Meurtre

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« Nous sommes réticents aux meurtres particuliers, mais permissifs aux génocides, et résignés au meurtre général, biologique. »
~ Viviane Forrester à propos de la légalité d'un meurtre lorsqu'il est commis par l'état ou camouflé par le gouvernement.
« On dit qu'une femme qui avorte, c'est un meurtre. Et un homme qui se masturbe, c'est quoi? »
~ Roland Magdane à propos des questions philosophiques essentielles de la vie.
« La loi est formelle, toute personne qui tue volontairement une autre sera punie de mort par décapitation. »
~ Robespierre, sorte de bourreau révolutionnaire de son temps qui a lui aussi fini à l'échafaud, à propos de la guillotine.


À l'origine, le meurtre est la désignation donnée au fait d'ôter la vie à un individu, quelqu'un, quelque-chose ou soi-même (dans ce cas on parle de suicide, qui est une forme de meurtre envers soi-même et de manque de savoir-vivre, puisqu'il s'agit de mettre fin à ses jours par la mort, qui tue) volontairement. L'appel au meurtre peut être provoqué par des sentiments, des choses ou des raisons pénibles dont voici une liste non-exhaustive :

  1. La jalousie,
  2. Le pouvoir,
  3. La haine,
  4. L'argent,
  5. Le plaisir,
  6. La folie,
  7. L'ennui,
  8. Les jeux-vidéos violents,
  9. Les choses de la vie.
  10. la vengeance


Quelques applications du meurtre dans la vie de tous les jours

Utilisation métaphorique

On peut se servir de ce mot dans le cadre d'une métaphore très subtile signifiant un acte à tendances hérétique voire iconoclaste (p. ex: échanger un Magicarpe (même doré) de niveau 9 contre un Mewtwo de niveau 100 c'est un meurtre, du moins ça l'est pour Satoshi Tajiri).

Recherche de bénéfice

Cela fait également référence une technique de marketing très répandue chez les maisons de disques telles que Epic dont le principe est de faire mourir de manière très mystérieuse et controversée leur créateur de musique (pour ne pas dire artiste, terme érroné) le plus renommé dans le but de faire monter de manière significative le taux de vente de ses produit tels que des albums de musique dans un but lucratif. Cette pratique est aussi appelée This Is It, du nom du premier album avec lequel elle a été testée et dont les résultats se sont avérés excessivements brillants et satisfaisants, sauf pour le sujet de l'expérience, laquelle aurait très bien pu le mettre dans une colère noire s'il avait survécu à l'expérience, d'autant plus qu'au tout début, il l'était mais est devenu blanc par la suite un peu comme un tableau de classe, ce qui n'a pas grand chose à voir avec le sujet.

L'industrie du tabac aussi est une forme de meurtre, sa seule caractéristique significative la différenciant d'un meurtre ordinaire est que cette méthode est légale, pour la simple et bonne raison que l'état se fait des couilles (et des poumons) en or pétrole (terme plus approprié dans ce cas-ci, d'autant plus que le pétrole a plus de valeur que l'or) avec les taxes surtaxées sur ces produits surtaxés pour raison de taxe surtaxées, en excès.

Raison d'état

Certaines autorités suprêmes telles que Les Admins ou le Gouvernement américain peuvent recourir au meurtre dans le but de mettre fin à un massacre quelconque (tel que cet article) ou pour cacher la vérité au grand public, notamment l'existence des extraterrestres ou des Schtroumpfs. Il peut arriver que des bavures soient commises lors de ces exécutions (p. ex: l'assassinat du Président Jean-Charles François Kennedy, soupçonné d'appartenir à un ordre mondial secret —qui ne l'est pas tellement puisque visiblement tout le monde le connaît— appelé Illuminatis, sur son char le jour de la gay pride), il faut dans ce cas masquer le meurtre en accident, suicide... ou rejeter la responsabilité sur un coupable (généralement, il s'agit un émissaire arabe à l'haleine de bodddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddddduc) pour ne pas devoir en assumer les responsabilités.

Les conséquences d'un meurtre

Dans l'immédiat

La mort.

Une réputation forgée

La personne commettant un meurtre est appelée meurtrier ou assassin et rentre dès l'instant où l'irréparable est commis (c'est-à-dire dès qu'il a crimé) dans la classe des criminels dans laquelle sont répertoriés quelques personnalités telles que Carl Johnson (le héros de GTA San Andreas), L'empereur de Chine, L'auteur de cet article, Marc Dutroux, Le fisc, Jean Passe, Ed Emeyer...

La peine encourue pour meurtre

Il y a longtemps dans un patelin lointain, très lointain (France, dans les environs de 1750), le meurtre volontaire —et il l'était souvent, sinon c'est pas drôle— était puni de mort, comme le suggère la citation de Robespierre —Maximilien de son petit nom— située en haut de cet article.

D'ailleurs, je connais une petite anecdote plutôt cocasse: le bourreau qui a appuyé sur la poignée de la guillotine, abattant ainsi l'épée de Damoclès sur le malfaisant Maximilien, aurait lui aussi été mis à mort (la loi étant formelle) par un autre bourreau qui à son tour aurait été exécuté, le schéma se serait répété identiquement des centaines de fois (à l'exception d'une fois, où un mouton unijambiste aurait à voir dans l'histoire, mais je n'ai pas les détails) jusqu'au jour où l'on a décidé que ce putain de cercle vicieux de mes deux devait cesser et que ce serait un ordinateur qui ferait lui-même la sale besogne pour qu'on n'ai plus à tuer personne à cause d'un connard nommé Maximilien, je vous le rappelle. Par la suite, un autre ordinateur aurait reçu l'ordre automatique de pirater le précédent (le principe de réprimande subsistant) et d'effacer son contenu. C'est ainsi que nous en sommes arrivés à une cyber-guerre opposant le clan des portes (fondé par le célèbre et richissime William Henry Portes III, qui n'est autre qu'un simple fabriquant de fenêtres, qui sont devenues la première cause des divorces au monde) à celui des bits (fondé par un eunuque), ce qui nous éloigne du sujet qui nous intéresse.

Les ordinateurs faisant leur popote de leur côté, les représentants des lois les changèrent et les peines encourues pour meurtre devinrent de plus en plus tapettes, la peine de mort fût abolie à une date que j'ignore et dont je n'ai strictement rien à foutre, pour finir remplacées par une simple peine d'emprisonnement dont la durée peut parfois excéder 250 ans (véridique) en cas de meurtre multiple sur la même personne, ce qui eut pour conséquence une augmentation du taux de criminalité de l'ordre de 2.6 sur l'échelle de Richter.

Dans un futur relativement proche, la peine encourue pour meurtre sera encore allégée suite à des plaintes d'une quelconque association de chochottes défendant les droits de l'homme, prétendant qu'il est immoral de priver un homme de sa liberté pour l'unique raison qu'il en aurait privé un autre en lui ôtant la vie, ce qui est profondément absurde je trouve car il n'y a pas plus libre qu'un homme mort. Les meurtriers n'iront donc plus en prison mais seront alors punis d'une chiquenaude à l'oreille, et ce sera bien fait pour eux, les vilains, sinon seront suivis de près par des équipes de soutien moral composées de psychiatres et de professeurs de philosophie soutenue par une équipe universitaire pluridisciplinaire (j'ignore ce que ce mot peut signifier mais on s'en fout, ils le disent au journal et ça en jette).

Le meurtre à travers l'histoire

Tout à commencé lorsque tout commençait

D'après nos sources, le tout premier meurtre remonte à la formation des tout premiers organismes vivants de notre planète, que l'on appelle les unicellulaire lorsque l'on veut se la péter et on se trompe car ils n'avaient même pas de noyau. C'est donc l'une de ces saloperies bactériennes sans cervelle à la durée de vie n'excédant jamais une heure qui aurait commis le premier meurtre. Les raisons de ce meurtre restent floues mais tout nous porte à croire qu'un mouton unijambiste n'aurait rien à voir dans l'histoire puisque les moutons n'existaient pas à cette époque, surtout les unijambistes, ce qui limite vachement le nombre de théories imaginables. Et les vaches non-plus n'existaient pas.

L'âge du meurtre de pierre

Aussi appelée préhistoire, cette époque est riche en anecdotes désopilantes relatives aux sobriquets qui permettaient aux membres de la race simiesque qui allaient devenir les sapiens que nous connaissons aujourd'hui —par défaut Pierre sinon Pierre ou encore Pierre et parfois Gui ou BLOND... — et aux meurtres diversifiés et originaux. C'est aussi à cette époque que l'on a décidé que les crimeurs devaient être punis, du fait que le crieur publique avait été crimisé et ne faisait donc plus son office, ce qui provoqua une confusion dans la populace primitive perdant du coup la notion du temps n'ayant plus personne à qui lâcher un bon Ta Gueule et que donc ça faisait chier. C'était le début du système pénal.

(Tout à fait hors propos, j'ai ici un document où l'on peut nettement entendre la voix de la femme qui s'est pris le plus de "Ta Gueule !" au monde)

Plus tard, un meurtre célèbre

Dans les environs de -480, deux hommes ont eu une longue et complexe discussion qui s'est soldée par la mort de l'un d'entre eux. Le dialogue était le suivant (en anglais) :

« This is madness ! — Madness ? ... THIS IS SPARTAAA !!! »

Cette version est officielle néanmoins beaucoup d'autres subsistent, et elle font généralement référence à un laser bleu, nous en ignorons toujours les rais-"IMA FIRIN MAH LAZOOOR BLAAAAAAAAAH".

Mais je m'égare et j'en oublie la raison d'être de cet article. Reprenons, si vous le voulez bien.

Le meurtre de nos jours

Avec l'avènement des jeux-vidéos violents déconseillés aux moins de 16 (contenu violent, langage violent...) et aux moins de 18 (jeux pornos hard à positions violentes), des films et des séries violents, le meurtre s'est banalisé au point de devenir quelque-chose de presque normal. Si bien qu'il n'est plus rare qu'un enfant d'environs 14 ans aille braquer une banque avec des armes de guerres Russes, des prises d'otages dans des écoles avec des shotguns ou écraser des fourmis dans son jardin après avoir joué à un jeux vidéo d'une grande et choquante violence inadaptée, tel que Alexandra Ledermann pour les garçons ou Resident Evil pour les filles.

Dans le cas où le meurtrier est mineur ou qu'il a moins de dix-huit ans, ce sont les parents qui trinquent, sauf s'il s'appelle Kevin. On les envoi généralement au barbaresque à Cayenne où ils purgent une peine de 20 ans de taule et de 20 ans supplémentaires de service à la communauté des centres de détention, comme mineur par exemple, sous prétexte qu'il s'agit de la peine méritée pour avoir un gosse trop con ou pour ne pas savoir s'en occuper, sacré petit monstre!


Comment s'en protéger?

Pourquoi s'en protéger?

Comme vous l'aurez probablement compris, lorsque l'on fait l'objet d'un meurtre on meurt, surtout si le meurtrier vous tue par un moyen nommé la mort qui je vous le rappelle, tue. Ce genre de situations est pour le moins gênante pour la victime (celle qui meurt) qui était très certainement occupé à des choses très intéressantes qui ne seront jamais achevées (genre ranger sa chambre, écrire un article débile sur la dÉ... ). Notez que cela peut être néfaste pour l'équilibre économique de notre pays —déjà aléatoire, soit dit en passant— si le crimisé est endetté jusqu'au cou puisque celui-ci se retrouve dans l'incapacité de rembourser, l'état perd alors de l'argent ce qui peut avoir des conséquences à effet papillon. L'argent dû est alors perdu sinon légué à un descendant ou un ami. Si la victime n'a ni gosses ni amis, l'argent va au représentant des moutons unijambistes de l'état dans lequel il se trouve et on peut alors affirmer avec 100%.

Et COMMENT?

Ceci étant dit, il est donc bon de savoir se prévenir contre le meurtre.

  1. La meilleure façon de s'y prendre est de se terrer dans sa maison, de fermer portes et fenêtres et en condamner l'accès par tous les moyens imaginables.
  2. Sinon, on peut tout simplement tenter d'identifier et éviter les personnes susceptibles d'être prises d'envies de meurtres.
  3. Le faire soi-même histoire de garder le contrôle. Pratique et efficace, bien que cette méthode quelque peu radicale puisse néanmoins présenter les inconvénients cités plus haut.

Comment reconnaître un crimier?

On peut aisément reconnaître un crémier grâce à là musique puérile très caractéristique qui se joue lorsqu'il se déplace.

Un crimier tueur par contre est très difficile à reconnaître. Jean-Marie s'écrie alors « Un Arabe qui boit une bière dans un café et qui crache partout! », je ne suis PAS d'accord! Non seulement parce qu'il s'agit de l'archétype du criminel en général —et non du MEURTRIER spécifiquement— mais aussi parce qu'il s'agit là de propos racistes, ce qui n'est pas toléré par la dÉ. Et de toute façon, de par chez moi on ne laisse pas les Arabes rentrer dans les bars, ce qui règle le problème. Et toc. Donc je disais, un meurtrier est difficile à reconnaître car il n'a pas de caractéristiques physiques apparentes propres à l'assassin. Néanmoins, certaines choses ou propos tenus par ces personnes doivent vous mettre la puce à l'oreille. En voici une liste non-exhaustive :

  1. A l'air fou dans ses propos,
  2. Parle souvent d'enfants alors qu'il n'en a pas,
  3. N'a pas d'ami et déteste tout le monde,
  4. Change souvent de caleçon (typique aux meurtriers dits "maniaques").

Le mot de la fin (ou la dernière volonté)

Comme vous avez pu le constater, les meurtriers peuvent être n'importe qui, n'importe quoi (surtout), n'importe où et n'importe quand. Qu'il s'agisse d'un quidam anonyme à un Organisme fédéral en passant par des géants du marketing, d'un simple organisme primitif à un être humain en passant par un mouton unijambiste, du fond des mers au fond de ton jardin, de la création des astres à l'effondrement (proche) de notre monde, les meurtriers se cachent partout, nous en sommes entourés, le meurtre nous guette à tout instant, qu'on en soit l'auteur, le témoin ou la victime, ce que je vous souhaite de tout cœur.


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