8 mars 2017 : Une journée de l'Infâme qui s'annonçait bien
De notre envoyé spécial Pruster de Las Cales - le 8 2017
On dira ce qu'on voudra des femmes, mais
Cette célèbre citation, de l'homme qui ne finissait pas ses, est aujourd'hui devenu la devise du mouvement des femmes. Rappelons que le mouvement des femmes est celui enseigné par M. Miyagi : « Lustrer, frotter, lustrer, frotter. Parfait, maintenant ôtez ce club de golf de votre bouche. » HA HA HA ! Génial... euh... ah non, merde, j'ai mélangé 2 blagues... bon, tant pis.
Tout le monde sait aujourd'hui que Dieu est noir, notamment avec les traces d'hexorhibiglutamate relevées sur le Saint Suaire, ce qui contredit partiellement l'hypothèse que Dieu est une femme, étant donné que plus de la moitié des noirs sont des hommes, presque.
Conclusion: Les femmes, jadis perçues d'une autre manière, ont elles aussi
Transmission génétique et condition de la femme
Les études scientifiques effectuées sur les femmes sont sans appel, les risques de transmission génétique dépassent les 100 %, presque. En effet, 1 enfant sur 1, dont les parents ont des gènes, aura lui aussi des gènes, c'est horrible, mais c'est la vérité. Je ne parle évidemment pas ici des gênes, comme le grenoblier, qui sont des fruits de saisons à coque dure, comme celle du Nautilus.
En revanche, nous notons, à la lecture attentive de l'œuvre majeure de Marguerite Duras : Le 2e Sexe, qu'on ne « naît pas femme, on le devient ». Cela contredit de manière flagrante l'idée répandue, selon laquelle « rien ne sert de courir, il faut partir à point. » En effet, le lièvre arrivant 2e (comme le 2e Sexe) est discriminé en raison de son inaptitude à remplir les critères arbitraires de performativité que lui impose la société moderne.
Conclusion: Jean de la Fontaine est clairement misogyne.
Poésie du XVIIe siècle et homophobie misogyne
Parler de la cause de femmes, c'est donner la voix à toutes les populations qui ont souffert du joug de la bienpensance et de l'omniprésence d'une logorrhée abhorrant l’équanimité sous-jacente à la condition humaine, et vice-versa.
Quelle ne fut donc pas ma surprise, lorsque sous mes yeux de lecteur averti en valant deux, je remarquai un préjudice orgueilleux qui avait échappé aux érudits notoires, tels Jean-Robert Ducoquelicot (1985) et Miriam-Jézabelle Pontivité (2001) dans leur ouvrage de référence: Jean de la Fontaine, ce fils de pute (2014, Paris: Seuil au Monde, Wilson).
Lisons un passage de cette poésie abominable:
Notre Lièvre n'avait que quatre pas à faire ; J'entends de ceux qu'il fait lorsque prêt d'être atteint Il s'éloigne des chiens, les renvoie aux Calendes, Et leur fait arpenter les landes. Ayant, dis-je, du temps de reste pour brouter |
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—Jean de la Fontaine, ce fils de pute |
Pause publicitaire
Les chiennes en chaleurs de la Journée de la Femme III, production Marc Dorcel, est aujourd'hui à moitié prix pour les femmes, respect.
Reprise de l'analyse socio-historique de Jean de la Fontaine, ce fils de pute
Dans le passage cité avant la pause publicitaire, vous n'avez certainement pas remarqué (vu que vous êtes de gros débiles profonds atteint du syndrome de la connerie de trou du cul, population discriminée dont nous traiterons la semaine prochaine) que le lièvre se dit: « Ayant du temps pour brouter ». Oui môssieur, pour brouter.
Alors si on aime brouter, on vaut rien, c'est ça ? C'est non seulement insultant pour les lesbiennes qui, comme chacun sait, passent leur temps à brouter, mais aussi pour les hommes qui, de temps en temps, aiment bien brouter aussi, et pourquoi pas d'abord ? On est en 2017 ou pas ? MERDE !
Conclusion : Comme disait le chanteur de Gold : « Laissez-nous brouter. »
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