Baraque à frite
La baraque à frite, qui découle à priori de l'assemblage complexe des mots "baraque" et "frite", est un concept ou objet dur à cerner. Il faut donc partir de la racine éthymologique du mot pour tenter de comprendre ce qu'est une baraque à frite, question que chaque être normalement constitué s'est posé au moins une fois dans sa vie autant que " pourquoi le ciel est bleu ? " ou " comment font les aveugles pour se torcher le cul ? ".
La baraque
Il y a déjà " baraque ", ce terme ayant déjà plusieurs sens tel que:
- " homme anormalement imposant aux muscles prépondérants et intimidants "
- " petite maison ayant probablement servi de refuge aux SDF ou au Big Foot"
A droite une fidèle représentation de ce que " baraque " au premier sens du terme représenterait aujourd'hui pour la masse humaine.
Le sens le plus proche de la baraque à frite s'apparenterait à la " petite maison ayant probablement servi de refuge aux SDF ou au Big Foot ". On pense que Golum, aussi connu sous le nom de Smeagol, aurait vécu dans une baraque semblab le à celle de droite.
La frite
La frite, à ne pas confondre avec la fritte qui est un mélange de sable et de soude descenderait d'un horrible légume connu sous le nom de pomme de terre qui a bien failli prendre notre place d'espèce dominante sur la planète. Il s'agirait donc d'une pomme de terre massacrée, coupée en bâtonnets encore vivante et ensuite cuits dans de la friture. Il semble que les humains en raffolent et se servent des frites pour plusieurs fonctions, la première étant une fonction nutritive. Les humains ont d'autres pratiques de bien-être à partir de l'insertion de frites dans une cavité du corps autre que la bouche. Une autre coutume assez mal comprise consisterait apparemment à comparer des frites entre elles comme le montre l'image:
L'association d'une baraque et d'une frite
Selon la description d'une baraque et d'une frite, on peut obtenir nombre de mutations ou d'objets douteux. Mais celle qui nous intéresse est sans aucun doute celle-ci:
On obtient alors la véritable baraque à frite telle que le commun des humains l'entend. Il s'agit d'une baraque bien souvent miteuse et ne respectant pas les règles d'hygiène, où un vendeur peu scrupuleux, avide, méchant et mégalomane y vend des frites, restes d'un douloureux passé pour les pommes de terre. Quelquefois, comme sur l'image, un gitan ou homme du voyage, très avide et mesquin, se sédentarise sur un trottoir et décide de vendre quelquechose ressemblant à des frites.
Il est probable que les propriétaires des baraques à frite soit juste des gens qui adorent manger des frites partout où ils se trouvent et décide presque généreusement de les partager avec la faune locale. Einstein et Steevie avaient commencé une étude approfondie sur la question. On peut d'ailleurs retrouver des informations dans cet ouvrage: " L'homme qui murmurait à l'oreille des frites lépreuses désséchées, authentique étude sociologue et paléontologique des friteux " aux éditions Culture Tecktonik©.
Expressions envisageables
Dans la langue courante, on entendra peut-être un jour les expressions douteuses:
- " Ouai ! Tokio Hotel casse la baraque à frite (avec un seau) ! "
- " Quand j'écoute Gilbert Montagné, j'ai la (baraque à) frite ! "
- " Hitler n'aimait pas les baraques à frite ! " (contrairement à Rommel grand amateur de moules frites)
Les autres type de baraques
Il faut savoir qu'il existe plusieurs types de baraques, par exemple:
- les baraques à boudins ( si, si ! quand les caravaniers font du boudin ! )
- les baraques à hot dog
- les baraques à jus ( de fruits, si si ! cela consiste à acheter des briques de jus de fruits et à revendre le jus dans des gobelets ! Johnny Halliday a commencé sa carrière ainsi )
- les barraques à pétards ( surtout à Nouvel an, elle servent à vendre des légumes et autre verdure infecte. Les hobbits en raffolent en pipe ! )
- les barraques à capsule ( pourquoi ça n'a pas marché ? )
- les barraques à préservatifs ( trop souvent dévalisées et après avoir retrouvé des centaines de ballons dégonflés à proximité, ils furent interdits )
- les barraques à livres ( on y vend des bouquins lourds et encombrants, "p'tet des gens qui aiment lire" dit Bill de Tokyo Hotel. Hitler n'aimait pas non plus ce type de barraque et les fit bruler )
Conclusion
Fusionne la maison de Golum et un super héros douteux et tu obtiens une caravane gitane où te nourrir.
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.