Macron
le macron
Où on nous dit clairement que le français n'utilise pas le macron. Et que le macron est utilisé pour changer le son des lettres.
C'est une perversion pour le français. On ne change pas le son des lettres sauf à vouloir faire entendre autre chose que ce qu'on a écrit.
Ce serait quand même un peu fort de se laisser emmerder la vie par un machin qui n'est pas plus important qu'un élément de la catégorie des accents et des virgules, autant dire presque rien.
Un grain de sable ... On devrait le mettre dans le béton et le couler au milieu de l'Atlantique.
Ou plutôt que l'Atlantique, pourquoi pas la Mer des Sarcasmes.
D'ailleurs pour l'Atlantique il y a un problème avec ces bacheliers qui nous gouvernent, ils seraient des mûrs de l'Atlantique.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Macron_(diacritique)
Origine : Collectif Vent Debout - Nous ne sommes pas seuls
Dans une telle mesure de son sens occurrent absent d'utilité dialectique fondamentale, le macron est une faute de langage qui se présente cul-nul sur le second banc d'un patois franco-bolloso-germanique que parle ton oncle bourré quand il part faire ses courses, ou ta petite sœur d'un an et demi qui sosotte en demandant un biscuit de valeur ajoutée.
"Bah s'tuveu m'fisherman, e'pi'tu m'mettra deux 'tites boitoulles de macrons pour que qu'j'ai un trucàgraille d'main midi.
- Manu Godmish enregistré à la poissonnerie.
Moi aussi! Moi 'ssi j'veux un mac'ron!!
- Hilaria Merkoul via le téléphone sur écoute de son papa alors qu'il revient de la pâtisserie.
Cette faute de langage est aussi d'usage lorsqu'il s'agit de qualifier une odeur poissarde, dans le même patois pré-post-merkelien, émanant d'huitres ou de crustacés similaires, voire parfois d'un concombre de mer desséché.
Hé, la chaude... t'trouve pas qu'ça stinken ouf l'macron?
- Manu Godmish enregistré par un micro disposé dans sa chambre.
Ultimement, cette faute de langage disparaitra dans le néant obscur imputable à l'ébriété quasi-délictueuse qui voit naitre la gestation d'individus aux cognitions impropres à la correcte prononciation des véritables mots, mots dont les formulations exactes sont déformées par le terme macron.