Armée suisse
Seule armée du monde à avoir tué plus de soldats dans son camp que chez l'ennemi en n'ayant d'ailleurs participé à aucun combat.
But de l'armée suisse
L'armée suisse contribue à la sécurité de la nation grâce à de nombreuses opérations; confier à tout bon citoyen une arme, distribuer des biscuits secs et du chocolat aux enfants, faire courir les soldats au bord du Rhône leur sac rempli de cailloux. D'autre part, elle a un but social : occuper plein de sexagénaires qui s'ennuieraient vachement plus s'ils étaient à la retraite ou au chômage. Accessoirement elle dépense l'argent du contribuable pour de nombreuses causes toujours mystérieuses.
Composition
Composée de deux espèces, le bidasse de base forcé d'être là d'une part, et d'autre part les "pros" (essentiellement des gens trop mauvais même pour entrer dans la police suisse) qui constituent le corps des officiers. Cette dernière catégorie est la plus dangereuse, car elle ne remettra jamais en cause quoi qu'il lui soit demandé, aussi absurde cela puisse-t-il paraître... Leur devise : « Réfléchir, c'est mourir ! »... leur laissant encore de beaux jours devant eux.
Direction
Depuis le 1 janvier 2016, l'armée suisse est sous la direction de Guy Parmelin (nouveau chef du DDPS (Département des Débiles Profonds et des sports (ben oui quand même)), au sein du Conseil Fédéral. Avant c'était Ueli Maurer qui occupait ce poste. Il est connu pour avoir voulu remplacer les avions de l'armée suisse par des grille-pains, mais il a finalement changé et s'occupe maintenant des finances du pays. Un poste où il est très critiqué car il a fait quelques petites erreurs, entre autre une erreur de 700 millions de
francs dans budget.ts. Mais bon, qu'est ce que 700 millions de francs pour la Suisse. Avant Ueli, c'était Samuel Schmid à la tête de l'armée. Mais victime du Roland Nefgate, d'attaques ciblées de toutes part ainsi que d'une cote de popularité au ras des pâquerettes, il donna sa démission. Il invoquera des raisons de santé pour se défaire de son joujou. On le sait, l'armée n'est pas réputé pour ses intellectuels.
Grade
De plus important au moins important :
01. Serveur bénévole
02. Tavernier
03. Vigneron
04. Artisan (Créateur d'alcool de type absinthe)
05. Ambulancier
06. Lieutenant des Latrines
07. Chef de Bars
08. Éclaireur de vins
09. Vice-Foufoune
10. Foufoune
11. Foufoune en chef (Anciennement le Roland)
12. Le Roi du Département des Débiles Profonds et des Sports
Remise de la panosse
Ce rite religieux permet d'éloigner les mauvais esprits durant la durée des combats, et ainsi donner aux soldats la force d'aller au front sans craindre d'être tué.
Ce rite s'effectue en trois phases. Il est réglementé par les 934 pages du règlement n° "RRP 510.107.016687.4540.01.264" intitulé "règlement de la remise de la panosse". Tout soldat se doit de l'apprendre par cœur.
Première partie :
Elle s'effectue dès le premier jour des hostilités. Le commandant de bataillon aligne tous ses soldats dans une zone prédéfinie, si possible au milieu d'une grande place dégagée, en espérant ne pas être repéré par les forces aériennes ennemies. Le but étant pour les soldats, de ne plus bouger. C'est ainsi qu'est né le jeu Un, deux, trois, soleil.
Pendant ce temps, l'un des soldats apporte la panosse tant convoitée, tenue du bout d'un bâton, au commandant de bataillon. Après avoir inspecté la panosse, le commandant de bataillon engage un long discours et confie la panosse à la troupe, en guise de dieu protecteur.
Deuxième partie : Chaque soldat se doit de saluer la panosse comme une personne à part entière, et ceci, à chaque fois qu'il l'aperçoit, car la panosse doit être respectée et vénérée. La troupe se doit néanmoins de l'utiliser pour sa tâche première : passer la serpillère (plus couramment dit : panosser). La panosse est ensuite accrochée le haut d'un mat, devant les cantonnements, afin de lui permettre de sécher durant toute la journée.
Troisième partie : Le dernier jour, lorsque tout est enfin rentré dans l'ordre, le commandant de bataillon rassemble à nouveau tous ses hommes qui ne sont pas morts au combat, et une nouvelle partie de Un, deux, trois, soleil est engagée. Le commandant de bataillon inspecte la panosse pour vérifier qu'elle a bien été traitée, puis s'engage à nouveau dans un long discours.
Chaque citoyen suisse se doit de répéter le rituel une fois par année, durant trois à quatre semaines, afin de s'assurer qu'il le connaisse par cœur. Cette formalité est appelée CR (Connaître son Rituel).
Argot Militaire
SMS = Soldat Militaire Suisse
YPD. = Y'a Plus de ... (Peut varier selon l'expéditeur des SMS)
Quelques exemples :
YPDF = Y'a plus de Fendant (pour les Valaisans)
YPDA = Y'a plus d'Absinthe (pour les Neuchâtelois, à noter que l'absinthe est considéré comme une arme de destruction massive par l'ONU, au même titre que Pascal Couchepin)
CLB = Cache la bouteille !
LCA = Le Chef arrive !
IA2C = Il a 2 cartons !
Dictons populaire
« l'armée c'est comme les chiottes tout le monde y va mais il n'y a que la merde qui y reste. »
« Häsch dini Ovo hüt scho gha ? »
« L'armée c'est comme l'apéro ; t'entres intelligent, t'en sors complètement con... Si t'en sors ! »
« Ou sont passé mes Zwieback ? »
« Mais j'penssssses alors ! »
« Morrgueuuu ! »
« Pour les romands, c'est la même chose mais en français ! »
« Un fusil sans magasin, c'est comme une femme sans seins : ça sert à rien! »
« Une cartouche c'est comme une femme : On la met dans la chambre, on la tire et on l'éjecte. »
« C'est toujours les romands ! »
« Arriveeeeeez malheureux !! »
« Est-ce que je dois aussi vous tringler mon appointé chef? »
« Le Romand c'est touchours le rigol!!! »
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