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Sans-abri, le cauchemar continue
De notre envoyé spécial
Kongkong
- le 28 novembre 2009
Paris, France — Depuis des années, les sans-abris sont de plus en plus nombreux malgré les aides et les actions du
Roi.
Bonjour et bonsoir pour les québécois qui font jamais comme tout le monde, je suis ici dans une des plus grandes avenue de Paris et le long des boutiques s'entassent des sans-ministères. Des pauvres courtisans du Maître du soleil qui n'ont pas réussi a trouver leur place dans un des nombreux secrétariats d'État et qui doivent se contenter de peu pour survivre. Pour vous j'ai interrogé une de ces personnes :
Un pauvre sans-ministère.
DéTV : Bonjour, pouvez vous nous parlez de votre histoire ?
Raffarin : Après avoir planté un couteau dans le dos du vieux en sabotant toute sa politique , je me suis jetée au pied de Sarkozy qui m'avait juré qu'il me nommerait ministre des voitures de fonction, mais ce salopard m'a trahit.
DéTV : La vie est elle dure pour un sans-ministère ?
Raffarin : Bien sur, imaginez, devoir se contenter d'une Mercedes de député et d'un logement de 600m2, c'est presque la rue.
Raffarin : C'est la meilleur, je n'ai que le bouquet canal+, trois chambres d'amis et 25 000 € net par mois et on dit que je vis bien ! Voyez où va le monde !
DéTV : Pensez vous que d'autres personnes vont devenir sans-ministères prochainement ?
Raffarin : Sûrement ! Je pense que Fion va se faire virer, de toute façon
il a l'habitude.
DéTV : Merci beaucoup, un petit mot pour les beaufs qui nous regardent ?
Raffarin : Ne faites jamais confiance à un
nain.
Nous remercions J-P qui retourne s'entasser dans un de ces trop nombreux logements sociaux construits depuis le début de la république. Ils sont nombreux, trop nombreux comme J-P à n'avoir que 2 salaire de 10 000 € pour joindre les deux bouts, alors vous aussi aidez les, mettez la main à la poche en faisant un don, ici.