Harry Potter selon l'Église catholique

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Cet article, basé sur le texte Uncyclopédien UnBooks:Catholic Church's Version of Harry Potter, est disponible uniquement sous licence CC-BY-NC-SA de Creative Commons.

« On aura ta peau ! »
~ Satan à propos Harry Potter
« Harry Potter Séduit des Enfants »
~ le pape Benoît XVI à propos Harry Potter
« Je trouve que ce sont des histoires charmantes ! »
~ Le pape Jean-Paul II à propos Harry Potter
Apparence de Harry Potter dans le livre. Sainte Marie mère de Dieu !

Harry Potter est une horrible série de livre qui apprend à des millions d'enfants chrétiens à utiliser des pouvoirs blasphématoires pour nuire à notre Grand Seigneur Jésus Christ. Elle utilise des éléments de contes de fées qui existent depuis des milliers d'années et n'ont pas vraiment nuit au Christianisme et les convertit en une recette potentielle pour la destruction de jeunes esprits innocents. Elle enseigne également que Harry Potter est une mauvaise imitation de King Diamond.

Pourquoi la magie est bien la pire menace sur la civilisation que nous connaissons

  • La magie n'existe pas. C'est un mensonge.
  • La magie est dangereuse, même si elle n'existe pas. Elle peut être utilisée pour forcer des innocents à faire de mauvaises choses.
  • Si la magie existait, nous serions incapables d'en faire usage car c'est nous que Dieu aime le mieux.
  • Tu ne souffriras point que vive une sorcière, y compris Harry Potter, qui lui est un sorcier.
  • Les fanboys obsédés par la magie vandalisent souvent cet article. Le vandalisme sur les sites relatifs à l'Eglise, c'est mal.
  • Tout ce qui flotte ou coule dans un étang est une sorcière et doit être brûlé, puis noyé (même si ça flotte, et n'est donc pas facile à noyer ; si ça coule, le travail est déjà fait).
  • La magie est une création de l'imagination. L'imagination, c'est mal.
  • On n'aime pas les livres qui enseignent le sens moral blasphème aux enfants, on préfère ceux qui leur apprennent nos bêtises dépassées enseignements sacrés.
« L'imagination mène à la pensée. La pensée mène aux interrogations. Les interrogations mènent à la science. La science est la voie qui mène au côté obscur »
~ Yoda à propos L'imagination, dans Croisades aux Îles. (Star Wars sans le satanisme et la violence non purifiante)

Critiques de fanatiques

« Harry Potter est un livre qui parle de magie, oui, mais c'est aussi beaucoup plus que ça. Harry Potter nous parle d'amitié, d'amour et de courage et je suis sûr que les gens ne vont pas en enfer parce qu'ils croient en ÇA. »

Cependant, le Pape Benoît XVI vous dira que si la magie envoie les gens en enfer, un froussard solitaire qui se contente de pratiquer de la magie seul dans son souterrain peut encore connaître la rédemption, car l'idée de centaines de bigots le brûlant sur la place publique le pouvoir incontestable du Tout Puissant peut lui faire craindre le Seigneur et lui faire reprendre le droit chemin. Ce n'est que quand ces âmes pitoyables ont du courage qu'ils ont l'audace de décliner les faveurs du Tout Puissant. C'est quand des êtres aussi aveugles tissent des liens d' amitié qu'ils forment un groupe de jeux de rôles culte sataniste. Et pour ce qui est de l' amour, les cérémonies démoniaque ont justement pour but de s'envoyer en l'air à plusieurs.

En bref, le fait de pratiquer la magie seul sans amitié, amour et courage est pardonnable. Ce n'est que quand on la combine avec l'amitié, l'amour et le courage qu'on dépasse le point de non-retour vers l'enfer. Ainsi, la septologie Harry Potter est véritablement une collection des tomes ultimes du mal.

« Je crois qu'il n'y a pas plus blasphématoire que quand les gens pensent qu'une histoire pour enfants est mauvaise. Ça nous apprend l'amour, les valeurs familiales, le courage et bien plus encore. »
~ Le plus gros fanatique de Harry Potter au monde.

Voilà encore un fanatique qui déclare que Harry Potter parle aussi de valeurs familiales. De nouveau, le Pape Benoît XVI note que le fait d'enseigner la magie à des enfants innocents et de salir ainsi des âmes si innocentes est un acte aussi ignoble que le fait de tourner un porno avec des enfants. En d'autres termes, on pourrait ignorer la nature mauvaise de Harry Potter si seulement c'était un livre pour adultes. Mais comme elle est destinée aux enfants, la septologie Harry Potter est véritablement un concentré de mal en sept tomes.

« Harry Potter est l'un des livres les plus célèbres au monde, et ce serait horrible si tout le monde disait qu'il est maléfique. La magie est un conte de fées. Et comme la magie est un conte de fées, ça ne fait pas de mal aux enfants de lire quelque chose qui n'est pas réel. Je ne crois pas qu'il y ait eu des gens blessés juste en lisant un livre. »
~ un autre fanatique, oubliant que la plupart des fétiches pornos sont aussi purement imaginaires, notamment pour les fanboys.

Un des exemples de la façon dont un fanatique ne voit plus les actes maléfiques de Satan en lisant Harry Potter. S'ils utilisent leur propre bon sens à la place des enseignements de l'Eglise pour se faire une opinion, cela signifie qu'ils se croient plus sages que Dieu! Heureusement, le Pape Benoît XVI a déclaré que de tels blasphèmes ne se manifestent dans l'esprit des enfants qu'après qu'ils aient frayé avec le culte satanique pendant un certain temps. Alors si vous voyez un gosse lire un tome maléfique, ne vous dites pas On ne risque pas de se faire mal en lisant ce livre, faites quelque chose MAINTENANT où il sera trop tard. Et on n'a même pas besoin de lire ce livre pour se faire du mal. L'Église vous brûlera sur la place publique pour avoir commis le crime d'avoir ce livre interdit sur une étagère (en particulier si ce livre est Le Monstrueux Livre des Monstres). Et Harry Potter est l'ultime livre maléfique.

Les Tomes Maléfiques

Livre Un : Les philosophes sont des païens qui rejettent la Divine Parole et idolâtrent la logique et l'Esprit Humain

Les livres commencent avec un orphelin ingrat qui est trop égoïste pour réaliser quelle immense faveur sa tante et son oncle lui font en le prenant chez eux au lieu de le coller dans un orphelinat ou de l'envoyer au Canada. Dès le début, Harry ignore les Règles établies par Charlton Heston dans son film de 1956, les Dix Commandements. Il convoite l'immense chambre et les jouets de son cousin au lieu d'être reconnaissant pour son placard à balais. Il n'observe pas le Sabbath, prépare le petit-déjeuner pour les Dursley un dimanche alors que travailler dimanche est très mal et ment quand il promet qu'il se tiendra à carreau au zoo. Non seulement il ne tient pas sa promesse, mais en plus, il révèle sa nature satanique en libérant un serpent.

En dépit des échecs répétés de Harry, sa tante et son oncle font tout pour le protéger des autres démons. Cependant, leurs efforts sont en vain car le mort-vivant Goliath, appelé 'Hagrid' par l'auteur, les attaque et emporte Harry, qui est ravi de s'en aller. Sa tante et son oncle sont consolés par le passage biblique suivant :

"Moi, Seigneur Tout Puissant, je suis un Dieu jaloux et je punis les enfants pour l'iniquité de leurs parents, jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me rejettent," Exode 20:5

Ils savent que puisque les parents de Harry avaient eu aussi péché, il n'y avait pas beaucoup d'espoir pour Harry.

Harry fréquente ensuite l'école de sorcellerie de Poudlard, où il sympathise avec beaucoup de rouquins qui, comme chacun sait, sont tous les enfants du diable (d'ailleurs, Rowling elle-même est rousse). L'école est gérée par un vieil homme qui n'a ni épouse ni famille et manifeste un intérêt malsain pour Harry et ses amis. Le soi-disant directeur a un groupe de disciple qui comprend plusieurs femmes telles que Minerva (une DEESSE romaine de la guerre et de la sagesse). Evidemment, les déesses, ça n'existe pas, cette femme ne peut donc être qu'un démon de Satan. En plus, il n'y a que les hommes qui peuvent devenir disciples, pas les femmes.

Dans le livre, on voit Harry désobéir à ses aînés (et c'est contre la loi de Charlton, que les aînés en question soient maléfiques ou non). Il pratique la sorcellerie (jetant des sorts à ses propres fins égoïstes), parle des langues et vole sur un balai sans licence. A aucun moment l'auteur ne rappelle aux lecteurs l'évangile selon Saint Matthieu 5:5: "Heureux les faibles car le Royaume leur appartiendra".

Mais la partie la plus maléfique du livre est peut-être celle qui concerne la pierre philosophale. On pense que la pierre confère la vie éternelle. Ceci est une cruelle moquerie du don de la vie éternelle promise par Yahweh à ceux qui ont foi en Lui. La pierre prolongera votre vie dans votre enveloppe mortelle alors que les vrais Chrétiens devraient tout faire pour parvenir à la vie éternelle au paradis.

Harry continue de convoiter des choses telles que des balais onéreux et du chocolat. Il tâte même des sept péchés capitaux en : festoyant (gourmandise), développant une obsession pour un miroir (orgueuil), il a un tas d'or (avarice), et déteste son professeur de potions (colère).

Le livre se termine quand Harry se fait féliciter pour avoir volé la pierre à l'un de ses professeurs après l'avoir assassiné.

Satan tel qu'il est dans la vrai vie.

Livre Deux : Les secrets qui ne sont pas approuvés par le Clergé sont maléfiques

Ce livre est celui dont la nature maléfique est la plus flagrante. Nous apprécions le fait qu'Harry ne cherche plus à cacher sa nature maléfique car cela peut aider certains enfants à réaliser à quel point il est maléfique. Le titre du livre, SECRETS, annonce clairement la couleur : on veut amener nos enfants à frayer avec l'occulte en leur faisant rayonner l'idée d'un savoir secret. Le fait d'avoir un secret est très proche de celui de mentir, il est clairement interdit d'avoir des secrets dans le Catholicisme. Tous les Catholiques doivent confier leurs secrets au clergé. Heureusement, ils n'ont pas à craindre que qui que ce soit d'autre les découvre étant donné que le clergé peut et doit garder tous les secrets, ce qui fait qu'aucun chrétien laïc n'a le droit d'avoir de secrets. Et les membres du clergé de niveau supérieur peuvent avoir de meilleurs secrets, comme les Manuscrits de la Mer Morte. La connaissance cachée de la sorcellerie enseignée à Poudlard est également interdite par l'Eglise pour des raisons similaires. Le livre comprend également une scène graphique de Vol de Voiture dans laquelle il vole la voiture du père de son meilleur ami parce qu'ils ont trop joué aux jeux vidéo.

Il y a aussi beaucoup de serpents dans ce livre, et les serpents sont une incarnation du Diable (voir Genèse)

Il est également bon de noter l'usage d'une imagerie grotesque dans ce livre : des Mandragores, un Basilic, un Ron Weasely (voir Imagerie Grotesque), et la promotion de l'esclavage d'autres créatures (similaire à celui enduré par le peuple égyptien choisi par Yahweh - voir Oppression).

Livre Trois : Les prisonniers méritent d'aller en prison et d'y rester

Une fois encore, le vernis délicat de la vertu s'écaille. Harry continue d'apprendre la sorcellerie et confirme son statut de Gamin Adepte de la Goétie (GAG) en s'associant à des loup-garous et à des prisonniers. Il les traite comme s'ils étaient victimes d'un concours de circonstances au lieu de voir qu'en vérité, Dieu les a forcément punis pour leurs péchés (ou les péchés de leurs pères). Un autre disciple femelle est introduit : Sybille. Elle porte le nom d'une païenne grecque qui avait l'audace de croire qu'elle pouvait connaitre la Volonté de Dieu en prédisant l'avenir. Personne à part Dieu (et les saints et religieux qu'il a choisis) ne sait ce que l'avenir peut vous réserver. Ce livre mentionne également la façon dont la sainte chasse aux sorcières n'a pas réussi à tuer un seul vrai sorcier. Ceci est une insulte envers la foi chrétienne : comment peut-on affirmer que même un groupe de bigots personnes ayant une grande foi en Dieu s'avère impuissant face à un misérable sorcier ?

Ce livre introduit également des humains qui se changent en animaux, ce qui est clairement maléfique et inspiré de croyances sataniques. Il déclare également qu'un attentat suicide est considéré comme un acte héroïque, ce qui appuie le Jihad de l'Islam!

Livre Quatre : Harry Potter brûlera pour l'éternité dans les flammes de l'enfer

De nouveau, en un geste de repentance, l'auteure indique ce que l'avenir réserve à un enfant maléfique qui vénère le Malin tel que Harry. La mort de l'un des conspirateurs représente un indice de ce à quoi la pratique de la sorcellerie peut vous mener.

Harry se comporte très grossièrement dans ce roman. Lui et ses amis se bagarrent et il attaque un de ses compétiteurs. Au lieu de se montrer reconnaissant d'avoir été choisi pour le tournoi des Trois Démons, Harry agit comme un mioche de 5 ans et s'énerve à cause de cela.

L'enfant maléfique va jusqu'à manquer de tuer Lord Voldemort avec un sortilège avant de s'enfuir (sans s'excuser) devant ses aînés.

Lord Voldemort est ressuscité d'entre les morts dans ce livre. Il s'agit assez clairement d'une mauvaise plaisanterie sur la résurrection de Jesus.

De manière plus positive, Rowling fait preuve d'un peu de jugeotte dans ce livre. Lord Voldemort semble adorer un maléfice connu sous le nom de Avada Kedavra, ce qui est une version déformée de Allah Akbar. Quand on pense au soutien au Jihad affiché dans le livre précédent, il devient évident que Voldemort et ses suppots sont en fait un groupement d'ecclésiastiques musulmans.

Livre Cinq : Harry Potter s'oppose à l'Ordre créé par le Cardinal

Harry rejoint maintenant un groupement illégal de séparatistes qui a pour but de détruire le gouvernement de l'intérieur. Harry et ses dangereux amis encouragent les jeunes désabusés à penser par eux-mêmes et à tirer leurs propres conclusions sur le monde qui les entoure. Les vrais Chrétiens rejettent de tels enseignements et se laissent guider par leur foi aveugle en leur religion et en leur Dieu et en leur clergé et en leur gouvernement quand leur clergé le leur dit.

Harry s'introduit rudement dans les rêves de Lord Voldemort sans sa permission. Harry s'imagine que ces images sataniques sont réelles et entre par effraction dans les locaux du gouvernement. Il y détruit sans vergogne des objets qui ne lui appartiennent pas avant d'être arrêté par Lucius Malfoy et d'autres anciens. Après avoir assisté à l'exécution légale de son parrain (un criminal recherché pour de nombreux meurtres), Harry pique une crise et veut torturer un personnage jusqu'à la mort, heureusement que Lord Voldemort est là pour l'en empêcher. A la fin, le gouvernement revient pour tout arranger. Ils n'arrivent pas à punir Harry et ses amis même s'il a enfreint la loi (s'introduire par effraction dans la tête de quelqu'un ?).

Livre Six : Harry Potter et le Prince des Ténèbres (alias Satan)

Harry trouve un livre écrit par le Prince des Ténèbres et agit selon sa volonté en même temps qu'il méprise l'autorité, pense par lui-même et convoite une femme. Oh, et il essaie encore de tuer un de ses enseignants. Il blesse également un de ses camarades d'école en voulant accomplir la volonté de son « Prince des Ténèbres ».

Livre Sept : Harry Potter, le Relou de la Mort

Dans ce livre, Harry finit par mourir à force de frayer avec l'occulte. Il passe la plus grande partie du livre à chercher d'anciens artifacts qui sont censés accorder l'immortalité à celui qui les utilise. Cependant, ces recherches s'avèrent futiles et il est finalement tué par Voldemort. On voit encore la peur de Harry face à la mort et à ce qu'il y a après, probablement causée par l'inévitable punition que le Tout-Puissant lui infligera certainement. Cependant, Harry est ramené à la vie (probablement par satan) et finit par tuer Voldemort. Avec cette fin, Rowling la diabolique utilise l'idée de la fin des Chroniques de Narnia, cependant, ceci est *purement* maléfique car J. K. n'a pas ouvertement annoncé qu'elle était chrétienne. Oh... non, attendez, elle l'a fait. Mais elle est membre de l'Eglise d'Ecosse ! BRULEZ-LA !

Imagerie Grotesque

Une des choses les plus troublantes dans ces livres est leur usage d'une imagerie grotesque. Les mandragores : des plantes qui ressemblent à des bébés saturés de radiations et brutalement fauchés pour en faire des potions. Les Détraqueurs : ils aspirent l'âme des gens. Le Basilic : un serpent géant ! De telles choses ne sont pas appropriées pour les enfants et ils devraient se contenter de lire la Bible pour éviter les cauchemars et être bien guidés sur un chemin spirituellement correct. Les histoires sur le Leviathan, sur des malheureux possédés par des démons, et les révélations sur ce que l'avenir nous réserve (sans compter les Chants de Salomon), sont bien plus appropriées et éducatives. Un des personnages principal est un roux, cela est une représentation du diable et du satanisme.

L'Oppression

Le fait qu'on se serve des elfes comme des esclaves et la façon dont les sorciers répètent sans cesse que les elfes AIMENT être des esclaves sont deux des thèmes les plus répugnants des livres. Dans l'Exode : 21-23, les lois de Dieu montrent clairement que les esclaves doivent être traités très gentiment parce qu'ils n'aiment pas être des esclaves. En montrant des elfes de maison qui aiment l'oppression, Harry Potter entre directement en conflit avec le point de vue de la Bible sur l'esclavage. Les relations entre un maître et ses esclaves sont régies par des lois strictes dans la bible. Les livres Harry Potter ne tiennent absolument pas compte de ces règles et crèent une moralité qui n'appartient qu'à eux, avec laquelle des personnages tels que Lucius Malefoy et Bartemus Crouch sont décrits comme cruels parce qu'ils crient sur leurs esclaves et les frappent parfois. La bible indique clairement qu'on ne doit pas battre des esclaves au point qu'ils se retrouvent incapables de se lever avant un jour ou deux (Exode 21:20-21) et aucun des deux hommes n'a fait quoi que ce soit qui s'en approche. Dans le même temps, Harry prend son esclave à M. Malefoy sans lui payer trente pièces d'argent pour couvrir le prix de l'esclave (Exode 21:32). Les livres Harry Potter ignorent complètement la moralité chrétienne.

Les Animaux dans Harry Potter

Les livres continuent de corrompre insidieusement nos enfants en leur présentant divers animaux qui ont affronté Dieu par le passé. On y fait ainsi très fréquemment référence à des serpents. Voici une liste d'autres animaux utilisés dans ces livres pour pervertir les enfants :

Lions: utilisés par les Romains pour tuer des Chrétiens dans des arènes de hockey à une époque où on trouvait difficilement des armes à feu. Ou quand ils avaient juste envie de rigoler. En outre, les lions ne sont absolument pas une métaphore de Jesus, même si on voit bien là une tentative pathétique de Rowling pour imiter C. S. Lewis.

Corbeaux: souvent considérés comme les animaux familiers des sorciers. Egalement symboliques d'un dieu amérindien, comme...

Blaireaux: symboliques d'un dieu amérindien.

Hiboux: associés à Athéna, une démone païenne, qui fut la première à utiliser les hiboux comme une alternative bon marché au service postal.

Dragons: détruits par St.Georges. Le fait de suggérer qu'il y a encore des dragons aujourd'hui serait faire un pied de nez à St.Georges. En outre, les dragons sont de grands démons de la Chine ancienne.

Licornes: faire croire aux enfants qu'il existe des créatures telles que les licornes est aussi ridicule que de leur dire que nous avons des ancêtres communs avec les grands singes. Le seul point commun des humains avec les singes est le fait que nous avons été créés par Dieu sur une période de six jours. En outre, chaque licorne est dotée d'une corne, symbole phallique inapproprié pour une oeuvre destinée aux enfants, et profondément amoral du fait que "la licorne" a une connotation féminine et que le phallus est masculin.

Chevaux Géants: toute mention d'un cheval rappelle aux Chrétiens les croisades, l'Inquisition, une époque à laquelle l'Eglise persécutait chaque groupe dont la culture ou la croyance déviait de la norme. (De nous jours, l'Eglise est bien plus tolérante et bienveillante, et accepte des personnes aux origines, modes de vie et de pensée différents, tant qu'elles se conforment à notre système moral et ne vénèrent pas un autre Dieu.)

Chats: vénérés par les Egyptiens, mangés par les Chinois Coréens, les chats sont depuis toujours l'incarnation du Mal.

Serpents: représentent la Tentation suprême, Satan. Satan prit la forme d'un serpent pour persuader Eve, même si c'était une débile, d'abandonner la protection de Dieu, et on n'oublie pas facilement l'expression perfide comme un serpent.

Rats: rongeurs très sales, munis de longues queues, qui vagabondent dans les égoûts, mangent n'importe quoi et symbolisent la luxure.

Ron Weasley: voir ci-dessus.

Centaure: abomination créée en combinant un humain et un cheval. Ceci dénature notre image de créature la plus précieuse créée par Dieu (et on se demande bien comment elle a pu arriver là cette immondice, c'est vraiment dégueulasse, faut pas tirer pépé dans les buissons non plus). Dans Harry Potter, les centaures présentent également un comportement plutôt calme et non celui d'une bête sauvage, ce qui est très probablement une référence à Chiron, un autre dieu démon de moindre importante des mythes grecs.

Sirènes: démons grecs qui s'amusaient à charmer et noyer les marins. En outre, celles de Harry Potter ne sont même pas jolies.

Albus Dumbledore: Directeur de Poudlard, très âgé, homosexuel, et friand de bonbons. Bien qu'un poste de Ministre de la Magie lui ait été proposé à plusieurs reprises, il est dit qu'Albus Dumbledore a toujours préféré rester dans l'enseignement, au contact des enfants. Les élèves doivent trouver un nom de bonbon afin de pouvoir pénétrer dans son bureau. Albus Dumbledore est alors susceptible de leur montrer sa baguette magique, dont on apprendra à la fin de l'histoire, qu'elle est la plus puissante et efficace jamais créée.

Obèses: Sérieusement, qu'est-ce qu'ils font là ?

Noël à Poudlard

A Poudlard, il y a un Noël, mais Jésus n'y est aucunement mentionné, ce qui le rend Purement Maaaaléfique. Les enchanteurs maléfiques oublient la vraie signification de Noël : une fête païenne la naissance de Jesus.

Voir également


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