Déchet Nucléaire
Le déchet radioactif (ou fitcaoidar tehcèd en verlan populaire), à ne pas confondre avec l'émission de Cyril Hanouna "TPMP", est le produit d'une réaction chimique, nucléaire ou amoureuse entrainant la radioactivisation du déchet qu'elle produit. Le déchet radioactif est principalement obtenu à partir de la fission d'ukrainiens (hautement radioactifs) ou de petits congolais. Il se présente sous plusieurs formes, barres d'Ukranium utilisées ou japonais anxieux. La durée d'activité d'un déchet radioactif peut varier en fonction de la durée et/ou du temps.
Reconnaissance du statut de déchet radioactif
Les éléments issus d'une réaction nucléaire n'ont étés classés en tant que "déchets a prendre en compte" qu'à partir des années 1969. C'est lors d'une conférence sur le climat sur Zoom que Tapé Tokamak prononce un discours pro-prendreenchargelesdechetsnucleaires poignant dans lequel une de ses phrases aura marqué les esprits ce jour là :
"Ça va péter, PÉTER"
- Tapé.T lors d'une conférence de presse
Classification
Les déchets nucléaires se divisent en 4 catégories :
- Déchet transgenre (toute personne se considérant déchet radioactif)
- Déchet à faible activité, communément désigné comme déchet 2008
- Déchet arabe, un des plus dangereux, très explosif si mal entreposé. Le nuage radioactif conséquent peut contaminer tout l'occident.
Histoire
Bien avant la conférence de Tapé.T, les prémices du mouvement pro-chépakoi s'observent dès les années 1701, et prend de l'ampleur lors de la parution d'un recueil anonyme et peu connu, extrêmement populaire écrit par Victor Hugo "Les Cons, Temples A Ions". L'auteur dénonce à travers ses poèmes les "isotepu" (combinaison ingenieuse entre isotope et pute) qui soutiennent le nucléaire, parmi les poèmes, un, adressé à Engie qui fait nettement avancer la cause :
"Le nucléaire, ô, tel mon god requin-marteau, Éclair de joie, mais nettoyer plus tard il faut"
- Extrait du poème "Écologie, la nevralgie d'Engie", section 50 nuances de vert, recueil Les Cons, Temples A Ions
Problèmes sur le long terme
Bien que stocker les déchets nucléaires ne pose, à priori, généralement, habituellement, traditionnellement, globalement, majoritairement, communément, d'une manière générale, aucun problème. Tout comme Codforlan, les déchets peuvent sombrer dans l'oubli. Alain Hacquebart, scientifique diplômé au Congo avec une licence aussi fiable qu'un assistant microsoft indien, rétorque "pas pratique lorsqu'il s'agira de porter une combinaison anti-radiation à chaque fois qu'on voudra creuser et planter une tulipe". Selon une étude random, les pictogrammes qui signalent la dangerosité des déchets nucléaires pourraient perdre en lisibilité, la langue étant aussi variable que la position politique de Manuel Valls au cours du temps. Les scientifiques se tournent ainsi plutôt vers l'utilisation d'images, plus compréhensibles et dont les messages seraient plus durables dans le temps, voie envisageable pour les experts qui confirme le fameux adage "Un imam vaut mille maux".
Parmis les images proposées, deux images ont étés choisies par l'INCESTE (Institut du Nucléaire de Carcasonne Et de Sûreté Technologique Éclatée)
1ère :
Solutions à long terme
MDR
Scandales
En effet, plusieurs scandales gravitent autour du thème de la gestion des déchets nucléaires. La première polémique éclate vers les années 1700, lors de la création du parti "Les verts". Les écologistes, à l'époque, rejoignent le parti en masse. Mais au début du mois, le 32 décembre 1701 pendant le week-end au matin du mardi à jeudi vers 23h30, les écologistes constatent avec effroi que les députés du parti votent à l'unanimité une loi qui prévoyait de raser versailles pour y installer une decheterie nucléaire. La fameuse loi "Royalement vert". Ce fût l'événement noyaux de la fission du parti, car c'était le coup de choc parmi les écologistes. En effet, les écologistes s'aperçoivent que le nom du parti faisait référence au domaine du nucléaire et non à l'écologie, le parti se désintégra aussi vite qu'il ne nacquit.
En 2018, en parallèle avec le rassemblement du raid de la Zone 51, l'association écologiste CringePeace organise un événement Telegram dans lequel l'association prévoyait d'organiser une "CleanRaid" dans la centrale Française de Fesses et Nems. Ils constatent que la centrale est une contrefaçon chinoise grandeur nature d'une centrale française. "Yi-Dye-F" l'entreprise exploitant la centrale, rentabilisait les déchets nucléaires en les vendant sur Wish comme des vraies barres d'uranium "jamais utilisées sous blister". Tout éclate, également le scandale.