Utilisateur:Coquefoldeus/Marguerite Duras
Brioche-graphie
Marguerite Duras, de son vrai nom Jean-Michel Freulet, est né(e)en 1914 du côté de chez Siam d'un père et d'une mère (selon nos informations). Le paternel, que les copains appelaient "Jean-Loup le Bambou", sous-directeur d'une bambouseraie dans le Tonquiquitonquoquotonquinois, meurt en 1912 (soit deux ans avant la naissance de la petite Jean-Michel), écrasé par la chute d'un bambou de treize tonne ("Elu bambou de l'année 1912" par le Magazine Passion Bambou et "Bambou de la décennie", en 1918, par le Journal Minute Bambou). La mère de Jean-Marguerite était une femme respectable et respectée qu'on appelait affectueuse "Bamboucroute" lors des repas dominicaux et qui s'occupait de la gestion des actifs de Monsieur Paul Pote, homme respectable et respectée, qu'on surnommait affectueusement "Le Pilon de Cochonchine" lorsqu'il se rendait en voyage d'affaire à Pigalle.
Paul Pote, qui devint après la mort accidentelle et fortuite de Jean-Loup, l'un des amis les plus proches de la mère de Marguerite, ouvre en 1923 une l'usine Saïgon & co spécialisée dans la "cordelette d'accroche à bambou". On lui doit notamment le célèbre slogan :
Vos bambous durent plus longtemps avec Saïgon !
Jean-Michel Marguerite a alors 9 ans et est révolté(e) par le comportement de cet homme qui, faisant fi de toute délicatesse, s'enrichit sur le dos (écrasé) de son père (éclaté). Elle écrit alors son premier texte : "Il tape sur des bambous et c'est numéro un". Paul Pote découvre, deux ans plus tard, le pamphlet de Marguerite dans une le courrier des lecteurs de Picsou Magazine. Lisant un passage extrêmement virulent à son encontre et disant, textuellement : "Il tape sur des bambous il joue pas les requins. Tahiti Touamotou Equateur méridien. Y a des filles de partout qui lui veulent du bien. Lui la gloire il s´en fout et ça va et ça vient.", Paul Pote s'empo(r)te contre sa fille, ou plutôt sa belle-fille, et l'expulse du domicile familial. Marguerite Freulet décide alors de livrer son corps à la science et sa main à littérature. Nous sommes en 1926 et Marguerite à 11 ans.
Une sans'le'soumise
En 1933, alors qu'elle a émigrée en France pour des raisons "qui ne regardent que moi" (dira-t-elle à votre serviteur lors d'une interview en 1977), elle écrit un premier livre, Je cochinchine le Père, le Fils et le Saint-Esprit qui se place immédiatement en tête des charts. Le Pape décide alors de l'excommunier et de la priver de dessert "jusqu'à l'heure du Jugement dernier". Rebelle, toujours, Marguerite décide de manger une galette des rois et un tiramisu à la noisette sur la Place Saint-Pierre de Rome le 14 avril 1913 : le Pape, choqué, meurt en hurlant : "Mort aux Vaches".
Treize ans plus tard, et après différents succès retentissant tel que Un bambou contre l'Atlantique, Tiramisu, mon amour ou La Vache-Commune, Marguerite se retire définitivement de la littérature et reprend son patronyme original. Jean-Michel Freulet est encore aujourd'hui éleveur de charolaise dans le Cantal et maire du petit village de Fiture. De lui (elle), plus rien n'a été édité depuis cette période, sinon le texte d'une chanson populaire : "Y'aime les cons d'Fiture" de Marceline Vandier.