Manifestations qui dérapent : Marine Le Pen se dit "choquée jusqu'au trou du cul"
De notre envoyé spécial
Pruster de Las Cales
- le 26 avril 2016
Des manifestants qui dérapent
Cette histoire défraie la chronique, lol. Rien que cette phrase, ça pourrait faire un article : "Défraie la chronique". Je veux dire, lol, "l'accro nique", déjà, c'est fendar. La "Kro nique", ha ha ! Nique, trop drôle. Ensuite, défraie, DÉFRAIE ! Genre : « Tu veux des Kro chauds ou Frais ? » (bon, faut imaginer le prolo de base, alcoolique et qui sait pas accorder ses adjectifs, évidemment, sinon cet accroc nique la blague, HA HA HA ! Génial.) , alors le gars il répond... bon, vous avez compris... mdr, le gars il répond : « Des frais, la Kro nique. » Là, ça veut rien dire, mais le gars est bourré, je rappelle que c'est un alcoolique, alors un peu de respect, c'est une maladie.
Cette histoire, donc... ah oui, j'avais oublié, y'avait aussi un truc avec "effrayer", mais bon, là j'ai plus trop le temps. On va dire que c'est trop marrant et puis voilà.
Il y a toujours eu des débordements au cours des manifestations, et cela a toujours provoqué des poursuites pénales. Qu'il s'agisse de violence ou de pancartes provocantes. Or, la politicienne Marine Le Pen s'est souvent trouvée la cible de ces provocations gratuites à l'endroit de sa sainte personne, et a donc dû légitimement les poursuivre en justice, comme Starsky et Hutch, qui poursuivaient en justice, à l'aide d'une voiture poursuivant des bandits au nom de la justice, une poursuite donc, en justice. En fait, c'est une blague.
Le témoignage de l'Histoire
J'appelle à la barre... l'Histoire. Lol, le témoignage de l'Histoire ! Dans l'affaire Snickers, j'appelle l'Histoire à la barre de chocolat, mdr. Dans l'affaire du trésor enterré, j'appelle pour creuser, ptdr, pelle. Dans l'affaire à cheval, j'appelle "BONG !" Aïe ! Ok ok, j'arrête...
Bref, tout ça pour dire que des pancartes provocantes à l'encontre de Marine Le Pen, il y en a eu beaucoup, avec leur lot de poursuites :
Une attaque particulièrement vicieuse
Mais cette fois, si Marine Le Pen s'est dite "choquée jusqu'au trou du cul", c'est parce que la situation a atteint des niveaux de violence verbale impossible à imaginer, et la comparaison qui est faite dans cette affaire est pire que tout :
Certains journalistes gauchistes irrespectueux ont alors poussé le bouchon jusqu'à lui rétorquer qu'elle « n'a aucune raison d'être choquée, puisqu'en effet, elle appartient au parti politique du Front National, et qu'elle en est d'ailleurs la présidente ! ». Quelle bande de malotrus.
Heureusement, Marine leur a intelligemment rétorqué : « Ce n'est pas parce que, pour gagner ma vie, je dois travailler pour le F.N., qu'il faut associer ma personne à son idéologie. Vous savez, nous sommes au XXIe siècle, un individu ne doit plus être réduit à son travail, son sexe ou sa race. Et en parlant de race, je suis plus qu'outrée d'être ainsi assimilée à un parti raciste. J'aime les noirs moi, avec leur grosse bite. J'ai même un ami arabe, ARABE ! Et il fait un poulet Général Tao délicieux. Si vous croyez qu'une personne qui se réduirait à être F.N. aurait un bougnoule dans ses fréquentations, laissez-moi vous dire que vous vous trompez lourdement, mon petit pote. En plus, j'ai déjà parlé à un juif, une fois. »
Des paroles qui font réfléchir.
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