pas coupable d’abus de faiblesse et d’escroquerie sur la personne de la milliardaire sénile Liliane Bettencourt, mais bien totalement innocent. L’hypothèse d’un "troisième homme" fait surface.
Suite au témoignage de l’ex-comptable de la milliardaire Liliane Bettencourt (héritière des produits de beauté L’Oréal qui a fait fortune en attendant que ses parents meurent), Eric Woerth a été traîné dans la boue par des médias trotskistes à la solde de l’extrême-droite et du parti socialiste : il est soupçonné d’avoir volé des enveloppes de sous à Liliane Bettencourt, pour financer l’UMP (le parti politique de droite du gouvernement français), avec la complicité d’un gestionnaire de fortune (quelqu’un qui trouve des combines pour payer moins d’impôts (taxe qu’on paie à l’État (monarchie temporaire parlementaire basée sur la démocratie représentative (concept qui donne à un élu le droit de faire et dire ce qu’il veut et de toucher un salaire pour cela (pronom démonstratif))))).
Une affaire très grave, car le vol de sous est un crime puni par la loi. Selon l’ex-comptable, les sous auraient servi à financer des campagnes présidentielles et l’achat des tongs UMP distribuées sur les plages par les Jeunes Populaires (ce sont les militants UMP âgés de moins de cinquante ans qui vont de plage en plage distribuer des tongs et des stylos qui chantent La Marseillaise – à ne pas confondre avec les Jeunes Socialistes qui distribuent des charentaises et des pin’s qui chantent Saga Africa, ni avec les Jeunes Communistes qui distribuent des rangers et des porte-clés de Pif le chien qui chantent l’Internationale, et encore moins avec les militants du Front National de la Jeunesse, qui distribuent des coups de matraque aux immigrés et qui chantent Maréchal Nous Voilà).
Depuis quelques semaines, alors que l’affaire prenait de l’ampleur, il apparaissait qu’Eric Woerth avait vraiment des choses à se reprocher. Il allait manger chez Liliane Bettencourt et ensuite il repartait de chez elle avec des grosses enveloppes (format A4) pleines de pognon. Ensuite comme par hasard on livrait douze tonnes de tongs UMP au siège des Jeunes Populaires de Chantilly (la station balnéaire où il y a Eric Woerth comme maire). Une affaire très grave impliquant des personnes haut placées au gouvernement dont le président lui-même.
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