Ali Baba

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On a tous lu le fameux tome Ali Baba et les 40 voleurs qui a connu un succès fou à Bagdad sous le règne du calife Haroun el Poussah. Ce qu'on sait moins, c'est que ce best seller oriental a connu pas moins de six suites différentes.

En effet, alors qu'elle s'était faite virer de son job de prostituée parce qu'elle n'était plus assez désirable, une vieille anglaise du nom de J.K. ROWLING a repris le héros à son compte. Tout a commencé à son dernier jour de boulot après qu'un de ses ex-clients ait oublié dans sa chambre une valise contenant l'édition complète rarissime d'Ali Baba. Tout en en saisissant un, elle entreprit alors de se retirer le balai de son derrière que lui avait enfoncé son ex-client pendant la "séance". C'est alors qu'elle eut une illumination divine dans sa délivrance.

Le personnage de Harry Potter était né !

Origines d'Ali Baba

Avant de révéler la grande imposture dont a fait preuve la création de cette femme de ménage, revenons aux origines de notre Ali chéri.

Tout d'abord, il faut savoir qu'à l'époque à Bagdad, le pétrole ne servait encore à rien si ce n'est à noyer les infidèles. Par conséquent, les seules sources de revenus de la ville d'Aladdin étaient l'esclavage et les touristes attirés par les légendes urbaines.

Un jour, un esclave fut introduit dans le palais du calife qui était en fait gay ,mais qui ne devait pas le montrer à son peuple. Etant donné que S.O.S H.O.M.O n'existait pas encore, le calife pouvait les exploiter sexuellement sans risquer d'être emmerdé par des militants zélés.

Cependant, cet esclave était spécial. En effet, lors de leur petite copulation, l'esclave fit jouir si profondément le calife que celui-ci ne put se résoudre à l'exécuter au petit matin. Dans sa grande bonté, le commandeur des croyants fit de cet esclave son serviteur personnel.

Sa femme serviteuse, qui s'appelait Béatrice, était à présent toujours là lorsque le calife recevait des esclaves le soir en toute discrétion pour qu'il les aide à trouver un maximum de plaisir. Le serviteur s'exécutait mais le problème, c'est qu'il s'ennuyait beaucoup le reste du temps. Alors, il se mit en quête du génie créatif qui était en lui.

Enfin, après avoir bossé comme un dingue, Ali Baba sort son petit roman et le soumet au calife sous le titre délicieux de "Ali Baba et les 40 chats". Référence bien sûr au nombre d'esclave qu'il avait vu passer depuis qu'il était chez le calife. Celui-ci avait tellement prit son pied en le lisant qu'il chargea Ali Baba d'en écrire une suite. Pendant ce temps, il confia son manuscrit à Sésame qui était le gardien de son trésor.

Le personnage d'Ali Baba venait d'entrer dans la légende à défaut d'être entré au début à un autre endroit...

Quand Ali rencontre Harry

L'Histoire est sans pitié et même avec les auteurs de best sellers. En effet, après avoir écrit ses six autres suites, l'auteur génial qu'était Ali Baba mourut en marchant malencontreusement sur la queue du serpent du calife. Après avoir versé la larme reglementaire, celui-ci décida de se retirer de son boulot de commandeur des croyants faute de coach pour gérer sa vie sexuelle.

Néanmoins, pour assurer ses revenus, celui-ci avait pris à Sésame les sept livres qu'il lui avait confiés. Il en profita même pour se le faire en lançant une phrase qui deviendra célèbre dans le monde entier : « Sésame ouvre toi ». Après ce petit plaisir pour la route, le calife traversa déserts, mers et champs de maïs avant finalement d'arriver à Paris dite la ville camembert.

Malheureusement pour notre calife bien aimé, le pays était en pleine guerre de Cent ans et la peste faisait des ravages. Etant commandeur des croyants mais pas des bactéries, le calife finit par y succomber, laissant derrière lui ses précieux bagages. Ils seront finalement récupérés par un anglais qui occupait la ville à ce moment là et qui voulait ramener un souvenir à sa femme.

Ce brave anglais rejoignit alors la perfide Albion chargé des précieux livres mais le tunnel sous la Manche n'existant pas encore, il dut rentrer en barque. Signe capricieux du destin, celle-ci se brisa lors du voyage et notre anglais fut recueilli d'extrême justesse par le Titanic. Le capitaine accepta de secourir l'homme à condition qu'il lui donne ses bagages. Celui-ci accepta en grognant et le riche armateur devint propriétaire de l'oeuvre d'Ali Baba. Cependant, il l'eut dans le baba car lui qui était zoophile fut offusqué de lire ces aventures à caractère homosexuel qui étaient une honte pour la morale.

Sans perdre une seconde donc, la capitaine Igloo chargea un jeune français à son bord, un dénommé Voltaire, de purger ces livres de toute allusion homosexuelle. Ce jeune homme qui s'expatriait en Angleterre parce qu'il était recherché pour excès de vitesse en France fut ravi de donner un coup de main au capitaine. Il s'empressa de lire les sept tomes qui lui tombèrent sous la main et il enjoliva l'histoire en renommant astucieusement les volumes :

  • Ali Baba à l'école des quarante voleurs
  • Ali Baba et la chambre des voyeurs
  • Ali Baba et le bagnard d'Alcatraz
  • Ali Baba et la coupe du Saint Graal
  • Ali Baba et l'illusion du phœnix
  • Ali Baba et le bâtard
  • Ali Baba et l'ombre du Joker

Hélas, un nouveau caprice du destin fit couler le Titanic qui avait heurté une baleine pendant la nuit. Par chance, Voltaire put rejoindre la côte britannique à la nage et présenter ses bouquins traduits à un éditeur anglais. Celui ci décida de publier le premier mais le rebaptisa "Ali Baba et les quarante voleurs". Oui car il ne fallait pas déconner à cet époque. Tout le monde sait bien que même aujourd'hui, les écoles anglaises ne forment pas des voleurs mais des escrocs.

Le succès fut retentissant dès le départ et le livre fut publié sur cinq planètes différentes et traduit en 108 langues. Voltaire voulu publier la suite mais il entendit une voix en se levant un matin qui lui somma de ne pas le faire. Très croyant, Voltaire, riche, s'acheta un manoir hanté en Écosse et y finit ses jours heureux en s'accouplant avec le fantôme qui logeait avec lui.

Quelques siècles plus tard, Tony Blair, un jeune politicard libéral, racheta le manoir délabré pour en faire une maison close. Rapidement, des femmes en mal d'argent vinrent des quatre coins du pays ce qui attira des mâles en mal de sexe. Un jour où il était de passage, notre Tony Blair, alors premier ministre, décida d'aller y faire un tour. Mais comme il était presque fauché, il ne put que se payer une vieille prostituée moche. Tant pis s'était-il dit, puisque de toute façon il avait fait une découverte qui allait le rendre riche et lui permettre de quitter ce poste foireux de ministre.

Vous connaissez la suite...

Renaissance d'Ali Baba

Ayant fait lire rapidement le premier tome original d'Ali Baba par sa fille (J.K. ROWLING avait oublié comment on faisait), elle dicta alors à sa fille tout ce qui lui passa par la tête pour modifier l'histoire. Pendant que sa progéniture écrivait, J.K. ROWLING lisait le journal The Times et lut un nom qui la fit marrer : Sandy Potter. Sans hésiter, c'est le nom qu'elle adopta pour le héros. Néanmoins, l'éditeur à qui elle soumis son manuscrit le renomma en Harry Potter car il avait peur que le public confonde Sandy avec Sanji de One Piece.

Premier tome lancé : Harry Potter à l'école des sorciers. Succès phénomenal immédiat et J.K. ROWLING a rapidement les moyens de racheter à Tony Blair la maison close où elle travaillait et de prendre la place de son ex-patronne. Mais un jour, le Blair tomba sur un exemplaire de Harry Potter et trouva de bien étranges similitudes avec le premier tome d'Ali Baba qu'il avait lu avant de l'égarer Dieu ne sait où. Très fûté, il finit par tout comprendre et téléphona immédiatement à J.K. ROWLING grâce à la carte de la maison close qu'il avait conservé et où figurait le numéro.



















dans son pays et n'avait toujours pas retrouvé la trace des écrits antiques de son arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière arrière grand oncle. Persuadé qu'ils étaient enterrés quelques part, il avait même déclaré la guerre aux iraniens pour qu'ils trouent le sol de son pays à sa place mais rien n'y fit. C'est alors qu'un jour, son fidèle général lui apporta un livre parlant d'un sorcier qu'il avait ramassé sur le cadavre d'un opposant politique. Ayant du temps à perdre, Saddam lut le livre rédigé en arabe et comprit alors soudainement tout !

Décidé à faire valoir ses droits, Saddam Hussein téléphona alors à Tony Blair pour avoir lui aussi sa part dans les bénéfices faramineux que dégageait Harry Potter. Hélas pour lui, Blair devait déjà partager le gâteau avec une vieille demeurée et il n'avait pas l'intention d'en faire profiter un vieux con comme Saddam. Très vexé, celui-ci proclama la mesure Ali Baba qui fit tripler le cours du pétrole. Contrarié à leur tour, Tony Blair mit son grand pote d'enfance Bush au parfum et lui promit de lui offrir un abonnement d'un an à Penthouse s'il l'aidait à se débarasser de Saddam.

Trop heureux de rendre service, Bush accepta immédiatement et n'eut aucun mal à convaincre sa population que Saddam était un grand méchant et qu'il fallait lui couper la tête. Ainsi, avant même que Saddam ne put réagir, il dut fuir son palais alors qu'il attendait fébrilement la sortie du tome 5 d'Harry Potter. Lesé, le pauvre homme ne récupéra jamais les manuscrits de son ancêtre et mourut en pouilleux misérable pendu au bout d'une corde.

En juin 2007, le septième et dernier tome d'Harry Potter sortira, mettant un terme au retravail des oeuvres de Ali Baba. Celles-ci seront ensuite brûlées dans une mosquée du quartier et mises en bouteille pour être revendues anonymement sur Ebay. Un gros scandale éclatera alors dans le monde mais J.K. ROWLING sera bien au chaud aux îles Caïmans tandis que Blair lui aura quitté son poste de premier ministre, totalement insoupçonnable.

Ali Baba est mort sous la queue d'un serpent mais Harry Potter lui est né sous la queue d'un vampire (au sens figuré) et d'une sorcière (Blair Witch).

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