Blog utilisateur:Einstein-number-36/Quod Erat Demonstrandum
Definition
On appelle mathématique tout processus inconscient à caractère subjectif.
exemple : les pavés d'immeuble entrevus en traversant le couloir aérien évoquant un sommeil interrompu.
dém : Si la mathématique était perceptible à ton moi, elle serait limpide et n'échapperait pas à ton entendement. Donc elle est de l'ordre du subconscient ou du çà. Or nous sommes contraints de nous plonger dans ce loisir si partagé de la math, donc ce n'est pas une obligation infligée par les morales schizophrènes implantées dans ton âme-matière depuis l'acquisition du langage symbolique (postérieure à l'innovation évolutive de nos pères gorilles). Bref, tu ne peux pas t'empêcher de désirer ardemment la math (mais tu ne peux pas te l'avouer).
Réciproquement, les flux d'ions neuronaux reposant sur la physique quantique (qui par conséquent jouent à la balle), ne laissent rien au hasard (càd à Dieu) et ta vie psychique que tu ne connaîtras pas provoque une sue de ton insignifiant moi qui écume de son écrasement supra-intellectuel, et, c'est humain, refoule cette infériorité par le qualificatif "subjectif" attribué à la transcendance de çà-gorille.
D' où la nécessité de la définition.
Propriété
La mathématique ne peut rien démontrer.
dém : La mathématique étant purement ancrée dans le sensible, ne peut s'en détacher pour aspirer aux Idées, infiniment dépassée par le concret. Destinée à dominer un monde que la modestie a fait fuir aux homo sapiens sturbatos, elle est constante et serait restée nulle sans l'intervention du singe pour la manipuler. Abandonnée de nouveau, elle constate encore son impuissance.
Hérédité de cette propriété: L'Histoire grava son échec lors de son entrée dans le troisième âge, passé la quarantaine. Cependant si une réflexion reflète z barre sitôt que l'âge s'agrémente d'une unité, engendrant un bousculement des moeurs et changeant de parité, ce sommeil de l'anti-réflexion est tantôt permis, tantôt interrompu par les vérités révélées des prophètes qui ont raison puisqu'on n'y comprend rien.
Définition
La théorie des nombres est la doctrine qui réfute les opinions qui semblent quitter la commune : à toute connerie x débitée par un singe, elle associe un numéro déjà attribué ( numéro 36 ) de manière à empêcher la mémoire de graver cette information qui est trop semblable aux autres. Ainsi les nombres évitent toute socialité et renferment l'individu perdu dans ses lugubres considérations dans un autisme sidéral : personne n'est d'accord puisque tout le monde l'est car on ne se parle pas, c'est le mariage très médiatisé et controversé du dialogue de sourds et du quiproquo.
Corollaire
Si j'intègre une sensation depuis sa fin jusqu'à son début, je la retourne en sentiments en m'extrayant du fil du temps (les fameuses fractales, trop denses pour être emprises), sauf que la primitive raisonne (eh, oui, confrères primates). D'où vous déduisez, évidemment, que la dérive de la raison (emportée par l'hybris) condamne la res cogitans à vaquer à ses aises sans plus rien maîtriser.
D'où une souffrance de l'orgueil et de l'honneur, à leur tour refoulés. (c'est la seconde partie de ce cycle, car notre suite a ne période, comme vous l'aviez pressenti).
La somme de ces facteurs induit que la mathématique nous préserve de la décadence à laquelle nous nous vouons, fervents.
Article synonyme : Justice.