Fusil McCul

Fusil McCul, ici en direct de la Télévision Vaud-Fribourg

Théodore Chaussette, dit « Fusil McCul », est un poète et chansonnier vaudois, né le 5 mars ou octobre 1940, à Orbe (Suisse).

Suivant les époques et les circonstances, Fusil a été affublé de différents surnoms et blazes, dont : Fourchette, Fusaillon, Fufu, Fusili, Fucile McCulo, Petto Santini, Papy Fufu (comme l'appelle son petit-fils Sabin), Shotgun, Suzy McCul, Fus Jong-Il, Fusain ou encore Papi Chuparello.

Famille et entourage

Ses parents

Fusil est issu d'un père australien, Michalak McCul, et d'une mère diabétique.

Sa grand-mère

Gisèle Robert, sa grand-mère, qui a fumé activement pendant ssstss-cinq ans, est morte en tombant de sa chaise (ce qui prouve que ce n'est pas la fumée qui tue les gens mais les chaises et les pistolets).

Ses frères

Fusil est le frère de Ted Robert, également devenu chansonnier en terres vaudoises.

Il a un autre frère, Balisto, potier de métier à "Un raout à la plage", où tout le monde pisse dans ses faïences.

Son neveu

Fusil a un neveu, Poretti, qui a des problèmes économiques. Ce dernier s'est fait voler le pancréas par la mafia biélorusse. Depuis, il doit marcher avec des semelles orthopédiques et il pue de la gueule.

Ses enfants

Fusil a eu quatre enfants légitimes de sept femmes différentes (toutes brésiliennes sauf cinq) :

• Pittet : désormais détenu aux Établissements de la Plaine de l'Orbe ;
• Cassiopée : aujourd'hui tenancière de l'« Auberge du Pou Nerveux » à Marcols-les-Eaux, en Ardèche ;
• Banjo-Chester : devenu tueur en série aux États-Unis (surnommé « le tueur à la corde de mi »), où il a été condamné à la prison à vie, et ce à perpétuité ;
• Di Biagio : devenu manufactureur de talc dans les Pouilles.

On soupçonne Fusil d'avoir eu d'autres enfants, notamment à l'occasion de la Fête des Vignerons de 1977 : neuf mois plus tard, tout le monde l'appelait papa.

Fusil n'a jamais pu s'occuper personnellement de ses enfants car trop occupé à faire des croisières sur le Danube ou à parfaire sa maîtrise du boomerang, ce d'autant qu'il n'y avait pas de congé paternité à l'époque.

Âme charitable, Fusil a également adopté vingt-deux bébés sur les deux cents qui avaient été laissés sur un sarouel en forme de pince, déposé sur le palier de sa porte.

Son petit-fils

Le petit Sabin est le petit-fils préféré de Fusil. Fan de rap et accro à son téléphone, il fait un Master en sauces à l'Université des Gros Culs, à Schaffhouse.

Ses épouses

Fusil a notamment épousé six brésiliennes, qu'il compare à une boîte de chocolat : « Ca a l'air délicieux mais on n'aime pas trop l'ouvrir et trouver un zizi dedans ! ». Une de ces brésiliennes lui a tout pris : ses habits, ses babouches et son canapé Luis Fonzo. Fusil précise : « bonne baiseuse mais alors zinzin les oliviers ! ». Heureusement, il a pu se refaire avec ses cassettes.

Ses autres épouses ont été :

• Sopeap : une thaïlandaise finalement renvoyée par Fusil à Bangkok car elle refusait d'enlever ses soccolis de son salon ;
• Pun Praddith : une thaïlandaise rousse, qui a bien tenté de reconquérir Fusil en lui proposant de lui rendre ses disques, mais ce dernier lui a fait son meilleur tour de magie : il a contacté la police des étrangers et l'a fait disparaître dans un avion de retour chez elle ;
• Pisette Google-le-Roy-Bongo : une philippine, « une vraie fusée ». Pour leur cinquante ans de mariage, elle emmena Fusil à un restaurant surprise, soit un McDonald's.

Sa belle-mère

Sa belle-mère est une vieille gerce. Après avoir suivi un régime, elle a réussi à maigrir de 80 kilos en 45 minutes, au crématoire de la Bâtie, à Genève.

Son parrain

Le parrain de Fusil se nomme Tancrède Poretti, patron de « Poretti Animaux », une animalerie à Bussy-Chardonney.

Pour l'anecdote, Samuel Schmid est le parrain de Tancrède Poretti.

Ses filleuls

Fusil a deux filleuls :

• Kim Jong-Donatello, le fils de Kim Jong-Un ;
• Daniel Rossellat, dit « Danini ».

Ses conquêtes amoureuses

Fusil a eu de nombreuses conquêtes dans sa vie, dont certaines méritent d'être relevées :

• La marquise de Montmorency, avec qui il a été fiancé ;
• Dinosoff : même si Fusil précise ne pas être « homo », il a vécu une liaison avec Dinosoff pendant quelques années. Leur rencontre remonte à l'époque où Fusil était designer en cassata en Italie. Dinosoff lui a roulé une pelle et Fusil admirait tellement le bonhomme qu'ils ont vécu l'amour. Après quelques années, ils s'aimaient moins, ne baisaient plus et Fusil l'a quitté pour un nabab du pétrole ;
• Flamini : un cheik arabe avec qui Fusil a eu une liaison après Dinosoff ;
• Angelo Clapin-Clazé ;
• Céline Dion : une amie d'école surnommée "les Bains de Saillon" (tellement tout le monde était passé dedans), qui a trompé René durant dix ans avec Fusil. Ce dernier explique : « Ça n'a finalement pas marché à cause de mes hanches ». Fusil finira par avouer que c'était la femme de sa vie ;
• Marie-Claude, l'épouse de Scalimuccio Jones : une femme « délicieuse » à en croire Fusil ;
• La femme d'Angelo, le patron du bistro « Au petit bonheur la Suze », à Ballaigues ;
• Banana Pisco : sa petite amie de l'époque, une sri-lankaise blonde d'un mètre nonante-cinq qui tenait un atelier de gypserie-peinture. Banana a disparu dans des circonstances mystérieuses, probablement enlevée et torturée par le département fédéral de l'Intérieur pour faire pression sur Fusil, du fait de ses chansons très engagées et dérangeantes politiquement. Finalement, Fusil ne retrouva qu'un morceau de muscle de Banana.

De son propre aveu, la dernière partouze de Fusil remonte à 19ᔕ5, avec La Castou, les Éditions Albin Michel et un singe très important. Tout le monde a fini avec une conjonctivite.

Le procès

Fusil a été accusé d'avoir tué toute sa famille. Il a néanmoins été blanchi en expliquant au juge qu'il s'agissait d'un bête accident de traineau.

Biographie

L'enfance

Né à Orbe (Suisse) en 1940, Fusil déménage très tôt en Australie, où ses parents étaient propriétaires d'une belle hacienda (baptisée « le Scapin »), située dans l'outback. La famille vivait, simplement, pacifiquement, main dans la main avec les aborigènes.

A cette époque, le petit Fusil faisait souvent des balades avec son ami aborigène Luca Rossi. Un jour, les Anglais leur tendirent une embuscade. Ils furent tous les deux torturés, sauf Fusil car il n'est pas aborigène. Fusil tenta de convaincre les Anglais que Luca était une bonne personne mais rien n'y fit. Luca fut empalé sur son didgeridoo et donné à manger au varan le jour de son anniversaire.

L'école

Suite au traumatisme subi par Fusil dans l'outback, la famille McCul décide de rentrer en Suisse. Fusil a alors 8 ans et intègre le Collège Otto Stich, à Peney-Chaussure. Dans sa classe, il fait notamment la connaissance de Céline Dion. Fusil est vite surnommé « fourchette » par ses camarades en raison de sa malformation à la main droite, qui est plus petite que la gauche.

L'apprentissage

En 19ᔕ5, après un apprentissage de coutellerie à la Jougnenaz, Fusil a ouvert son premier petit magasin « Fusil Couteaux ».

L'armée

Fusil effectua son école de recrues comme conducteur-équipage à la caserne de Chamblon, où il se lia d'amitié avec Pâtisson, un type gros comme une pelleteuse. Jamais en reste d'une bonne farce, Fusil et ses camarades ont décidé un soir de pisser dans son fusil et de péter sur son savon.

Fusil est ensuite devenu sanitaire responsable du brossage des dents, à la caserne d'Airolo. C'est là qu'il fait la connaissance de son bon ami Cornetto, un type avec un bec de lièvre et des tics, toujours tout nu en train de chanter de jolies chansons, en tirant sur son zizi au milieu de la caserne. Un soir, les recrues ont voulu passer Cornetto à tabac parce qu'il était « bizarre ». Fusil a catégoriquement refusé en les menaçant de les dénoncer à la police militaire. Ses camarades ont dû lui donner jusqu'à 100 francs pour qu'il ferme les yeux. Cornetto a quitté le régiment le lendemain matin en chaise roulante.

La vie professionnelle