Forum:VBO/La fête des bras coupés de Bouloulou-bantou-bantou

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Chapô

Avec Jean Rouch, partez sur les traces des coutumes les plus exotiques du monde mystérieux de l’Afrique. Partez au Zimbwana, terre de magie et d’occultisme, où se déroule tous les 8 ans la fête des bras coupés de Bouloulou-bantou-bantou. Découvrez cette fête inconnue du public français, fête barbare d’un temps jadis qui continue de faire des émules dans cette pittoresque région africaine qu’est la terre nigarienne.

Le grand Jean Rouch, le Albert Londres de l'Afrique

La fête des bras coupés, tradition hermétique du peuple zimbwanais, est un sujet sur lequel peu d’universitaires occidentaux ont travaillé. On sait seulement qu’elle a lieu tous les 8 ans environ, lors de festivités rituelles pratiquées dans les villages nigariens, les villages de banlieue qui cerclent la capitale du Zimbwana, Moboké City.

Nous partons donc, ma fine équipe et moi-même, en terres zimbwanaises, avec pour seul bagage notre grande connaissance du pays et un frigo portable rempli de canettes de bière fraîche.

Je dois avant tout vous présenter l’équipe :

Le grand Jean Rouch (moi-même) est un intellectuel et explorateur français, découvreur de mythes et de traditions ancestrales que personne ne connaissait avant lui. En plus de sa grande expérience des peuples primitifs, Jean Rouch est aussi diplômé en comptabilité générale et en administration du personnel. Il a écrit de nombreux ouvrages spécialistes, tels L’Afrique et ses mystères, L’Asie et ses mystères ou encore La Fiche de paie et ses mystères. Ces livres ne sont malheureusement pas reconnus par les scribouillards des étriquées facultés françaises, mais ils restent plébiscités par les vrais anthropologues (comme par exemple Robert Faurisson ou encore Thierry Meyssan). Jean Rouch a aussi réalisé de grands films documentaires, comme Les Noirs se mangent entre eux ou Les mosquées de la terreur. Il mériterait certainement d’être prix Nobel.

Vladimir est le chien de Jean Rouch, un caniche astucieux et sympathique.

Kéké est un petit Nègre amical. Bien qu’un peu lent et de race inapte à l’intellection, son aide est très précieuse au reste de l’équipe quand il s’agit de porter les valises en territoire zimbwanais.

Maintenant que les introductions sont derrière nous, laissez-moi vous narrer mon périple au travers de l’inhospitalière région Noire, durant la fête maudite de Bouloulou-bantou-bantou.

(Suite...)

Avis divers

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Pour

  1. une unification dédramatisée de tous les thèmes grossiers (bière, racisme, pédophilie, etc.) qui animent marie irène. bien trouvé. j'en profite pour faire remarquer que cet article aurait du rester dans l'espace utilisateur. pkoi ? pcq sinon ca encourage les autres à ajouter des choses marrantes à un plagiat de Romantico Scorpio. et hop je me barre — THNOT admin | Votez ! | discu | mon livre d'or | 9 avril 2008 à 20:48 (UTC)
difficile de résister à l'envie d'exhiber une horreur pareille. Je garde la touche Hercule sous l'index jusqu'au final du désencyclothon.--Marie Irène 9 avril 2008 à 21:45 (UTC)
  1. J'admire particulièrement le ton de l'article qui mime avec excellence le racisme de certains de nos intellectuels-ethnologistes des siècles passés. ΠR K(discussion) 3 mai 2008 à 08:39 (UTC)
  2. Une excellence rare! Aborder tous ces thèmes plus dérangeant les uns que les autres, sans choquer nos fragiles consciences de petits Européens montre une grande maîtrise du verbe, de la syntaxe, du sujet et de l'humour (ce qui se ressent dès les premières lignes). Pour moi, un des meilleurs travaux de Marie-Irène! --Louis XXI « Le Roy a parlé » 4 mai 2008 à 12:00 (UTC)

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