L'amour des belles choses
L'amour des belles choses, un titre pompeux derrière lequel se cache assurément un énième article de la désencyclopédie. Que nenni, il s'agit en fait d'une qualité dont ne dispose pas forcément les fans des chevaux. Plutôt que de me moquer des fans de Platon et des "Idées" et autres concepts philosophiques compliqués, j'ai délibérément choisi de me moquer des individus de sexe féminin ou autres qui ont décidé de consacrer un site web à leur passion, ce qui n'est pas vraiment le cas de Platon ou de Kant.
L'amour des belles choses : Introduction au sujet
Il faut savoir que je n'ait absolument de rien de personnelle contre les philosophes et les petites filles qui ont accès à internet. Dans la vie je suis chasseur de violeur nazis pédophiles et je ne dis pas ça parce que j'ai besoin de prouver que je suis quelqu’un de bon, vu que des milliers de femmes juives sans défense le feront pour moi. En plus je ne mange pas de chevaux.
Mais mon esprit aiguisés par des dizaines d'années de recherche de patronyme allemand dans les fiches de recensement brésiliennes ne peut que tiquer devant certains comportements à la limite du vandalisme du cerveau. Ainsi quel passé trouble la créatrice de ces lignes essaye t-elle de cacher derrière cette ponctuation pour le moins étonnante, voir expressive. L’absence d'espace après les points est-elle un message subliminal ?
L'amour des belles choses : Application directe dans la vie quotidienne
En parcourant son incroyable site, issus de l'imaginaire surréaliste d'une fille en manque d'amie sans sabot ni entièrement couverts de poils, une chose me frappa encore plus fort que les groupes de points d'exclamation.
La quasi-totalité des phrases du site sont des ordres, des obligations ou des préceptes souvent accompagnés d'images chocs qui ne comportent aucune explication sur leur rationalité sinon qu'elles ont servi à la créatrice pour avancer sur son chemin de la vie. Étonnant pour un site qui devrait utiliser des arguments raisonnables pour nous prouver que consommer un cheval ou l'enfermer dans un box de deux mètres sur deux est pire que de faire la même chose à un cochon. Je dirais même suspect, très suspect.
Quel message une personne sensée retiendra-elle de cette leçon de camaraderie chevaline ? Que les chevaux n'ont pas conscience du bien et du mal ? Que suturer n'a pas le même emploi que souder ? Ou qu'avoir un animal chouchou est une preuve de favoritisme, d'affairisme et que c'est la marque d'un régime totalitaire ? Toutes ces idées ne peuvent germer que dans le cerveau d'un homme raisonnable[1] mais pas dans celui d'une fillette qui fait de l'équitation et qui se sert du point d'exclamation comme argument suprême.
Il semblerait que cette innocente petite fille soit victime du syndrome de Stockholm. Les chasseurs de croix gammés nomment plus communément sous le terme de "Sympathie envers les méchants", syndrome assez commun chez les tortionnaires ou les têtes réduites d'Amazonie.
L'amour des belles choses : Conceptualisation de la beauté
Je n'ait pas vraiment beaucoup de choses à dire à quelqu’un qui est capable de juxtaposer "connu et mystérieux" à propos du loup et qui réalise des classifications arbitraires d'animaux selon leur âge.
Je pourrais continuer à remplir ce chapitre en collant des images des diverses commentaires, ou des photos de fruits en lente décomposition[2] mais je penses qu'il y a une dernière partie qui mérite le coup d'œil. Il s'agit bien évidemment du forum et de ces règles totalitaires.
Intéressons nous donc à ces règles. Ou plutôt à l'encart en gras en majuscules taille trente ponctués par des visages jaunes abhorrant tous la même expression de dégoût qui est justement placé au dessus du-sus dit forum.
Heureusement pour elle, il semblerait qu'aucun vandale hippophage de l'internet n'ait eu le besoin de venir le saccager ni aucun fan d'ailleurs, personne en fin de compte. Ce qui rappelle un peu le cas de certains forums exprimant des propos extrémistes.
Amour des belles choses : Références
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