Discussion utilisateur:LeSurHumain

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Dis donc mon gars tu te prends pour qui ? Faudrait peut-être voir à apprendre à rester à ta place. Dieu

Pour moi, et toi ?
Je ne fais que passer en coup de vent !
Alors, avant que tu ne déblatères n'importe quoi sur mon pseudonyme, jettes donc un petit coup d'œil en passant par là :
Sinon :
« Qu’est-ce qui est apparu en premier : l’œuf ou la poule ? »
Alors voici la solution : Partant du fait que le matériel génétique n’évolue pas durant la vie d’un organisme vivant évolué, on en conclut que le premier oiseau à devenir une poule a du nécessairement commencer par être un embryon (d’abord exister en tant qu’embryon) à l’intérieur d’un œuf, condition indispensable à sa mutation. Aucun volatile n’a pu devenir une poule après sa naissance. C’est donc l’Œuf le premier !
« Le premier poulet a dû sortir d’un œuf pondu par une autre espèce.
Mais c’était bien un œuf de poule puisqu’il contenait un embryon de poulet. »

(John Brookfield de l’Université de Nottingham, spécialiste en génétique évolutive.)
Objection : Si je dis qu’un œuf est pondu par une poule… Il s’agit d’un paradoxe comme déjà dit, et donc il n’y a aucune réponse : pour avoir un œuf, il y a eu une poule et pour avoir une poule, il y a eu un œuf.
Réponse à l’objection : Non, d’où vient la Poule ? La Poule n’existe pas depuis la nuit des temps, une espèce de volatile a subi des mutations et est devenue une Poule. Le volatile qui a pondu l’Œuf n’est pas forcément une Poule ! On appelle Poule un animal ayant un programme génétique équivalant aux poules actuelles !
« Nous pouvons en conclure sans aucun doute que la première matière vivante membre de l’espèce doit être cet œuf.
L’œuf était nécessairement avant la poule. »

(David Papineau, philosophe des sciences du King’s college de Londres.)
La question peut donc se traduire par : Quand a eu lieu la mutation ? D’une génération à l’autre ? Ou durant une même génération ? Comprenez-vous ?
Conclusion : Effectivement, si on prend un programme génétique constant, ce paradoxe mène à une absurdité. Mais si on considère toute chose comme un simple assemblage de particules (atomes, molécules, …) alors c’est toute notre vision qui changent, il n’existe plus aucune continuité dans aucune des choses et les éléments que l’ont pourrait qualifier de « massif » à l’échelle d’un atome (par exemple) ne sont alors qu’un agrégat de petites particules. Cet agrégat évolue dans le temps selon les propres règle de la physique, il va « grossir » ou se séparer à différents moments.
Le paradoxe de l’œuf et de la poule ne se pose donc plus !
Cordialement votre,
LeSurHumain 25 novembre 2008 à 11:48 (UTC)
Est-ce que connard d'enculé de putain de trou du cul de fils de pute de merde c'est une insulte ? Parce que je voudrais pas que tu le prennes mal. Ecoute mon gars, ton apologie sectaire, ton négationnisme, ton révisionnisme et toutes tes salades pseudo-religieuses que tu as apprises par coeur pour pouvoir facilement répondre aux nombreuses attaques dont tu fais l'objet, j'en ai rien à foutre. Et je pense parler aux noms des autres habitués de la et sinon, je les emmerde aussi. Ici, c'est un site d'humour et tu pourrais éventuellement être drôle si tu n'étais pas aussi pathétique et sans doute dangereux pour les esprits faibles dont tu profites à loisir. Mais en attendant, pars prêcher ailleurs, tu salis mes crachats. WiiKend - Ceci était une signature 25 novembre 2008 à 12:30 (UTC) (à peine sous-humain, et c'est déjà pas mal)
Désolé pour la répartie pas tacotac du tout et un peu dé-calé mais je faisais une putain de bonne sieste crapuleuse !
"Ce qui est touchant ne laisse pas froid, indifférent, produit une émotion douce, intéresse et attendrit (…) Ce qui est pathétique émeut fortement, remue, renverse, enlève, entraîne (…) Ensuite, touchant est un mot du langage commun, et a plus de rapport aux choses; pathétique est un terme de rhétorique et se rapporte davantage à l'expression, au style, au ton, à l'accent;" (Pierre-Benjamin Lafaye, Dictionnaire des synonymes, Touchant, pathétique.)
"Les dépresseurs de l'humeur, c'est-à-dire de la fonction thymique qui règle les oscillations du tonus émotionnel entre un pôle pathétique et un pôle apathique, comprenant tous les tranquillisants dont l'action est précisément caractérisée par la substitution à un régime pathétique d'un régime apathique." (Jean Delay, Introduction à la médecine psychosomatique, Notes)
Asta la vista, baby !
LeSurHumain 25 novembre 2008 à 14:35 (UTC)