L'Histoire du Monde/Chapitre IV : Histoires d'arts martiaux
CHAPITRE IV: Histoires d'arts martiaux
Tout commença, un beau soir d'été, lorsque Wing Wang naquit. Ses parents, nobles roturiers, étaient très fiers, en particuliers de sa jolie choucha. Il vécut heureux jusqu'à l'âge de quatre ans, c'est à dire en 1902, l'année de la mort de son père. Une belle matinée de printemps, Wing Wang et son père jouaient dans le jardin, lorsque Jack la balafre, appelé plus communément Scar Jack, terrible mafioso (très réputé dans la mafia Groenlandaise de l'époque) débarqua devant la maison, sortant de sa Mercedes noire étincelante.
Le père de Wing Wang lui dit bonjour en le regardant, à moitié distrait par son fils lui lançant le ballon rose bonbon décoré de gentils pingouins souriants ; il n'était pas conscient de la menace qui le guettait. Sans avoir le temps de comprendre ce qui lui arrivait, l'homme reçu une balle dans la tête, lui arrachant la moitié du crâne, tout en faisant jaillir son cerveau par la narine gauche, puis son oeil droit partit s'écraser sur le front de Wing Wang. L'homme s'écroula. Son fils, choqué par la violence à laquelle il venait d'assister, lâcha son ballon rose et couru vers sont père. Il était malheureusment trop tard. Avant de rejoindre le paradis des grenouilles, le futur défunt marmonna à son enfant:
L'homme devint violet pâle et décéda. Apparemment il délirait, sans doute à cause de l'hémorragie. Alors Scar Jack eut un rire sarcastique, puis remonta dans sa grande et luxuriante limousine Lada™ © ®, sans jeter un seul regard au pauvre enfant.
Désormais orphelin de l'un de ses parents, il se jura de se venger… Une semaine après la mort de son père, Wing Wang se lança dans l'apprentissage d'un art martial, appelé viêt-vo-dao. Il montait tous les jours au sommet du mont Everest pour s'entraîner à cet art. Il acquit très vite des capacités d'attaque et de défense. Il ne se consacra qu'à cela dans le seul but de venger son père. Dix ans après l'incident, Wing Wang rendit une petite visite à Scar Jack, et vengea son père, ce qu'il attendait depuis fort longtemps.
Wing Wang affligea un coup de pied fouetté rotatif arrière sauté en plein visage de Scar Jack, qui essayait en vain de dégainer son Colt. 45. Le mafioso tomba en arrière. Du sang coulait de son arcade sourcilière droite. Il se releva, mais n'eut même pas le temps de se protéger du chassé latéral du ninja, suivi d'un coup de coude en plein abdomen, ce qui lui brisa cinq cotes. Dans son élan, le combattant continua par un uppercut dans le menton, puis un crochet du droit lui brisant le nez. L'affreux criminel, était saignant, il agonisait et était appuyé contre un mur. Wing Wang sortit de son fourreau un superbe katana. Le coup final du jeune vainqueur fut un coup de pied pointé dans le ventre du brigand, puis de sa main droite, brandit le katana, et asséna un coup tranchant sur le bas ventre de l'homme, lui coupant les deux jambes. Le cadavre sanguinolent tomba par terre, faisant un bruit sourd, et quelques organes en jaillirent. Wing Wang retomba légèrement au sol, remit le katana dans son fourreau et, sans poser le regard sur le corps gisant (et sur les poumons, le foie, les tripes, les testicules, etc…), repartit d'où il était arrivé.
C'est ainsi que Wing Wang assouvit son devoir de vengeance. Par la suite, il devint un justicier, seulement voué à son art de combat, le viêt-vo-dao. Il décida d'aider ceux que personne ne voulait aider (cf : Dardevil the movie). En ces temps durs, il lui fallait des disciples, des suppléants, des padawans, des élèves. Deux hommes vinrent à lui : le fidèle Tô Mah et le courageux Katsumoto (cf : Le Dernier Samouraï). Wing Wang leur enseigna tout ce qu'il savait, les formant aux combats physiques et moraux les plus intenses. L'élève Katsumoto quitta son maître pour devenir samouraï. Il mourut ainsi, combattant l'armée chinoise, aux côtés de Tom Cruise (qui lui fit hara-kiri pour sauver son honneur, après s'être pris une cinquantaine de balles de gatlings dans la poitrine). Tô Mah resta le plus longtemps possible aux côtés de Wing Wang, pour lui rester fidèle, et acquérir tout ce qu'il put. Il resta dépendant de son maître jusqu'à la mort de ce dernier.
Effectivement, après une longue vie acharnée de 523 ans et 138 jours, il mourut de l'appendicite combinée avec la varicelle. Son âme monta au ciel, au sommet de l'Himalaya, car il avait prédit qu'une autre âme l'y rejoindrait plus tard, une âme quasiment aussi pure que la sienne.
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