Utilisateur:Monsieur Brouillon/Mai 69
Contrairement à ce qui est souvent admis dans les grandes écoles, Mai 69 fut une demi-révolution sexuelle. Cela peut s'expliquer schemathématiquement de plusieurs façon mais nous aborderons ici les principes fondamentaux de ce mouvement populaire.
La mobilisation commença par des descentes dans les rues, notament à la sorbone ou une nouvelle machine à café venait d'etre installée. Le café, plutot très corsé pouvait aller jusqu'à reveiller un Maure. Dans un premier temps, les militants, tout à fait pacifistes avaient pour but d'exprimer un mécontentement, une grogne face à un capitalisme fachisant. Une envie générale de changer le monde se fit ressentir dans tout le globe au travers d'une conscience collective. Au bout de quelques jours de manifestations, les cordes vocales des militants commençaient à s'user et rien ne se passait. C'etait comme faire une souflette dans un violon. Mais les forces de l'ordre décidèrent de karsheriser la racaille pour les laver de leurs "sales mauvaises manières" de chianlis. Comme en témoigne le slogan : "Sous les pavés la plage", les manifestants ramassèrent des milliers de pavés et durent admettre un fait : "Sous les pavé, il n'y a que le metro". Il n'etait pas question de s'areter là. L'escalade de la violence ne faisait que commencer. Des groupes organisé se préparaient. "Il faut foncer dans les tas !" criaient certains militants.
Pendant ce temps au Vietnam... (Voir guerre du Vietnam)
Au bout de quelques jours, la machine à café tomba en panne et le mouvement s'essouffla. Chaque manifestant rentra chez lui pour digerer la défête. Un diplome fut donné pour récompense de sagesse à tous ceux qui devaient passer l'examen ce mois-ci. Tout fûte bien qui finissa bien. Pas de bombes atomiques chez les bleus, pas d'attentats terroristes chez les rouges, pas de révolution. Une demi-révolution qui reste à terminer.