Désinformation:Plan de rigueur : la deuxième journée de solidarité rafle l’approbation des ministres

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Plan de rigueur : la deuxième journée de solidarité rafle l’approbation des ministres

De notre envoyé spécial  Sir William Little - ‎le 19 novembre 2011

ParisFrance — 
Ja! Deutsche Qualität!
C’est aujourd’hui, un peu plus tard dans la matinée, que sera officiellement promulgué le projet de loi sur la deuxième journée de solidarité censé apporter une solution finale à la crise de la dette qui menace la pérennité de notre triple A. Cette seconde vague de rigueur, qualifiée de « plus rigoureuse depuis 1945 » par le Premier ministre François Fillon, s'appuiera ainsi sur les grandes lignes du plan de rigueur allemand, perçu par les marchés financiers comme un gage de qualité certain.

En ce jour historique, saluons donc comme il se doit[1] l'initiative du Gouvernement français qui, en décidant de se faire dicter sa conduite par un pays qui n'en a eu aucune par le passé, s'attaque enfin à la source structurelle des problèmes économiques de la zone Euro.

La grande puissance Allemande a en effet toujours eu à cœur d'inculquer à la France un Axe clair et vertueux en matière de construction européenne. Mais à chaque fois pourtant, la rigueur et le fanatisme teutons avaient fini par être rejetés au profit de préceptes plus « consensuels » comme la tolérance, l'altruisme, etc.[2], symptomatiques de l'infériorité des peuples latins et qui, quelques décennies plus tard, ne manqueraient pas de les mener inexorablement à la faillite.

Comment donc échapper à ce destin funeste ?

Le fossé qui sépare les riches des pauvres pourrait bien être comblé d'ici quelques années

En calquant nos méthodes exécutives sur celles des allemands, nous bénéficions ainsi d'un savoir-faire éprouvé qui a déjà apporté les Trentes Glorieuses et le plein emploi à l'Europe. Nous avons tout intérêt à suivre le modèle allemand, ils ont tellement à nous apprendre.

Maréchal nous voilà ! Devant toi, le sauveur de la France Nous jurons, nous, tes gars De servir et de suivre tes pas

—Ja! Ich bin mélomane!

Qu’est-ce que la deuxième journée de solidarité ?

Si c'est le prix à payer pour rester dans le wagon de tête des agences de notation, alors...

La deuxième journée de solidarité consistera donc, pour les Juifs, en une journée de travail supplémentaire, en principe non rémunérée. Elle se traduira également par une contribution nouvelle mise à leur charge (le « fond européen de solidarité ») moyennant la saisie de leurs biens immobiliers et de leurs fonds de commerce, le tout étant destiné à financer des actions en faveur de la recapitalisation des banques d’affaires françaises empêtrées dans la crise de la dette grecque.

Cette journée fera suite à une première journée de solidarité qui avait permis, il y a quelques années, de financer des actions à l'encontre des personnes handicapées.

Pourquoi les Juifs ?

We are the 99%, and the Nazi

Riches commerçants, armateurs, banquiers et autres bijoutiers, le peuple d'Abraham s'accapare depuis trop longtemps déjà les richesses de notre grande Europe. Il est plus que temps de purifier notre système financier en taxant les riches Juifs, et non plus seulement les classes moyenne/aryennes.

Fer de lance de la protestation, le mouvement des indignés/antisémites prend de l'ampleur dans les grandes capitales Européennes et ils sont de plus en plus de Nazi chaque jour à demander une plus juste répartition des richesses entre les grippe-sou de la finance aux nez crochus et nos chère têtes blondes.

Et si une seule journée ne suffisait pas ?

Alors une autre journée de solidarité s'en suivrait, puis encore une autre, etc. Et si cela ne suffisait toujours pas, ce serait des semaines, des mois, des années, jusqu'à l'extermination systématique de la dette en Europe, et des Juifs.

Prévisions des économistes/sionistes sur les bienfaits de la deuxième journée de solidarité pour la population juive (en bleu), la dette publique française (en rouge) et le PIB/Aryen (en vert) d'ici fin 2012

Comment alors empêcher l'évasion fiscale ?

En encadrant davantage les Juifs, en les empêchant de se déporter d'eux-mêmes dans les paradis fiscaux avec nos richesses sous le bras. Une sortie de crise est encore possible, à condition de suivre le bon modèle, le modèle allemand.

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Notes en bas de page

  1. bras et main droite tendus
  2. la liste est longue


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