ETA
L'ETA est une organisation indo-péruvienne qui a pour visée de rattacher géographiquement ces deux pays. ETA signifie "Espèce de Tarés Ambulants" dans le dialecte espéranto-porto ricain. Les militants d'ETA sont parfois appelés "Basques", mais on verra plus tard pourquoi...
Quelles sont leurs actions ?
Lorsque le fondateur de l'ETA, Roberto Savapété a commencé a songer aux diverses conneries qu'il pouvait faire, il commença par recruter une bonne cinquantaine de péruviens en leur faisant miroiter du travail et, à terme, de vivre le rêve arménien. Les latinos, se rendant compte qu'ils s'étaient fait arnaquer, décidèrent de se venger en faisant péter la bonbonne de gaz de la caravane de Roberto. Mais celui-ci l'ayant revendue quelques jours plutôt pour payer ses dettes de bar, il évita le pire. Néanmoins il gracia les chicanos lorsqu'il se rendit compte que leur forfait pouvait être utilisé pour réussir son projet : rapprocher les plaques tectoniques entre l'Inde et le Pérou en faisant péter les plaques au fond de l'océan… (Oui c’est con comme idée mais je vous avais prévenus). Mais il se goura et fit péter un petit bout du nord de l'Espagne.
Pourquoi les appelle-t-on basques ?
Tout simplement car leur slogan terroriste était "Nique, just do it", car parmi les péruviens recrutés se planquait un travelo qui portait des baskets, on l'a donc surnommé(e) ainsi et, par extrapolation ses camarades se sont appelés basques. Pour corser le tout, une marque de chaussures de sport leur a piqué leur nom et leur logo, qui était une vague (forcément ils font péter les océans ça fait des vagues...). Ça sonne quand même mieux qu'Herri Batasuna, le nom d'une autre organisation moins consciencieuse en Europe.
Ramification
Il se trouve que l’idée de Roberto Savapété a été reprise, et en particulier ses méthodes. Le meilleur exemple se trouve sur la petite île de Corse où certains habitants, voulant regagner la France, font sauter les baraques à frites des plages. Également à New York, ou un habitant de l’île de Manhattan (oui c’est souvent des habitants des îles… mais habiter sur une île vous endommage le système nerveux) ne pouvant plus voir l’Empire State Building, fit sauter 2 tours qui lui cachait la vue. Cet habitant, Oussama Ben Laden, vit toujours à New York, et jouit maintenant d’une vue imprenable.
Quel est le bilan ?
Le bilan à l'heure d'aujourd'hui est catastrophique. Plus de 150 poissons sont morts, et selon le site Internet de l'organisation, à raison d'une explosion par mois, il faudra au moins 150 milliards d'années pour rassembler les deux continents...
Donc en conclusion :
- AU BOULOT ROBERTO !!!!
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