La Ligue Internationale des Droits de l’Homme de Tâter les Salopes déclare que le burkini est le comble de l’érotisme
De notre envoyé spécial --Bazoumboy Deluxe (discussion) août 29, 2016 à 12:28 (UTC) - le 29 août 2016
Sous le voile, les poils
Etant entendu que l’érotisme fonctionne sur la suggestion (contrairement à la pornographie qui consiste en une vulgaire monstration), le burkini, aujourd’hui tant décrié sur les plages par les pisse-froid frustrés, obtient le label « Érection maximale » de la part de la LIDHTS. « Franchement, tout cet étalage de barbaque à perte de vue, dont la qualité laisse souvent à désirer, ça ne me donne plus envie depuis longtemps. Tandis que lorsque je vois ces grosses salopes d’allumeuses enveloppés dans leur tissu cadeau, qui se dandinent l’air de ne pas y toucher, je manque à chaque fois de m’éborgner, non je ne me vante pas, je ne suis pas président de la Ligue par hasard. » nous confie par hasard le président de la Ligue. « Et quand elle ressortent de l’eau le vêtement plaqué sur leurs atours, je manque souvent de m’assommer, nan je vous assure, regardez l’engin. »
Sous le burkini, le cul nu
Un petit tour du côté des burkinées nous confirme ce jugement. « Moi, j’aime bien faire exploser le falzar des mecs. Si tu veux avoir un peu de succès et te faire tringler le plus vite possible, il faut te distinguer sur un marché concurrentiel où tout à déjà été tenté. Moi, quand je débarque, je fais tout de suite sensation. Ils sont tous là avec leurs yeux exorbités , ouais leur bite qui leur sort par les yeux. Après, tu marches en te déhanchant juste ce qu’il faut en te dirigeant vers l’eau, tu te trempes juste le temps que le moulage prenne, et tu ressors en faisant bien attention que le tissu soit bien plaqué contre tes cuisses de sorte que ça te frotte le minou à chaque pas, et je peux te dire que les blondasses seins nues et ficelle au cul, elles n’existent plus. » nous déclare fièrement Jennifer (nous avons changé son prénom afin que son mari la batte moins). Le burkini a d’autant plus la cote qu’il a la réputation d’être porté par des vierges lorsque les femmes viennent sans leurs enfants. Il a aussi l’avantage de dissimuler les parties disgracieuses, ce qui permet au moches de susciter la convoitise, au moins pour le temps où le dévoilement n’a pas encore eu lieu. « Mais bon, on connaît les mecs : à partir du moment où on l’a chauffé, il a du mal à s’arrêter. Il suffit que tu relèves le bas jusqu’au nombril et il y va sans regarder le reste. Même Fatima a sa chance. » nous raconte Odile. « Hourria, je vais te niquer ta face de grosse pute. Toi t’es plate comme un platane. » lui rétorque Françoise. S’ensuit un pugilat où les demoiselles se jettent l’une sur l’autre et s’arrachent leur vêtement sous l'œil circonspect mais attentif de la gente masculine, qui n’ose intervenir de peur de passer pour l’agresseur. Jusqu’au moment où le président de la Ligue, en tant que président, décide de foncer dans les tas, et tout se termine dans la plus grande satisfaction des participants.
Avant de partir, Françoise nous accoste : « Eh, dites leur bien qu’on n’a rien en dessous, hein ? » C’est bien ce que nous avons constaté et c’est ce dont nous ne pouvons que témoigner.
Alors, la prochaine fois que vous croiserez une femme voilée dans la rue, vous saurez à qui vous avez affaire en réalité. N’hésitez pas à la siffler sur son passage voire à lui rendre un hommage par un geste délicat de la main à l’endroit qui lui fera le plus plaisir, à cette grosse cochonne.
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