Forum:Des singes/Humeur
"j'ai sorti un jeu de mots génial auprès de mes collègues, mais ils n'ont pas compris mon génie sur le coup" : voila en gros ce qui vous est arrivé. frustré, vous cherchez à le partager avec le monde entier, de préférence sur un forum non modéré capable d'encaisser vos jokes plates. bien joué, c'est ici.
19 juillet 2007
--Thaumasnot 19 juillet 2007 à 13:57 (UTC)
23 mai 2010
Au restaurant
Voilà... — MKP Ier - Talk Page mai 25, 2010 à 12:03 (UTC)
19 juillet 2010
--« uh uh uh ! » juillet 21, 2010 à 12:31 (UTC)
20 juillet 2010
La scène se passe au camping (et je vous emmerde)
WiiKend - Ceci était une signature juillet 24, 2010 à 20:08 (UTC)
32 juillet 2010
La scène se passe dans un restaurant chic du Lubéron
_ SCatOmaN juillet 31, 2010 à 10:45 (UTC) (les connaisseurs apprécieront le combo dans le mien)
Octidi, 18 Thermidor an 218
La scène se déroule dans un château situé en bord de Loire, lequel s'avère être la propriété de mon ami intime Bernard Arnault, pendant un dîner entre amis de longue date.
Ensuite la soucoupe volante démarre et comme toujours chez nos amis cela se termine par un grand festin. --Marie Irène - Une question ? août 6, 2010 à 13:08 (UTC)
Aujourd'hui (ce matin pour être précis)
Je vais à la déchèterie pour jeter mon vieux fauteuil de bureau qui a rendu l'âme. Je prends le raccourci habituel qui passe devant le cimetière de ma ville. Bien entendu, accolé au cimetière, il y a un marchand de tombes. Il y en a 4 ou 5 sur le trottoir devant sa boutique. Et sur chacune d'entre elles, il y a une étiquette orange fluo avec écrit dessus en gros : -20%. Je me suis marré comme un con pendant 10 minutes. Et j'ai un nouveau fauteuil. WiiKend - Ceci était une signature
Hier soir (pas avant-hier, pour être précis), ruelle sombre
Moi, pensant : Une chose que je n'ai jamais pu supporter, c'est de voir de vieux clochards pouacres et saouls-perdus, bramant les vieux refrains pouacres de leurs ancêtres, en faisant blop blop entre les deux comme s'ils avaient tout un bastringue pouacreux dans leurs vieilles tripes pourries. Je ne peux pas supporter de voir les types comme ça, qu'ils soient jeunes ou âgés mais plus spécialement les vieux tout ridés comme celui-ci !
Le clochard : Eh, n'auriez pas une pièce de trop mes frères ?
Je frappai alors le clochard.
Le clochard : Allez, tuez-moi, sales petits lâches, je ne veux plus vivre de toute façon, en tout cas pas dans un monde si dégoûtant !
Moi : Oh, oh, et qu'est-ce qu'il a de si dégoûtant ce monde ?
Le clochard : Il est dégoûtant parce qu'il n'y a ni loi ni ordre nulle part.
Il est dégoûtant parce qu'il laisse les jeunes s'attaquer aux vieux, comme vous faites !
Oh, c'est plus un monde vivable pour les vieillards ! Et qu'est-ce qu'il est devenu aujourd'hui notre monde? L'homme est sur la lune, on expédie des fusées autour de la terre et dans les étoiles mais on ne fait plus attention ni aux lois ni à l'ordre de notre monde !
Le clochard se remit à chanter ; Mes camarades et moi le rouèrent alors de coups.
_ signé : YOSHKILL LE BOSS -- envoyez-moi un MP et je verrai si je vous réponds août 7, 2010 à 12:36 (UTC)
Longtemps
Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine ma bougie éteinte, mes yeux se fermaient si vite que je n'avais pas le temps de me dire : « Je m'endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu'il était temps de chercher le sommeil m'éveillait ; je voulais poser le volume que je croyais avoir dans les mains et souffler ma lumière ; je n'avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur ce que je venais de lire, mais ces réflexions avaient pris un tour particulier ; il me semblait que j'étais moi-même ce dont parlait l'ouvrage : une église, un quatuor, la rivalité de François Ier et de Charles-Quint. Cette croyance survivait pendant quelques secondes à mon réveil ; elle ne choquait pas ma raison, mais pesait comme des écailles sur mes yeux et les empêchait de se rendre compte que le bougeoir n'était plus allumé. Puis elle commençait à me devenir inintelligible, comme après la métempsycose les pensées d'une existence antérieure ; le sujet du livre se détachait de moi, j'étais libre de m'y appliquer ou non ; aussitôt je recouvrais la vue et j'étais bien étonné de trouver autour de moi une obscurité, douce et reposante pour mes yeux, mais peut-être plus encore pour mon esprit, à qui elle apparaissait comme une chose sans cause, incompréhensible, comme une chose vraiment obscure. Je me demandais quelle heure il pouvait être ; j'entendais le sifflement des trains qui, plus ou moins éloigné, comme le chant d'un oiseau dans une forêt, relevant les distances, me décrivait l'étendue de la campagne déserte où le voyageur se hâte vers la station prochaine ; et le petit chemin qu'il suit va être gravé dans son souvenir par l'excitation qui doit à des lieux nouveaux, à des actes inaccoutumés, à la causerie récente et aux adieux sous la lampe étrangère qui le suivent encore dans le silence de la nuit, à la douceur prochaine du retour. --Marie Irène - Une question ? août 7, 2010 à 18:57 (UTC)
- Je comprends maintenant tes penchants sexuels vieille madeleine, et ton désir d'être femme aux yeux du monde. Tu peuples blogs, comz et twits de tes stubs pour égayer la morne sérénitude de tes dîners chandeliesques avec Ban et Obama mais dans le fond, t'es une être humaine ! χλςmith ΤrismégistΞ ⇒ août 11, 2010 à 23:26 (UTC)