Jeff the Killer

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Jeff the killer est un personnage de Creepypasta. Voilà donc sa parodie créer par le fan d'Orange mécanique ; Jeff the branleur.

(Extrait d'un journal local)

Le sinistre branleur inconnu est toujours en fuite.

Après des semaines de branlages inexpliqués, le sinistre branleur inconnu est toujours sur les routes. Avec le peu de preuves qui ont été trouvées, un vieux garçon âgé de 47 ans qui aurait survécu à l'un des viols du branleur raconte courageusement son histoire.

« J'ai fait une sucette à un pote, je me suis endormi avec sa bite dans un trou de mon nez et je me suis réveillé au milieu de la nuit, c'était terrible : il m'avait uriné dans la narine. Depuis, de l'eau de pisse circule dans ma tête. » dit le garçon.

« J'ai vu que, pour une raison quelconque, la fenêtre était ouverte, même si je me souvenais l'avoir fermée avant d'aller au lit. En fait c'était ma mère qui ne peut s'empêcher d'ouvrir la moindre fenêtre fermée. Je me suis donc levé pour la fermer une fois de plus. Ensuite, je me suis simplement glissé sous ma couverture. Mais j'avait le sentiment que quelqu'un était dans mon lit. J'ai levé les yeux, et c'était le pisseur des trous de nez. Mais aussi, dans le petit rayon de lumière, éclairant entre mes rideaux, il y avait deux couilles.

Ce n'étaient pas des couilles normales, elles étaient sombres, des poils menaçants, bordés de noir et... qui me terrifiaient tout simplement.

C'est quand j'ai vu la bite au bout des testicules. Une longue pisse puante qui sautait sur moi. Cette silhouette "couillonnado-enculando-présbitère" se tenait là, me regardant. Finalement, après ce qui m'a semblé être une éternité, les couilles ont dit une simple phrase, mais d'une manière dont seul un fou pourrait parler. »

« Il a dit "Suce-moi, Lèche-moi, Croque-moi". J'ai crié, pendant qu'elles se sont précipités vers moi. C'est alors que mon père est arrivé, les couilles et la bite ont attrapé mon père, la bite rentre dans la bouche de ce dernier et il réussi à boire un excellent cocktail d'ejaculation et de pisse. Quelle chance ! »

« Ils se sont battus, d'homme en bite&couilles, les bite&couilles se sont retournés et ont couru dans le couloir. J'ai entendu un fracas, comme des bris de verre. Je suis sorti de ma chambre et j'ai vu que la fenêtre arrière de ma maison avait été cassée rondement. Je me suis approché pour le voir disparaître au loin... Je peux vous dire une chose, je n'oublierai jamais ces pareilles testicules. Ces couilles froides et mauvaises, et cette bite psychotique. Ils ne quitteront jamais ma tête. »

Les policiers sont toujours à la recherche de la créature. Si vous voyez quelqu'un qui correspond à la description dans cette histoire, s'il vous plaît contactez votre service de police local.

(flashback)

Jeff et sa famille venaient d'emménager dans un nouveau quartier. Son père avait été victime d'une agression sexuelle par plusieurs de ses collègues, ils ont donc pensé qu'il serait préférable de vivre dans un de ces nouveaux quartiers de la ville plutôt que de rester dans un bureau de pédophiles. Jeff et son frère Liu, ne pouvaient se plaindre ici. Une nouvelle maison plus confortable. Comment ne pas l'aimer ? Comme ils étaient en train de déballer leurs cartons, un de leurs voisins est venu les saluer.

« Bonjour » dit-elle « je suis Barbe-Haras, mes deux passions sont collectionner les poils de barbe de mon fils de 18 ans, et les haras, j'adore les chevaux grâce à vous et j'aime beaucoup les souris et surtout les rats ! J'habite en face de chez vous. »

« Je voulais juste me présenter et vous présenter mon fils. » Elle se retourna pour appeler son fils. « Billy, ce sont nos nouveaux voisins. » Billy leur fit un doigt d'honneur dans le dos de sa mère et retourna jouer dans son jardin.

« Eh bien » dit la mère de Jeff, « Je suis Morgue-Arrête, voici mon mari Pète-Heure et mes deux fils, Jai-Feu et Lit-Ou. On a appellé J'ai feu comme ça parce qu'il se prend pour le chef de la maison ("Hé!" dit-il derrière elle) et Liu parce que... (elle hésite plusieurs secondes) Il passe son temps sur la Wii U ! Mais dit ma petite dame, pourquoi t'appelle ton fils comme Billy Elliot ? C'est pas un vrai prénom c'est un pseudo ! Et puis si t'a un problème avec les prénoms de mes enfants t'a qu'à te rappeler du nom des tiens !!! Et ton grand poilu, comment il s'appelle ????? Poil-2-Barbe ! ("Exact" dit-elle) Ahahahahah !!!! Alors maintenant si t'a un problème on va se battre d'accord ???? Ouais !!!!! » Les deux petits saluèrent leur nouvelle voisine puis Barbe-Haras et Morgue-Arrête commencèrent à se battre puis vu que c'est la Barbe à rats qui a gagné le combat elle les obligeats à venir à l'anniversaire de son fils. Jeff et son frère étaient sur le point de refuser lorsque leur mère leur demanda d'accepter sinon ils allaient être abusivement violés.

Une fois rentrés dans leur nouvelle maison, J'ai feu demanda à sa mère :

« Maman, pourquoi faut-il qu'on aille à la fête de ce gamin ? On ne le connaît même pas ! »

« J'ai feu, ne m'oblige pas à te mettre au feu...» dit sa mère. Elle s'endort. Elle se réveille. «...Nous venons juste d'arriver ici, nous devons nous montrer abusifs et passer du mauvais temps avec nos voisins pour se faire de nouveaux ennemis. Maintenant vous irez à cet anniversaire c'est définitif. »

J'ai feu tenta de répliquer mais s'arrêta, il savait qu'il ne pouvait rien faire. Chaque fois que sa mère disait quelque chose, c'était définitif. Il se dirigea vers sa chambre et se laissa tomber sur son lit. Il était allongé là à regarder son plafond quand tout à coup, il se retrouve dans une école maternelle.

Flûte et zut et crotte ! Il avait oublié que c'était pas la vraie histoire de Jeff the killer, et que dans la fausse version il avait le pouvoir de changer d'endroit ou de disparaitre quand il voulait ! C'est trop bête, maintenant la suite de l'histoire va paraitre ridicule. Mais bon. On continue !

Dans la cour, tout le monde le regarda avec un air fasciné. Le petit Tommy Herbeterre roulait sur son skate de l'autre coté de la cour. C'était un gamin à l'air futé, à l'oeil vif. Pédalant sur son petit skate rouge, il chantonnait et chantonnait : "Scoubidou, bidou, j'aime le roudoudou..." Il aperçut Jeff, le seul grand de la maternelle, et son visage s'épanouit, il saisit sa planche à roulettes à la main et se dirigea vers lui. L'enfant semblait être âgé d'environ cinq ans, il portait une chemise et un jean déchiré bleu. Arrivant devant Jeff, il saute sur son skate et lui tire la langue. Il s'arrête et dit :

« Bien, bien, bien, on dirait que nous avons du bon vieux camembert puant ici ! »

Soudain, deux autres enfants apparurent. L'un était très maigre et l'autre énorme.

«Eh bien, puisque tu es le plus grand des maternelles de moins de 6 ans, donc t'es nouveau ici, je tiens à nous présenter, là-bas c'est Quai-Feu." Jeff regarda le gamin maigre. Il avait un visage d'abruti.

« Et lui c'est Troie-yeu. » Ils regardèrent le gosse obèse. Tu parles d'un pot de saindoux. Ce gamin donnait l'impression de ne jamais avoir fait de sport de sa vie.

« Et moi... » déclara le premier enfant « Je suis Rends-dis ». « Maintenant, pour tous les maternelles de l'école, il y a un petit prix à payer pour pouvoir rester là, si vous voyez ce que je veux dire... » J'ai feu se leva, prêt à frapper mais Randy avait un couteau sur lui (eh oui, les maternelles ont des couteaux sur eux, normal !).

« Tss, tss, tss, j'avais espéré que tu serais plus coopératif, mais il semble que nous allons devoir utiliser la manière forte ».

Le gamin s'approcha de J'ai feu et attrapa le portefeuille dans sa poche. J'ai feu eut ce sentiment nouveau, maintenant, il était vraiment fort, une sensation de brûlure. Il se leva, mais il lui fit signe de se rasseoir. J'ai feu l'ignora et se dirigea vers lui.

« Écoute, tu vas rendre mon portefeuille tout de suite. » Rends-dis mit le portefeuille dans sa poche puis en sortit son couteau.

« Oh ? Et sinon ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Tu va me dévorer ? » "Bah oui tiens!" dit le camembert humain.

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que J'ai feu le frappa dans ses petites testicules. Comme Rends dis essayait de protéger son visage, J'ai feu lui saisit les poignets. Rends dis se mit à crier et J'ai feu saisit le couteau de sa main. Troie'yeu et Quai d'feu se précipitèrent vers eux mais J'ai feu fut trop rapide. Il jeta Rends dis au sol et lui demanda de lui manger le zizi.

(Bon là y'en a marre d'écrire tous ces noms bizarres, on les mets en modes normaux !)

Keith tenta de l'attraper pour le violer mais Jeff le poignarda dans le bras. Keith tomba à terre en hurlant. Troy, lui, tirait Randy pour le sortir de là, Jeff n'eut même pas besoin du couteau, juste de sa bite. Il le frappa du zizi juste directement dans l'estomac, Troy chuta, il vomit en se tenant le ventre. La pionne de la cour de récré ne pouvait rien faire mais regarda "le nouvel élève attardé" avec étonnement.

« Pourquoi t'as fait ça mon p'tit Jeff ? » c'était tout ce qu'elle avait pu dire.

Jeff sorta de l'école maternelle et arriva à son collège, dans lequel il n'osa rien dire sur ce qui s'était passé. Sa prof de maths pensait que le "petit camembert" avait fait ça pour devenir un futur pédophile. Quelque chose d'affligeant. Lorsqu'il avait eu ce sentiment, il réalisait combien il était puissant, l'envie de juste... baiser quelqu'un. Il n'aimait pas la façon dont les choses tournaient mais il ne pouvait s'empêcher de se sentir heureux.

Quand il est rentré chez lui, ses parents lui on demandé comment s'était passée sa journée, il avait répondu d'une voix un peu du style nourriture : « C'était une journée merveilleuse. »

Le lendemain matin, il entendit frapper à sa porte. Il descendit pour trouver deux policiers dans l'entrée, sa mère le regardait avec colère.

« Jeff, ces officiers me disent que tu as violé trois enfants âgés de 4 à 6 ans ! Que ce n'était pas un combat régulier, et qu'ils ont été poignardés et violés. Poignardé et violés, mon fils! » Jeff baissa les yeux, montrant à sa mère que c'était vrai.

« Maman, ce sont eux qui m'ont attaqué ! »

« Fiston » a déclaré l'un des flics « Nous avons trouvé trois enfants de maternelle, deux poignardé, le troisième ayant rien sur son ventre, et nous avons des témoins qui prouvent que tu avais fui la scène. Maintenant, qu'est-ce que cela nous dit ? » Jeff savait que c'était inutile. Il ne pouvait lui dire qu'il avait été attaqué, mais il n'y avait aucune preuve que ce n'était pas lui qui avait attaqué le premier. Il ne pouvait pas dire qu'il ne fuyait pas, parce qu'il s'agissait bien de la vérité. Donc Jeff ne pouvait pas se défendre.

« Mon arrière-arrière-arrière-petit-fils, viens ici avant que je t'attrape ! » Mais Jeff ne pouvait pas se faire attrapé, puisque c'était lui qui avait violé ces enfants.

« Monsieur, c'est... c'est moi. Je suis celui qui a violé les enfants. Un maternelle a essayé de me retenir, mais il ne pouvait m'arrêter." Le flic regarda son partenaire et tous deux hochèrent la tête.

« Eh bien gamin, il semble que l'on va devoir t'arrêter »

« Attendez! » dit J'ai feu (exception!). Ils ont tous levé les yeux pour voir le grand garçon tenant un couteau. Les policiers ont alors sorti leurs armes et l'on mis en joue.

« C'est moi, c'est moi qui ais fait ça bande de vieux couillons ! J'ai des marques qui le prouvent. » Il leva ces manches pour révéler des coupures et des ecchymoses, comme lors du combat.

« Fiston, pose ce couteau » déclara l'officier. Liu qui arrive sur la scène lâcha son arme qui tomba au sol. Il mit ses mains en l'air et se dirigea vers les policiers.

« Nan ! C'est pas Liu, c'était moi ! Je l'ai fait ! Vos gueules avec vos "fiston" bande de sales pédophiles ! » Des larmes coulaient sur le visage de Jeff parce qu'il pouvait prendre que 2 camemberts puants et pas 3. C'est terrible ! Il est apparu sur le marché du matin de Tomodachi Life et il avait faim mais non déjà ah oui mais il y a 2 centimètres alors nan c'est 3 euros machin bref elle commençait à faire chier. Sniff, sniff !

« Huh, mon pauvre frère. Essayer de prendre tous les blâmes pour ce que j'ai fait. Eh bien, emmène-moi. » La police conduisit le grand garçon jusqu'à leur voiture de la société Patrouille-mes-couilles-Patrouille-ma-boulle (avec deux L car le mec qui écris est nul en ortho).

« Liu, dis-leur que c'était moi! Dis-leur! Que c'était moi qui ais violé ces enfants! Et vous FUCK LA POLICE !!!! Bande de pédophiles on n'est pas les frères de vieux cons comme vous !!" La mère de Jeff posa ses mains sur ses couilles.

« Jeff, s'il te plaît, cesse de mentir. Nous savons que c'est Liu, tu peux arrêter de violer. » Jeff regarda, impuissant, la voiture de police s'en aller avec son frère. Quelques minutes plus tard, leur père vint le rejoindre dans l'allée, en voyant le visage de Jeff, il remarqua que quelque chose n'allait pas. J'ai feu se noya dans ses larmes à 4 heures du matin.

« Ton fils, qu'est-ce que c'est ? » Jeff ne pouvait pas répondre. Ses cordes vocales étaient attachées par les maternelles. Sa mère détourna les yeux et rentra dans la maison, suivit de son père, ils laissèrent Jeff pleurer dans l'allée. Après une heure ou deux il revint à la maison, voyant que ses parents étaient tous deux choqués, traumaisés par mes enfants de 4 et 6 ans. Il ne pouvait pas les regarder.

A coté du collège de Jeff se trouve la petite école primaire, l'école dans laquelle le petit Billy Herbeterre et ses frères et soeurs Tommy et Jane Herbeterre y sont scolarisés. Jane et Billy sont en première année, ils sont donc âgés de 7 ans chacun. Tommy est en troisième année d'école maternelle, il est âgé de 5 ans.

En rentrant chez lui, Jeff cru pouvoir être "libre" jusqu'au lendeman. Jusqu'à ce qu'il eu à nouveau le malheur de passer à coté de l'école primaire. Derrière les barreaux qui séparait le trotoire et la cour de récréation, Jane et ses copines jouaient à la corde à sauter. Le regard taciturne de Jeff leur attira l'attention. Ils leur tira la langue et lui crièrent :

"Hé, face de pet ! Jeff le nouveau !"

Alors que les petites filles se moquaient de lui, apperçu Billy dans la cour. C'est alors qu'il se rappella que dans deux jours c'était son anniversaire. "Zut, flûte et crotte!" se dit-il.

"C'est toi la crotte ! Viens ici que je t'attache et je te chiasse dessus !!!!!!! Gros prout qui pue de la gueule !!!" crièrent à nouveau les fillettes. Mais cette fois-ci, Jeff était assez loin d'elles, il les a donc pas entendu.

Une journée plus tard, pratiquement identique à celle de la veille.

Tommy Herbeterre, 5 ans, roulait sur sa bicyclette de l'autre coté de la rue. Il aperçut Jeff, rentrant chez lui, et son visage s'épanouit et il lui tira la langue :

"Hé, face de pet ! Jeff le bigot qui pue de la gueule !! Gros prout qui pue de la bouche !! Gros prout qui pue de la bouche !! Gros plissé du coup gratté ! Viens ici que je t'attache et que je te transforme en saucisson !", cria Tommy en saisissant des cordes pour essayer de le ligoter à un arbre. Une fois bien attaché, Tommy tourna autour de l'arbre en tirant la corde pour faire des tours jusqu'à en terminer le tour de corde. Une fois bien ligoté, Tommy lui lance des cailloux au visage et danssa comme un indien autour de lui pendant plusieurs minutes mais, en plein tour il glisse par terre à cause d'une vulgaire peau de banane qu'il lui a lançer quelques minutes plus tôt. Pris d'une rage subite, Jeff fini par rompre les liens, en poussant de toutes ses forces. Tommy se mit à pleurer et cria à Jeff qu'il puait la pisse, mais étant déjà loin, il ne l'entendit pas.

Plusieurs jours étaient désormait passés, sans nouvelles de Liu de la part du Comité Paritaire de Discipline. Rien d'autre que la tristesse, du branlage de couilles dans le lit et la culpabilité. Ce jour là, en rentrant au collège, il est à nouveau victime d'un bizutage par Bintoudou Badouille-Mécouilles, petite fille d'origine africaine âgée de 7 mois à la crèche, qui le regardait en riant et en le montrant du doigt. Elle lui crie quelque chose de très étrange :

"Face de caisson, face de caisson ! Prout-prout cadet ! Gros branleur !"

C'est alors qu'il commença à craquer. Il prit une branche d'un arbre et l'enfonça dans le trou du cul de la petite fille jusqu'à la mort. Il se sentit à nouveau coupable, cette fois-ci d'un véritable viol. Il laisse le corps sur la route à la Cannibal Holocaust.

Ce samedi, alors que Jeff fut réveillé par sa mère, avec un visage heureux et radieux, que le monde du jeune branleur allait changer à jamais...

« Jeff, c'est le jour J » dit-elle en ouvrant les rideaux et en laissant entrer la lumière dans sa chambre.

« Qu'est-ce, qu'est-ce qu'il y a aujourd'hui ? » demanda Jeff dès qu'il fut réveillé.

« Quoi ? Tu ne te souviens plus ? C'est la fête de Billy aujourd'hui. » Une fois tout à fait réveillé, il rétorqua.

« Maman, tu plaisantes, pas vrai ? Ne compte pas sur moi pour aller faire la fête de ce gamin... Surtout que je suis devenu son souffre-douleur... comme de tous les autres enfants de la ville d'ailleurs. » Il y eut un long moment de silence.

« Jeff, nous en avons déjà parlé. Et puis je pense que cette fête pourrait illuminer un peu ces tristes jours. Et puis, de toute façon, impossible que ce petit ange t'embête autant. D'ailleurs, depuis quand les garçons de 13 ans sont les têtes de turc des enfants de 7 ans ? Tu branle trop tes couilles, mon garçon. Et puis c'est pas parce que c'est arrivé dans Carrie que cela peut arriver en vrai. Trop invraisemblable. Maintenant va t'habiller. » La mère de Jeff sortit de la chambre et descendit pour se préparer elle même. Il peina à se lever mais finit par attraper une chemise au hasard, un "Jean-Bon!" et descendit les escaliers. Ses parents étaient déjà prêts, sa mère en robe et son père en costume. Pourquoi n'avait-il jamais le droit de porter des déguisements pour aller à une fête ? Pensa-t-il.

« Jeff, c'est tout ce que tu vas mettre ? » lui demanda sa mère.

« C'est toujours mieux que d'en porter trop." lui répondit-il. Sa mère voulut crier mais il se cacha derrière un sourire pédophile.

« Ça suffit Jeff, on peut être trop habillé, mais le principal est de faire bonne impression. Et puis arrête de dire du mal de cet amour ! Tu n'a vraiment aucun cœur mon garçon. " lui dit son père. Jeff grogna comme un ours : "Rooooahhh!!!", et retourna dans sa chambre pour vomir la vilaine soupe de sa mère.

« Je n'ai pas de déguisement ! Je sais que son véritable souhait soit que je me déguise en pet foireux ou en camembert puant... Mais heureusement que cela n'existe pas !" a-t-il crié en bas des escaliers.

« Il suffit de choisir autre chose que tes costumes de pets ou de fromages puants, enfin ! Réfléchis au lieu de dire... des conneries, il n'y a pas d'autres mots ! » a appelé sa mère. Il regarda donc autour de lui dans sa garde-robe pour trouver ce qu'il pourrait appeler un déguisement. Il y trouva une robe rose. Il ne pouvait pas trouver une chemise pour aller avec elle cependant. Il regarda autour de lui et ne trouva que des chemises rayées et à motifs. Aucune n'allait avec le pantalon. Il finit cependant par trouver un sweat à capuche blanc.

« Tu portes cette horreur ? » demandèrent-ils. Sa mère regarda sa montre. « Oh, pas le temps de changer. Rentrons. ». Ils traversèrent la rue jusqu'à la maison de Barbara. Ils frappèrent à la porte et Jeff remarqua que Barbara, tout comme ses parents, était trop habillée. Alors qu'ils entraient à l'intérieur, Jeff put voir qu'il n'y avait que des adultes, pas d'enfants.

« Les enfants sont dans la cour. Jeff, que dirais-tu d'aller les voir ? » demanda Barbara.

Jeff se dirigea vers la cour pleine d'enfants. Ils couraient partout en costumes de cow-boy et se tiraient les uns sur les autres avec des fusils en plastique. On se serait cru dans un Toys R Us. Timide, Jeff n'osa s'approche de peur de se faire traiter de "face de pet foireux" ou de "camembert puant". Soudain, un gamin s'approcha de lui et lui tant un chapeau et un pistolet.

« Hé, face de p..., euh pardon Jeff, tu veux jouer ? » lui demanda-t-il.

« Ah, non. Je suis trop vieux pour ce genre de choses. Et puis je ne veux pas encore qu'on m'attache à un arbre ou qu'on me traite de prout foiré ! » L'enfant le regarda avec un visage assez étonné.

« S'il te plaît ? » dit le gamin.

« Bien. Mais pas de blague hein ? » finit par dire Jeff. "Donne-moi les accessoires à présent !" dit ce dernier. "Après" dit le petit garçon.
Malheureusement, il se fit encore avoir : ils l'attachèrent solidement à l'arbre et tout le monde dansa autour de lui en chantant : (paroles de la chanson)
Face de pet
Face de pet
Un pet à la place
Du néant de ce visage
Face de pet
Face de pet
Quelle pourriture sans nom
Qui sent qui sent l'vieux poisson
Face de pet
Face de pet
Un vieux camembert puant
Au service de ce néant
Face de pet
Face de pet
Ce mec est un gros loser
Il n'mérite pas d'être des leurs
Face de pet
Face de pet
Le type le plus laid du monde
S'incline sous vos yeux immondes puis... ébahis...
Jeff Woooooooooooooooooooods !!! (tout bas) Même qu'il s'appelle comme ça est une insulte aux autres Jeff du monde !

"Putain !" essaye-t-il de hurler derrière son bâillon.

C'est alors que le petit garçon qui allait lui donner un chapeau et un pistolet le détacha et demanda à ses copains d'arrêter de l'embêter. Ils lui ont répondu oui et Jeff commença à faire semblant de tirer sur les enfants. Au début, il pensait que c'était totalement ridicule, mais finit par vraiment s'amuser. C'était la première fois qu'il réussissait à se sortir Liu de l'esprit. Ainsi, il joua gentiment avec les enfants pendant un certain temps, jusqu'à ce qu'il entende un bruit. Un bruit bizarre, ensuite plus rien. Il fut frappé à la tête. Randy, Troy, et Keith avaient sauté par-dessus la clôture sur leurs planches à roulettes. Jeff lâcha son pistolet et perdit son chapeau. Randy regarda Jeff avec une rigolade brûlante.

« Salut, face de pine ! » lui dit-il.

« Il me semble que cette histoire n'est pas terminée ». Jeff vit son nez meurtri.

« Je pense que nous sommes quittes. Je vous ai violé, et vous avez envoyé mon frère au C'est pédé. »

Randy avait de la colère dans ses yeux. « Oh non, ce n'est pas encore terminé. Tu nous as eus la dernière fois mais pas aujourd'hui. »

Randy se précipita sur Jeff. Tout deux chutèrent au sol. Randy frappa de nouveau Jeff au nez, et Jeff lui attrapa la tête. Jeff poussa le garçon qui était au-dessus de lui et les deux se relevèrent. Les enfants criaient et couraient partout. Troy et Keith sortirent leurs armes hors de leurs poches.

« Personne ne nous interrompra ! » dirent-ils. Randy sorti un couteau et encula Jeff à l'épaule.

Jeff cria et tomba à genoux. Randy lui donna des coups de bite dans le visage mais celui-ci réussit à attraper son pied et il le tordit, faisant tomber son adversaire. Jeff se leva et se dirigea vers la porte arrière de la maison. Troy l'attrapa.

« Besoin d'aide pour baiser Tommy ? » Il prit Jeff par le cul et le jeta contre la porte qui s'ouvrit. Randy recommença à plusieurs reprises à lui donner des coups de pied, jusqu'à ce qu'il commence à cracher du sperme.

« Allez face de pet foireux, bats-toi ! » Il prit Jeff et le jeta dans la cuisine. Randy vit une bouteille de sperme sur le comptoir et brisa le verre sur la tête de Jeff.

« Bats-toi, face de pet ! Il jeta Jeff dans le salon.

« Allez Jeff, regarde-moi! » le garçon à terre leva très péniblement les yeux, le visage criblé de sperme.

« Je suis celui qui a envoyé ton frère en C'est (pour les) pédés. Et tu restes là à pourrir sans rien faire ! Tu devrais avoir honte, sale pet humain ! » Jeff commença à se lever.

« Oh, enfin ! Tu te lèves pour te battre mon p'tit zizi ! » Jeff était maintenant à ses pieds, le sang et le sperme coulaient sur son visage. Encore une fois, ce sentiment étrange lui enserra la poitrine, il ne l'avait plus senti depuis un certain temps.

« Enfin. C'est toi gros pet ! » dit Randy.

C'est alors que Jeff comprit qu'il n'était d'un pet foireux vivant. Quelque chose à l'intérieur de lui venait de s'enclencher. Son psychisme était détruit, toute pensée rationnelle s'était envolée, tout ce qu'il pouvait faire, c'était violer, branler et tordre. Il attrapa Randy et le poussa sur le sol. Puis prit les brides de verre brisé pour perforer le cœur du petit garçon. Les battements du cœur de Randy ralentissaient, il manquait d'air mais comme il vivait encore, Jeff s'acharna sur lui. Coup après coup, le sperme jaillit du corps de Randy jusqu'au moment où il rendit son dernier souffle.

Troy et Keith cherchaient Jeff, lorsqu'ils finirent par le trouver, ils pointèrent leurs armes sur lui. Jeff vit les canons des armes (en formes de bites) pointés sur lui, il prit la fuite dans les escaliers. Mais Troy et Keith étaient à ses trousses et lui tiraient dessus. Jeff monta les escaliers, il se cacha dans la salle de bain. Il saisit le porte-serviettes et le décrocha du mur.

Lorsqu'il les vit entrer dans la salle de bain Jeff frappa Troy au visage avec le porte-serviette. Cependant Keith était plus agile que Troy, et réussit à éviter le coup. Il attrapa Jeff par le cou et le plaqua contre le mur pour l'enculer du zizi. Le choc fit tomber la bouteille de sperme (parce que la barbe-à-rats collectionnait les litres de sperme de ses fils) qui se trouvait sur l'étagère au-dessus d'eux. Le liquide leur tomba dessus, brûlant leur visage. Ils hurlèrent, Jeff s'essuya les yeux du mieux qu'il le pouvait. Il put ainsi attraper le porte-serviettes et le balança tout droit dans la tête de Keith. Son adversaire gisait là, dans une mare de sperme, et Jeff laissa échapper un sourire pédophile.

Keith se mit à rire à son tour :

« Qu'est-ce qui est si drôle ? » demanda Jeff. Keith a sorti un zizi coupé qui lui sert de briquet et l'alluma. « Ce qui est drôle... » dit-il. « ...C'est que tu es couvert de sperme ! »

Les yeux de Jeff s'agrandirent lorsque Keith jeta le zizi-briquet sur lui. Les flammes dévorèrent le visage du riche Jeff, sa peau fondait, blanchissait. Il poussa un cri terrible. Il se jeta au sol mais c'était (totalement!!) inutile. Il courut dans le couloir, et tomba dans les escaliers. Les enfants et les parents qui étaient revenus dans la maison se mirent à hurler en voyant le garçon plein de sperme, tomber sur le sol, aux portes de la mort. La dernière chose que Jeff vit fut sa mère et les autres parents essayant de l'achever. C'est à ce moment qu'il s'évanouit.

Quand Jeff se réveilla, il vit que tout était blanc, des bandes de tissu lui entourait le visage. Il ne pouvait rien voir, mais il sentit un plâtre sur son épaule, et sur l'ensemble de son corps. Il tenta de se lever, mais une horrible douleur le parcouru. Une infirmière se précipita vers lui.

« Je ne pense pas que tu puisses sortir du lit pour baiser tout de suite. » dit-elle en le remettant dans son lit. Jeff était assis là, sans rien voir, n'ayant aucune idée d'où il était. Enfin, après quelques années d'attentes, il entendit sa mère.

« Mon chéri, Comment te sens-tu ? » lui demanda-t-elle. Jeff ne pouvait pas répondre cependant, son visage était couvert, et il était incapable de parler. « Oh, mon saint chéri, j'ai d'excellentes nouvelles. Des témoins ont raconté à la police qu'ils avaient vu Randy et ses deux comparses essayer de vous attaquer. Les témoins et la police ont décernez que c'était en fait ces mômes qui traquaient la vie des autres enfants de la ville. En réalité, avec ton air taciturne et calme, les enfants pensaient que c'était toi qui les agressait, quand aux adultes, ils pensaient avoir affaire à un véritable cannibal, qui rôdait depuis longtemps... Ils ont finalement décidé de laisser Liu s'en aller. Bien-sûr, pour un tel crime, ils sont tous les trois condamnés à la peine capitale ; Troy et Keith seront pendus, mais par-contre Randy sera grillé... un peu de la même façon dont il mangeait ses victimes, mais sur la chaise électrique. » « Liu sortira d'ici demain, et puis vous deux... vous serez à nouveau ensemble. »

Durant les semaines qui suivirent, Jeff reçut régulièrement la visite de sa famille. Puis, vint le jour où ses bandages devaient être enlevés. Sa famille était là pour le voir, voir à quoi il allait pouvoir ressembler après ce terrible incident. Le médecin commença à défaire les bandages, tous étaient rivés à leur siège, attendant que la dernière bande fut enlevée.

« Ce n'était pas facile, nous avons fait de notre mieux. » déclara le médecin. Il tira rapidement sur le tissu, dévoilant enfin le visage de Jeff.

Sa mère hurla, les yeux de son père et de son frère affichaient une expression d'étonnement.

« Quoi ? Qu'est-ce qui est arrivé à mon visage ? » demanda Jeff. Il se précipita hors de son lit et courut vers la salle de bain. Il se regarda dans le miroir et vit la cause de leur détresse. Son visage. C'était... terriblement moche. Ses lèvres avaient été pétés dessus (elles puaient, c'était asfixiant!), remplacés par une épaisse ombre brune. Sa peau avait blanchi et ses cheveux avaient pris une teinte noire des plus sombre. Lentement, il porta la main à son visage. Sa peau avait maintenant un toucher dur comme un trampoline. Il se retourna vers sa famille puis de nouveau vers le miroir.

« Jeff » hésita Liu « Ce n'est pas... si mal »

« Pas si mal que ça ? C'est puant ! »

Sa famille fut surprise et Jeff se mit à rire, un rire incontrôlable. Ses parents se regardèrent l'air inquiet.

« Euh... Jeff, tu vas bien ? »

« Bien ? Je n'ai jamais été aussi heureux ! Ha ha ha ha ha haaaaaa, regardez-moi ! Je suis magnifique ! Mais ça pue ! » Il ne pouvait pas s'arrêter de rire. Il caressa de nouveau son visage en se regardant dans le miroir. Quelque chose en Jeff était né, il n'était plus le même : il est devenu pédophile-branleur !

« Docteur... » interpella Margaret. « Mon fils va... bien ? Vous savez... dans sa partie génitale ? »

« Oh oui, ne vous inquiétez pas, ce comportement est typique pour les patients qui ont eu de très grandes quantités d'analgésiques. Si rien ne change dans quelques semaines, ramenez-le ici, et nous lui ferons passer un test psychologique. »

« Oh merci docteur. » La mère de Jeff alla voir son fils. « Jeff, mon île au trésor. Il est temps d'y aller. »

Jeff détourna le regard du miroir, le visage toujours déformé d'un sourire fou. Sa mère le prit par l'épaule et il l'aida à s'habiller.

« C'est comme ça qu'il est arrivé... » avait déclaré la dame de la réception. La mère de Jeff baissa les yeux pour voir la robe que son fils portait. Ils étaient maintenant propres du sperme qui les avait maculé...

Plus tard cette nuit-là, Margaret fut réveillée par un bruit venant de la salle de bain. On aurait dit que quelqu'un jouissait.

Lentement, elle s'approcha pour voir de quoi il s'agissait. Lorsqu'elle regarda dans la pièce elle vit un spectacle des plus puants. Son grand Jeff avait pris un godemichet dans la cuisine et se l'était empallé dans la joue gauche.

« Jeff, qu'est-ce que tu fais comme bêtise ?" demanda sa mère sous le choc.

Le garçon se retourna pour la regarder. « Je n'arrivais plus à me branler maman, je ne le pouvais plus, ça faisait mal. Mais maintenant, je peux branler pour toujours ! »

Elle remarqua alors les yeux de son fils, cernés de brun.

« Jeff, tes yeux! »

« Je ne pouvais pas voir mon visage, je n'arrivais pas à le voir à cause de ma laideur. J'étais fatigué et mes yeux ont commencé à se fermer... J'ai brûlé mes paupières pour que je puisse le voir pour toujours, mon nouveau visage ! »

La mère de Jeff a doucement commencé à reculer, voyant que son fils avait perdu la raison.

« Qu'est-ce qu'il y a maman ? Ne suis-je pas beau ? »

« Nan, mon fils...tu l'es point ! » « Laisse-moi aller chercher papa, pour qu'il puisse voir ton visage repoussant et puan. » Elle courut dans sa chambre et secoua son mari pour le réveiller.

« Chéri, prend le gode, nous devons retransformer ce taré en chiasse ! » Elle s'arrêta en voyant Jeff à la porte, tenant un gode.

« Maman, tu n'est qu'une mytho-girl ! »

C'est la dernière chose qu'ils entendirent avant que Jeff ne se précipite sur eux avec le gode.

Liu fut également réveillé par un cri. N'ayant rien entendu d'autre, il décida de fermer les yeux et essaya de se rendormir. Mais juste avant de replonger dans le sommeil, il eut le sentiment étrange que quelqu'un l'observait. Il leva les yeux, avant que quelque chose entra dans sa bouche. Jeff leva lentement le gode au-dessus de la tête de son frère. Liu se débattit pour essayer d'échapper à la prise de son aîné.

« Aaaaaaaah... » lui dit Jeff « Encule-moi ! »


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