Discussion:Montpellier
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Battle de Bataille
Mon pellier
- Ah oui. C'est tellement vrai. Je connais un gars, ben il vient de Cournonsec, ben il est choqué de la violence quand il vient à Montpellier boudiou. Et puis, on pourrait aussi évoquer les tournantes publiques qui ont lieu tous les mardi midi dans la rue de Barcelone. Vraiment choquant hein ! Mais le pire, c'est quand même les 6 meurtres par jour. Et dire que même BFM n'en parle que très peu ! Non, vous avez vraiment raison : Montpellier est une ville ultra-craignos où les "voyous" s'excusent presque de vous agresser "pardon, excuse moi monsieur, c'est pour un vol... oui ? oui, pardon, je vous laisse finir votre discussion, excuse-moi". Jakoko - C'est ma signature. septembre 7, 2016 à 13:05 (UTC)
- Ça et le génocide blanc qui a lieu dans le gymnase le Hetet, 237 Route de Vauguiéres, transformé en camp de la mort pour l'occasion, où des jeunes des cités viennent gazer des honnêtes français blancs en leur pétant dessus. Je dis ça, mais je suis pas raciste, j'ai un très bon ami nazi. Je suis un pauvre Chinois et je n'aime pas mon gouvernement corrompu
septembre 7, 2016 à 13:21
- Arf, ce triste moment, je m'en souviens parfaitement... Tout comme l'attaque des topinambours diabétiques. Ce jour là, j'étais au travail. Les topinambours ont débarqué en train, sans crier Gare, et ils se sont mis à chanter du Ségara en se rappant les côtes avec une mandoline putain... Fallait les voir tous les jeunes étudiants en pleurs dans les rues de Montpellier. Non, vraiment, parfois, je me dis qu'il serait temps de déménager. Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 13:59 (UTC)
- Oui, c'était pas facile, mais rien comparé à la coupe du monde 98, quand mon Zizou a rencontré mon Pelé à Montpellier, je leur ai donné des patates qu'ils m'ont pelées à Montpellier. Alors ils voulaient en planter d'autres, donc j'ai dit : « je ne sais pas si ma bêche y est, mais en tout cas ma pelle y est à Montpellier ». Alors on est tous resté à Montpellier à Montpellier. Généralissime « Le monde n'était pas prêt » septembre 12, 2016 à 13:27
- On m'appelait Pellier. Un jour, Y avait Momo, Pel et Eleonor, Elé pour les intimes, trois beatniks sans vergogne qui binaient des bintjes Nike aux pieds dans une ferme de Viols-Le-Fort. Les trois lascars débarquent alors, me scarifient, me terrifie, m'asphyxient, me gifi des idées de génie. M'ont pelé ces enflures de Momo Pel Elé. Ils étaient fous à lier les trois alliés. Ils sont maintenant poings et pieds liés à la Colombière de Montpellier. Putain, j'me fais chier à un tel point aujourd'hui... Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 13:59 (UTC)
- C'est en effet cacastrophique de se faire chier à un point G qui rend scatophile Cath et Phil, alors mon seignor il est l'or, l'or de se réveiller, mais quand le réveil est en veille, alors qui veille sur Gotham, un gros tas ? Ce gros tas de sergent Garcia ou Zorro, il est l'orro, l'orro de se réveillo. Spiderman a tué son oncle, tout ça pour quelques billets, si j'ai bien compris, et c'est quoi la morale ? Mieux vaut courir à pied que partir à tampon ? Qui partirai à tampon ? À part Pompidou, qui lui partait à Tampompidou, comme dirait Marilyn Monroe. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 14:04
- Marilyn Monroe binait bien elle aussi. Sonroe aussi. Tonroe aussi. Alors que Sarilyn était moins réputée. J'ai souvenance de la belle Marimon Lynroe également, qui sortait avec Levis Let's Spray. Elle était frigide, lui aimait le gel. Il a essayé de réchauffer le glaçon, ou le glaton plutôt. Mais le glaton n'aima point cela et s'évapora sans laisser d'hardesse. Ah, c'était la belle époque, celle des Dutronc, des Charlebois, des Françoise Hardy et des Laurel Bacann. L'époque des soirées bacchanales et des journées annales du bac, un soir de mai sur le canal ou au lac. Rah putain, j'me fais foutrement chierrrrr ! Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 14:21 (UTC)
- Ah ouais, je me souviens de Dutronc, l'homme-tronc qui avait des jambes et des bras, et pas la langue de bois. Il disait qu'il avait des cactus dans les poches, mais en fait non. Alors il arrive devant l'autre type et il lui dit : « Ah ouais ? », alors l'autre type dit : « Eh ouais ! » Mdr quoi, le type, il rigole tellement qu'il en fait une crise cardiaque et meurt. Alors là, sa femme et son fils arrivent et ils se mettent à pleurer, alors le fils se lève et dit à sa mère : « Maintenant, je serai l'homme de la maison », et il meurt aussi. Alors la femme pleurt. Puis elle se lève et se dit : « Maintenant, je serai l'homme de la maison ». Alors elle pousse et pousse encore, jusqu'à ce qu'un pénis lui pousse. Alors elle meurt aussi, et tout le monde meurt, tout le monde est mort, ha ha ha. C'est la chute, boum, aïe. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 14:33
- Ah, la Hardy. Et sa fameuse chanson ! Tous les gars cons et les filles de mon âge blablabli blablabla blabliblou. Et les yeux dans les yeux et la main dans la main, et le pied dans le pied, et les ch'veux, dans les ch'veux ! Et l'oreille dans l'oreille, et les lèvres dans les lèvres, et les ongles dans les ongles, et les hanches dans les hanches, et le nombril dans le nombril, et le doigt dans le cul, et la langue dans la langue, et le crâne dans le crâne, et le coude dans le coude, et les fesses dans les fesses, et les g'noux dans les g'noux, et les antilopes dans les antilopes. Et les pro-lopes dans les pro-lopes, et les gars lopes dans les gars lopes, et les sales lopes dans les sales lopes, car personne ne m'aime !. J'ai toujours adoré le Hardy-Core. Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 14:47 (UTC)
- Et que dire de Goddefroy le Hardi, connu chez les anglais sous le nom de IceDildo the Hardened, lui qui savait si bien pénétrer l'esprit complexe des femmes, si profondément qu'elles en rendaient grâce à Dieu, grâce à lui, Grace Kelly aussi, et Félicie. Mais pas Lulu avec qui je ne bande plus, la pendaison papa c'est comme le trépas, c'est très pas cool. Comme le Titanic, ta mère. Géronimo disait toujours « Ma bite, c'est comme une boite de chocolat », à cause du ruban. D'où son nom, Géronimo Bitenrubanée. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 15:38
- POW POW POW! Ca claque sévère ! Ce Géronimo, cette enflure de gare-doigts ! Et la grosse Kelly quand le gode froid l'enhardit ! Et la felicita, E il tuo sguardo innocente in mezzo alla gente del pueblo unido jamas sera vencidominique nique nique. Et la femme de Dutronc qui est si bonne, et maman, peu m'importent les scrotum je veux jouer de l'hélicon. Parce que l'hélicon, c'est un instrument absconds là où le clavecin est un instrument absinthe. Mais le cor, ce fabuleux cor de sirène, le cor mou, le cor noir, le cor dur, le HARDCORE ! Motherfuckers! En cor que dans le contexte de la p'tite Anique, le tuba eut été plus judicieux. Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 16:24 (UTC)
- Et que dire de Goddefroy le Hardi, connu chez les anglais sous le nom de IceDildo the Hardened, lui qui savait si bien pénétrer l'esprit complexe des femmes, si profondément qu'elles en rendaient grâce à Dieu, grâce à lui, Grace Kelly aussi, et Félicie. Mais pas Lulu avec qui je ne bande plus, la pendaison papa c'est comme le trépas, c'est très pas cool. Comme le Titanic, ta mère. Géronimo disait toujours « Ma bite, c'est comme une boite de chocolat », à cause du ruban. D'où son nom, Géronimo Bitenrubanée. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 15:38
- Ah, la Hardy. Et sa fameuse chanson ! Tous les gars cons et les filles de mon âge blablabli blablabla blabliblou. Et les yeux dans les yeux et la main dans la main, et le pied dans le pied, et les ch'veux, dans les ch'veux ! Et l'oreille dans l'oreille, et les lèvres dans les lèvres, et les ongles dans les ongles, et les hanches dans les hanches, et le nombril dans le nombril, et le doigt dans le cul, et la langue dans la langue, et le crâne dans le crâne, et le coude dans le coude, et les fesses dans les fesses, et les g'noux dans les g'noux, et les antilopes dans les antilopes. Et les pro-lopes dans les pro-lopes, et les gars lopes dans les gars lopes, et les sales lopes dans les sales lopes, car personne ne m'aime !. J'ai toujours adoré le Hardy-Core. Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 14:47 (UTC)
- Ah ouais, je me souviens de Dutronc, l'homme-tronc qui avait des jambes et des bras, et pas la langue de bois. Il disait qu'il avait des cactus dans les poches, mais en fait non. Alors il arrive devant l'autre type et il lui dit : « Ah ouais ? », alors l'autre type dit : « Eh ouais ! » Mdr quoi, le type, il rigole tellement qu'il en fait une crise cardiaque et meurt. Alors là, sa femme et son fils arrivent et ils se mettent à pleurer, alors le fils se lève et dit à sa mère : « Maintenant, je serai l'homme de la maison », et il meurt aussi. Alors la femme pleurt. Puis elle se lève et se dit : « Maintenant, je serai l'homme de la maison ». Alors elle pousse et pousse encore, jusqu'à ce qu'un pénis lui pousse. Alors elle meurt aussi, et tout le monde meurt, tout le monde est mort, ha ha ha. C'est la chute, boum, aïe. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 14:33
- Marilyn Monroe binait bien elle aussi. Sonroe aussi. Tonroe aussi. Alors que Sarilyn était moins réputée. J'ai souvenance de la belle Marimon Lynroe également, qui sortait avec Levis Let's Spray. Elle était frigide, lui aimait le gel. Il a essayé de réchauffer le glaçon, ou le glaton plutôt. Mais le glaton n'aima point cela et s'évapora sans laisser d'hardesse. Ah, c'était la belle époque, celle des Dutronc, des Charlebois, des Françoise Hardy et des Laurel Bacann. L'époque des soirées bacchanales et des journées annales du bac, un soir de mai sur le canal ou au lac. Rah putain, j'me fais foutrement chierrrrr ! Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 14:21 (UTC)
- C'est en effet cacastrophique de se faire chier à un point G qui rend scatophile Cath et Phil, alors mon seignor il est l'or, l'or de se réveiller, mais quand le réveil est en veille, alors qui veille sur Gotham, un gros tas ? Ce gros tas de sergent Garcia ou Zorro, il est l'orro, l'orro de se réveillo. Spiderman a tué son oncle, tout ça pour quelques billets, si j'ai bien compris, et c'est quoi la morale ? Mieux vaut courir à pied que partir à tampon ? Qui partirai à tampon ? À part Pompidou, qui lui partait à Tampompidou, comme dirait Marilyn Monroe. Pruster II : La Réponse septembre 12, 2016 à 14:04
- On m'appelait Pellier. Un jour, Y avait Momo, Pel et Eleonor, Elé pour les intimes, trois beatniks sans vergogne qui binaient des bintjes Nike aux pieds dans une ferme de Viols-Le-Fort. Les trois lascars débarquent alors, me scarifient, me terrifie, m'asphyxient, me gifi des idées de génie. M'ont pelé ces enflures de Momo Pel Elé. Ils étaient fous à lier les trois alliés. Ils sont maintenant poings et pieds liés à la Colombière de Montpellier. Putain, j'me fais chier à un tel point aujourd'hui... Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 13:59 (UTC)
- Oui, c'était pas facile, mais rien comparé à la coupe du monde 98, quand mon Zizou a rencontré mon Pelé à Montpellier, je leur ai donné des patates qu'ils m'ont pelées à Montpellier. Alors ils voulaient en planter d'autres, donc j'ai dit : « je ne sais pas si ma bêche y est, mais en tout cas ma pelle y est à Montpellier ». Alors on est tous resté à Montpellier à Montpellier. Généralissime « Le monde n'était pas prêt » septembre 12, 2016 à 13:27
- Arf, ce triste moment, je m'en souviens parfaitement... Tout comme l'attaque des topinambours diabétiques. Ce jour là, j'étais au travail. Les topinambours ont débarqué en train, sans crier Gare, et ils se sont mis à chanter du Ségara en se rappant les côtes avec une mandoline putain... Fallait les voir tous les jeunes étudiants en pleurs dans les rues de Montpellier. Non, vraiment, parfois, je me dis qu'il serait temps de déménager. Jakoko - C'est ma signature. septembre 12, 2016 à 13:59 (UTC)
- Ça et le génocide blanc qui a lieu dans le gymnase le Hetet, 237 Route de Vauguiéres, transformé en camp de la mort pour l'occasion, où des jeunes des cités viennent gazer des honnêtes français blancs en leur pétant dessus. Je dis ça, mais je suis pas raciste, j'ai un très bon ami nazi. Je suis un pauvre Chinois et je n'aime pas mon gouvernement corrompu
septembre 7, 2016 à 13:21
Flaubert du 93
Wesh, Pruster à la ligne, direct dans les narines. Un ptit rail et tu dérailles ma cailles. Moi les ouf j'les bouffe et plouf, plus de biatches dans la piscine, depuis qu'j'y ai mis d'l'urine. Tout mon crew est parti, quand j'ai fait pipi. Ils disent qu'j'suis un détraqué, mais ce n'sont qu'des détracteurs, alors j'regarde l'amour est dans le pré, parce qu'ils ont de beaux moissonneuses. Merde, j'm'ai gouré de rime, ça me déprime, j'enfile un Xanax par l'oreille, et j'me sens comme Alice au pays de la Saucisse, j'ai mal au cul. Le curé vient me voir, alors je lui dit : "Stanislas, mon vélo ! D'abord c'est mes chaussures, ensuite mon vélo, ah ben non alors". Prends ça Stan de Funès le funèbre. Généralissime « Le monde n'était pas prêt » septembre 12, 2016 à 16:33
- Jakoko débarque sur cette terre, il te claque avec sa BIP dans ton sphincter. Le sphinx du clash est là, et te gratte le larynx avec sa... bite Sean pen nis sur la table, chaussures de tennis et bouche au bout du câble. C'est le match. Il te prend comme dans du catch, à l'envers, à l'endroit, dans l'derrière ou dans la boîte à papa. You. Papayou. C'est le plus beau des Papayous Lélé. Y a les poux papas, les papous papas, les papous papas à poux pas papas. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 08:16 (UTC)
- Bonjour, ici Hélène Carrère d'Encausse, Secrétaire Perpétuelle de l'Académie Française. J'ai lu votre Battle des Batailles et je tenais à vous dire que : « Les godelureaux c'est pas nouveau, il y en avait chez Mariveaux, si tu quêtes la vandale, et ce jusqu'au dernier râle, saches que tu ne peux rien, contre un académicien. Nous sommes les Robespierre de la joute, qui t'enterrent et qui s'encroûtent, un pas de plus, maraud, et tu finis à l'échafaud, en train d'me bouffer l'clito... euh, non, je voulais dire... palsambleu... » Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 12:56
- Les immortels sont de sortis ? Je dégaine mon plus beau fusil : la comédie musicale ! Immortel, vous êtes immortel ! Et nous ? Nous nous aimons entre mortels ! Vous ne pourrez jamais tuer l'amour qui nous uni, dans cette danse de la vie. L'amour, toujours, qui court, qui bourre, qui tchoure, qui doure, jamais vous ne le battrez ! J'en appelle à toi, Jean-Jacques Flaubert, à Mireille Dumas et à Voltaire. L'amour vaincra tous ses ennemis, car aimer c'est beau et c'est la vie ! Ma vie, je la donnerai pour l'amour et l'amitié ! Tout va très bien, madame le Smarties, même George Sand sur la banquise, iront vers vous, coeurs au vent, avec leur regard d'enfants et feront tomber la tyrannie de la haine des hommes envers autrui ! "La guerre de l'amour", l'Opéra Rock. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 13:21 (UTC)
- Les immortels sont de sortie ? J'en appelle à Duncan McLeod aussi : Une princesse dans un donjon ? Vite, je mets mon caleçon. Je cours la délivrer, puis la décapiter. Des éclairs jaillissent des cieux, et me rentrent par les yeux. J'ai pris tout son pouvoir, et maintenant je vais aller buter quelqu'un d'autre. ♬ Couper la têêêêête, Couper la têêêêête, couper la tête. Si ce soir, j'ai pas envie d'rentrer chez moi, si ce soir j'ai envie d'te couper la bit... tête. Couper la têêêêête, Couper la têêêêête, couper la tête ♬. Il ne restera qu'un donut, puis zéro. ZÉRO ! Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 13:27
- Here we are, born to be kings, we're the princes of the universe! Here we belong! Fighting to survive in a world with the darkest power! Oh life is bigger, it's bigger than you and you are not me. The lengths that I will go to, the distance in your eyes. Shot the sheriff. But I did not shoot the deputy. Porque me llaman el desaparecido, cuando llega hacia ido. Voilà le fond de ma pensée avant que l'on me coupât la tête. Toute ma vie défilait tandis qu'un hiboux sans aile me picorer les yeux. "Pas les yeux putain d'enculetch de ta race ! J'te coupe la tête pour te chier dans le cou". Ca lui donna des idées. Il saisit le couteau Suisse qui refusa : "Mossieur le Hiboux, je suis neutre, démerdez-vous". Il prit ensuite le couteau de cuisine, qui s'avéra un féministe farouche et se mit à insulter la phallocratie hiboute. Le Hiboux, n'en tenant plus, empoigne alors le coutal qui lui coûta une pâte quand dans son zèle il ne pris garde au tranchant de la larme. C'était un coutal Gore, passionné par la cause écologique, et en pleurs à longueur de temps. Pour finir, il attrapa le coupe-ongle et me découpa la tête en suivant les pointillés. Ainsi finit ma vie. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 14:07 (UTC)
- Chaque hibou vit au dépends de celui qui lui la coupe, sachez-le bande de philistins. Ainsi, Jésus le Tout-Puissant prit un verre de vin et le transforma en verre vide, en le vidant. Puis, devant nos yeux ébahis, il fit de même avec la bouteille, puis le fût. Ébahi, je le fûs. Puis, Jésus se mit à traiter toutes les femmes de "salopes", et de "grosses salopes" et de "sale pute", elles étaient "comme celle qui avait sucé Juda", ces "salopes". Puis, il vomit sur la table et dit : "ceci vient de mon corps, vénérez-le, car j'ai une maladie vénérienne". Alors on a tous vomi. Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 14:39
- Philistins, épiciers, tandis que vous caressiez vos femmes, syphilis m'était comté, le fromage de bite. On en revient toujours à la même chose. A la queue leuleu et les femmes seront ravies, si tant est qu'elles sont ravissantes. Car, à ne point durcir devant la beauté corrompue gravée d'obscénités étranges, comme sur les bords du Ganges que tombe un brouillard parfumé dont les corolles opiacées fassent de délicates franges, on n'en finit par être abattu. De même lorsque je sers la main du père de mon fils, égotisme priapique et sécrétions phalliques, les humeurs de ces dames sont impénétrables quand le petit cuicui refuse de faire coucou. Même Giant Coocoo eu du mal à arranger la Ringer. Le Giant Coocoo s'est alors transformé en little goodbye. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 14:53 (UTC)
- Il était laid, les traits austères, la main plus rude que le gant, mais il avait une grosse bite, et la nonne aima le brigand, on voit des biches qui remplacent, leur cerf micropénien par des sangliers bien membrés, enfant voici les bœufs qui passent, cachez-vous où j'vais vous tuer. -Mon père, pardonnez-moi car j'ai pêché. -Ah bon ? Et ça a mordu ? Ha ha ha ! -En fait, j'ai tué votre mère. -Ah mince, c'est moins drôle que je pensais, mais ma mère est déjà morte. -Ah ouf, alors j'ai dû tuer la mienne. -Ah bon ? Et ça a mordu ? Ha ha ha ! -Quoi ? -Non, je me suis trompé de blague, désolé. -Ah, d'accord. Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 15:04
- Ah, la nonne... Quelle catin. Les enfants de chœur, branlant du chef, opinent... pensant à piner le ponpon de la lapine en goguette, les pitchouns sont peinés. Ils viennent en rang comme des harengs voir en face la belle bigot, la femme à ce gros Dieu guelasse. Alors ils lui dirent "de la Madone, vous êtes le portrait", le bon Dieu le leur pardonne c'était un peu vrai. Ils avaient tété leur mère supérieure longtemps avant Dieu, le bon Dieu le leur pardonne ils étaient vigoureux. De toute façon, 95 fois sur 100, la nonne s'emmerde en priant. Qu'elle le taise ou le confesse, c'est pas tous les jours qu'on lui détisse les tresses. D'ailleurs, une fois, à l'ombre du cul de ma mie, mon oiseau c'était endormi. Rien ne m'était acquis ce jour, ni ma force, ni ma faiblesse, ni son cul et quand je cru ouvrir ses fesses le bruit fut un lointain chahut. Ca m'a complètement fait débander. Alors je la kidnappais et je la forçais à des rapports consentis en envoyant des télégrammes de menace à ses proches : j'étais le pornographe du télégraphe, le polisson de la rançon. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 16:22 (UTC)
- Il était laid, les traits austères, la main plus rude que le gant, mais il avait une grosse bite, et la nonne aima le brigand, on voit des biches qui remplacent, leur cerf micropénien par des sangliers bien membrés, enfant voici les bœufs qui passent, cachez-vous où j'vais vous tuer. -Mon père, pardonnez-moi car j'ai pêché. -Ah bon ? Et ça a mordu ? Ha ha ha ! -En fait, j'ai tué votre mère. -Ah mince, c'est moins drôle que je pensais, mais ma mère est déjà morte. -Ah ouf, alors j'ai dû tuer la mienne. -Ah bon ? Et ça a mordu ? Ha ha ha ! -Quoi ? -Non, je me suis trompé de blague, désolé. -Ah, d'accord. Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 15:04
- Philistins, épiciers, tandis que vous caressiez vos femmes, syphilis m'était comté, le fromage de bite. On en revient toujours à la même chose. A la queue leuleu et les femmes seront ravies, si tant est qu'elles sont ravissantes. Car, à ne point durcir devant la beauté corrompue gravée d'obscénités étranges, comme sur les bords du Ganges que tombe un brouillard parfumé dont les corolles opiacées fassent de délicates franges, on n'en finit par être abattu. De même lorsque je sers la main du père de mon fils, égotisme priapique et sécrétions phalliques, les humeurs de ces dames sont impénétrables quand le petit cuicui refuse de faire coucou. Même Giant Coocoo eu du mal à arranger la Ringer. Le Giant Coocoo s'est alors transformé en little goodbye. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 14:53 (UTC)
- Chaque hibou vit au dépends de celui qui lui la coupe, sachez-le bande de philistins. Ainsi, Jésus le Tout-Puissant prit un verre de vin et le transforma en verre vide, en le vidant. Puis, devant nos yeux ébahis, il fit de même avec la bouteille, puis le fût. Ébahi, je le fûs. Puis, Jésus se mit à traiter toutes les femmes de "salopes", et de "grosses salopes" et de "sale pute", elles étaient "comme celle qui avait sucé Juda", ces "salopes". Puis, il vomit sur la table et dit : "ceci vient de mon corps, vénérez-le, car j'ai une maladie vénérienne". Alors on a tous vomi. Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 14:39
- Here we are, born to be kings, we're the princes of the universe! Here we belong! Fighting to survive in a world with the darkest power! Oh life is bigger, it's bigger than you and you are not me. The lengths that I will go to, the distance in your eyes. Shot the sheriff. But I did not shoot the deputy. Porque me llaman el desaparecido, cuando llega hacia ido. Voilà le fond de ma pensée avant que l'on me coupât la tête. Toute ma vie défilait tandis qu'un hiboux sans aile me picorer les yeux. "Pas les yeux putain d'enculetch de ta race ! J'te coupe la tête pour te chier dans le cou". Ca lui donna des idées. Il saisit le couteau Suisse qui refusa : "Mossieur le Hiboux, je suis neutre, démerdez-vous". Il prit ensuite le couteau de cuisine, qui s'avéra un féministe farouche et se mit à insulter la phallocratie hiboute. Le Hiboux, n'en tenant plus, empoigne alors le coutal qui lui coûta une pâte quand dans son zèle il ne pris garde au tranchant de la larme. C'était un coutal Gore, passionné par la cause écologique, et en pleurs à longueur de temps. Pour finir, il attrapa le coupe-ongle et me découpa la tête en suivant les pointillés. Ainsi finit ma vie. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 14:07 (UTC)
- Les immortels sont de sortie ? J'en appelle à Duncan McLeod aussi : Une princesse dans un donjon ? Vite, je mets mon caleçon. Je cours la délivrer, puis la décapiter. Des éclairs jaillissent des cieux, et me rentrent par les yeux. J'ai pris tout son pouvoir, et maintenant je vais aller buter quelqu'un d'autre. ♬ Couper la têêêêête, Couper la têêêêête, couper la tête. Si ce soir, j'ai pas envie d'rentrer chez moi, si ce soir j'ai envie d'te couper la bit... tête. Couper la têêêêête, Couper la têêêêête, couper la tête ♬. Il ne restera qu'un donut, puis zéro. ZÉRO ! Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 13:27
- Les immortels sont de sortis ? Je dégaine mon plus beau fusil : la comédie musicale ! Immortel, vous êtes immortel ! Et nous ? Nous nous aimons entre mortels ! Vous ne pourrez jamais tuer l'amour qui nous uni, dans cette danse de la vie. L'amour, toujours, qui court, qui bourre, qui tchoure, qui doure, jamais vous ne le battrez ! J'en appelle à toi, Jean-Jacques Flaubert, à Mireille Dumas et à Voltaire. L'amour vaincra tous ses ennemis, car aimer c'est beau et c'est la vie ! Ma vie, je la donnerai pour l'amour et l'amitié ! Tout va très bien, madame le Smarties, même George Sand sur la banquise, iront vers vous, coeurs au vent, avec leur regard d'enfants et feront tomber la tyrannie de la haine des hommes envers autrui ! "La guerre de l'amour", l'Opéra Rock. Jakoko - C'est ma signature. septembre 13, 2016 à 13:21 (UTC)
- Bonjour, ici Hélène Carrère d'Encausse, Secrétaire Perpétuelle de l'Académie Française. J'ai lu votre Battle des Batailles et je tenais à vous dire que : « Les godelureaux c'est pas nouveau, il y en avait chez Mariveaux, si tu quêtes la vandale, et ce jusqu'au dernier râle, saches que tu ne peux rien, contre un académicien. Nous sommes les Robespierre de la joute, qui t'enterrent et qui s'encroûtent, un pas de plus, maraud, et tu finis à l'échafaud, en train d'me bouffer l'clito... euh, non, je voulais dire... palsambleu... » Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 12:56
Les cafards de Michelle
Ligne, ligne, tout ce que je vois est ligne et s'enligne encore dans le corps des cors. On dit des non-dits seulement si on les tait, mais quand vient la tété, alors tonton t'a-t-il monté ton thé ? Tété l'est la question dirait Shakespeare, mais pour cela encore eut-il fallut qu'il inspire les sbires qui expient en pétant les pédants pompiers de Paris. Brûle-t-il ? Pas encore, les Beatles ont un coup de cafard, alors que d'habitude, comme dirait le naze de l'amour qui avoue tous les jours, ce sont les cafards qui se prennent des coups de Beatles, et leurs fans des coups de bite des Beatles. Pruster II : La Réponse septembre 13, 2016 à 17:05
- .exquis exagérément l'examinateur de exécrable et excommuniée l'excroissance de extrême l'extatique dans ou Montpelliéraine thématique la dans J'reste .qui n'importe devenir pour quoi n'importe j'écris coup du idea fucking aucune J'ai .l'eau comme coule c'est pluie la Mais ? arrosoir cet pour que vécu tant l'éclair l'odésespoir, L'orage, .volant étron un tel fiel le dans pète Ca .grenade la à fête la C'est .mouille Il .pleut Il Jakoko - C'est ma signature. septembre 14, 2016 à 09:40 (UTC)
- Le petit chat est mort il est tombé du toi et patatra, bal sur l'ambassade, attentat, grenade, Renaud est poursuivi par la NSA, pour des paroles pas sympa.s Il va en prison, et se fait défoncer le fion, par le médecin-proctologue, qui examine le cacalogue. J'irai si je veux dimanche, m'emmêler dans les branches, et tomber dans l'eau, comme un clochard dans l'eau. Société, tu m'auras pas, et t'auras pas ma saucisse; saucisson, tu m'auras, à coup d'pâté et d'fois gras. Barreau, garrot, une cirrhose, à bientôt, chez l'médecin ou l'curé, ou au bistro. Pruster II : La Réponse septembre 14, 2016 à 13:09
- Bite couilles. Jakoko - C'est ma signature. septembre 14, 2016 à 14:48 (UTC)
- Chatte. Pruster II : La Réponse septembre 14, 2016 à 15:59
- Farandole de culs. Jakoko - C'est ma signature. septembre 14, 2016 à 22:05 (UTC)
- Queue leuleu de queues. Jean-Michel Sucémoilabite septembre 15, 2016 à 13:04
- Cul cure bite assez. Cul raie. Cul lot. Un cul laid. Cul rage. Cul nid lain gus. Au fait, y a un endroit où on peut poser des questions parce qu'on est complètement débile et qu'on comprend pas tout le fonctionnement de cette bible en ligne ? Jakoko - C'est ma signature. septembre 15, 2016 à 13:35 (UTC)
- Queue leuleu de queues. Jean-Michel Sucémoilabite septembre 15, 2016 à 13:04
- Farandole de culs. Jakoko - C'est ma signature. septembre 14, 2016 à 22:05 (UTC)
- Chatte. Pruster II : La Réponse septembre 14, 2016 à 15:59
- Bite couilles. Jakoko - C'est ma signature. septembre 14, 2016 à 14:48 (UTC)
- Le petit chat est mort il est tombé du toi et patatra, bal sur l'ambassade, attentat, grenade, Renaud est poursuivi par la NSA, pour des paroles pas sympa.s Il va en prison, et se fait défoncer le fion, par le médecin-proctologue, qui examine le cacalogue. J'irai si je veux dimanche, m'emmêler dans les branches, et tomber dans l'eau, comme un clochard dans l'eau. Société, tu m'auras pas, et t'auras pas ma saucisse; saucisson, tu m'auras, à coup d'pâté et d'fois gras. Barreau, garrot, une cirrhose, à bientôt, chez l'médecin ou l'curé, ou au bistro. Pruster II : La Réponse septembre 14, 2016 à 13:09
Poser des questions parce qu'on est complètement débile et qu'on comprend pas tout le fonctionnement de cette bible en ligne
Ouaip, t'as plusieurs options :
- Forum:Αρωγή, tu écris le titre d'une question dans "Tapez le sujet du SOS", ça te mène à la création d'une page de demande d'aide, et tu demandes de l'aide.
- Discussion_utilisateur:Kagg90, tu demandes à Kagg, ce type est extra, façon Aznavour.
- Discussion:Montpellier, tu poses ta question ici, je suis en réalité Pruster de Las Cales, Administrateur en Chef de la dÉ française partout dans le monde, je ne fais que me déguiser en clochard, et je t'ai bien eu, rascasse. Généralissime « Le monde n'était pas prêt » septembre 15, 2016 à 13:44
- Merci, c'est extra (façon Léo Ferré). Un administrateur mondialisé proche du Sud dirait-on. Tu as dû participer aux relations sino-languedociennes de Sir Frêche je pense. Jakoko - C'est ma signature. septembre 15, 2016 à 13:55 (UTC)
- Merde, c'est extra façon Aznavour ! J'en perds mes références pérussiennes. Saches que je suis Comte de Jojoba. Pruster II : La Réponse septembre 15, 2016 à 14:04
- Tu... Tu veux dire que... que... que l'huile de jojoba est fabriquée à partir de... de ta semence ??? Kapoue ! Jakoko - C'est ma signature. septembre 15, 2016 à 18:09 (UTC)
- Non, ma semence est faite à partir d'huile de Jojoba, mon pénis est une bouteille de Obao. Pruster II : La Réponse septembre 15, 2016 à 18:33
- Tu... Tu veux dire que... que... que l'huile de jojoba est fabriquée à partir de... de ta semence ??? Kapoue ! Jakoko - C'est ma signature. septembre 15, 2016 à 18:09 (UTC)
- Merde, c'est extra façon Aznavour ! J'en perds mes références pérussiennes. Saches que je suis Comte de Jojoba. Pruster II : La Réponse septembre 15, 2016 à 14:04