Choupa Croute

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Le capitaine bonhomme
s'est endormi...
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On remarque le logo très recherché...

La Chupa Croute est une spécialité alsacienne très mal connue de la métropole française, et c'est dommage ! Car il s'agit de délicieuses sucettes au gout de choucroute ! Idéal pour les repas pris sur le pouce !

Invention

C'est fait par qui ? Par picard ! Euh non en fait on doit son invention à Gérard Kopferteckle, un alsacien du Bas-Rhin (ou Wasser-Orch, oui c'est une ancestrale querelle entre ceux du Bas-Rhin et ceux du Haut-Rhin) qui inventa en 1959 la marque Choupa Croute juste après la parution des sucettes Chupa Chups, dénuées de tout intérêt... Gérard Kopferteckle qui voulait faire fortune se dit alors en voyant une pub à la tv qui parlait de Chupa Chups qu'il allait lui aussi créer sa marque de sucette, qu'il allait créer des sucettes alsaciennes au succulent goût de choux et de charcuterie et qu'il allait en vendre partout et pouvOIR CONQUERIR LE MONDE ! HAHAHAHAHAHAHA ! hum...hum... désolé, nan en fait il voulait juste gagner du pognon, ce putain de chômeur.

Recette

Longtemps restée secrète, comme tout produit alimentaire de marque, la recette finit par se retrouver dans le domaine publique parce que Gérard n'avait pas de brevet (le con...). De toute façon, personne n'en n'avait rien à branler de sa recette à la con, alors... La principale innovation de Gérard était qu'il a remplacé le sucre par le sel, quel génie ! Fallait y penser quand même ! (surtout pour un truc à la choucroute). Donc notre Gégé pris une marmite puis 2 kilos de sel (de préférence fleur de sel de Camargue), 1 kilo de lard, de knack, de montbéliard et surtout de choux ! Il mélangea tout et PAF ! ÇA FAIT DES CHOCAPICS !!! euh nan ! nan ! nan ! des Chupa Croute, pardon (je me demande pourquoi j'ai dis ça, la tv ne passe cette pub qu'une cinquantaine de fois par jour pourtant...). Gérard Kopferteckle n'ayant pas de bâtons à sucettes, il pris ce qu'il avait sous la main pour mettre ses boules au bout (sales pervers vous pensez tout de suite à autre chose !), c'est-à-dire un couteau de boucher, il garda ensuite cette forme originale pour les vendre.

Industrialisation

Gérard, ayant trouvé du boulot mais pas la fortune avec son invention de merde, décida de vendre son produit dans l'épicerie qu'il venait de lancer. Ce produit ayant eu tout de suite un grand succès au près des Wasser-Orch la demande grandit de plus en plus et Gérard dû accroître logiquement la production de cette sous-merde. Pas de mystère, il alla chourer des machines industrielles de fabrication de sucette dans l'unique usine de confiserie du coin, puis changea les numéros de série (les flics étaient tellement cons qu'ils n'ont même pas remarqué le transfert de machine, bon qu'ils aillent bouffer leur beignet et qu'ils fassent pas chier). Mais ce pauvre Gérard ne fit pas fortune car cet imbécile baissait considérablement les prix de la-dite sucette alors que sa demande était en constante augmentation... De plus, il réussi à lui tout seul grâce à son produit à augmenter le pourcentage de crimes en Alsace, faire grimper le nombre de boucher en Alsace de 200% (car rappelons-le les bâtons de ces confiseries sont des couteau de boucher, les cadavres des assassinés, en plus, on peut se demander s'ils n'ont pas fini par aller dans la vitrine de ces artisans) et le nombre de malades de l'algumine.

Variations des produits

Gérard créa aussi d'autres parfums, tel le parfum Beakhoff, Flammenkueche, et Bretzel. Mais à cause de problèmes techniques, il dû abandonner la production des ces produits, car dans la sucette Baekhoff, les consommateurs retrouvaient tout le temps des pieds de cochons entiers, pour le flavour tarte flambée (Flammenmachin) on retrouvait un ognon ou alors la cème coulait de l'emballage et enfin pour la sucette à la bretzel on la trouvait trop croquante. Le bâton resta quand même l'emblématique couteau de boucher, je vous rassure.

L'agonie foudroyante de ce produit

Ben en fait d'un coup les flics se sont réveillés et se sont dit que s'ils n'avaient plus leurs sucettes de leur magasin alsacien préféré ce serait peut-être parce que les machine volées seraient celles de Gérard Kopferteckle (et oui, un élan soudain d'intelligence...surprenant !). Du coup Gégé sous les barreaux, l'usine ne pouvait plus marcher. En effet, son unique fils censé hérité de ce complexe industriel s'est tué en se passant dans une trancheuse à jambon dans un accident de voiture (oui je sais "WTF ?" mais c'est comme ça je ne sais pas comment il a fait, en tout cas il avait surement hérité de l'intelligence de son père...) et puis personne d'autre ne voulait reprendre l'usine d'un tueur.

Usine a fermé, mais quelques produits existe encore chez des collectionneurs.


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