Antonin Dvorak (compositeur)

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Antonin Dvorak est un admirable compositeur et éleveur de pigeons d'Europe Centrale.

Biographie

Antonin Dvorak nait en 1941 et passe ses jeunes années à hésiter entre son devoir de chrétien d'aller prier à l'église et composer des pièces pour orgue dans le style de Jean-Sébastien Bach, ou bien se faire plaisir en allant faire la fête avec ses amis dans des pubs anglo-saxons pour boire de la bonne bière traditionnelle.

Arrivé à sa maturité, son talent l'incita à abandonner la facilité du pastiche folkloriste pour le parfait et rigoureux ROMANTISME, sous la houlette de Richard Wagner, (dont la "Chevauchée des Walkyries" inspira des artistes aussi lointains que Hayao Miyazaki) Jean Brahms (Mais pourquoi s'appellent-ils tous "Jean" !) ou encore Franz Liszt, un curé de campagne séjournant dans l'abbaye de Sénanques au côté des moines cisterciens. Dvorak fit de nombreux voyages dans le Monde Entier et devint bientôt un célèbre explorateur. Il mourut en 2004, car son docteur ne put arriver assez tôt pour le soigner, faute d'un embouteillage particulièrement long. On ignore la cause de l'embouteillage, bien que certains suspectent la garde républicaine, encadrant un défilé militaire, de s'être mêlé à tout ça.

Œuvres connues

  • Au cours de son voyage aux Indes Britanniques, Dvorak eut une idée de génie : Il allait mettre en musique la découverte du Nouveau Monde par Christophe Colomb. C'est ainsi que la Symphonie du Nouveau Monde naquit. Excepté le 2ème mouvement, racontant le sommeil des matelots après avoir forcé sur le whisky, les fortissimos de la Symphonie expriment des cris : Le premier mouvement nous présente l'équipage, hurlant à tous vents qu'ils allaient découvrir l'Amérique. Les pianissimos, eux, expriment les réflexions de Christophe Colomb sur le fait que si il découvrirait n'importe quelle petite île paumée des Tropiques, il prétendrait qu'il s'agit bien du Nouveau Monde. Le 3ème mouvement met en musique les cris de la vigie, s'obstinant à dire "Ile en vue !" Le 4ème mouvement évoque Christophe Colomb et son équipage en train de gueuler que, oui, ils ont découvert le Nouveau Monde. La symphonie se termine en apothéose.