Milton Friedman

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Milton Friedman au concours collégien The New Ideal Economist en 1986.

Naissance : 31 juillet 1912
Décès : 16 novembre 2006
Profession : croque-mort et économiste de cimetière
Pays : Etats-Unis
Influence : beaucoup trop !
« Je suis un grand humaniste »
~ Milton Friedman à propos de sa modeste vie
« Avec moi, seuls les morts sont heureux car ils n'ont besoin de rien ! »
~ Milton Friedman à propos de ses théories économiques
« Je n'aime pas les pauvres : ils ne pensent qu'à l'argent ! »
~ Milton Friedman à propos du mandiant qu'il croisa dans la rue le 24 décembre 1983
« Le capital précède l'essence »
~ Milton Friedman à propos de son essai : De la philosophie et de l'économie mondiale


Milton Friedman est un croque-mort et économiste de cimetière américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco. Il fut un ardent défenseur du courant de pensée ultra-libéral humaniste, qu'il défendit malheureusement jusqu'à sa mort.

Il est particulièrement connu pour avoir été le professeur d'économie de Ronald Reagan et de sa cousine Margaret Thatcher dans les années 1980. Il fut l'ennemi idéologique de John Maynard Keynes qu'il tenta d'assassiner le 6 mai 1936, lors d'une séance de dédicaces de la Théorie générale de l'emploi, de l'intérêt de la monnaie à l'Université de Cambridge.

Violemment critiqué et méprisé par l'école keynésienne, son œuvre est aujourd'hui actualisée par les travaux de nouveaux économistes philosophes comme Nicolas Sarkozy, Angela Merkel ou Mitt Romney. Un grand programme de recherche financé par des investisseurs privés est en cours à la bibliothèque de l'Université de Chicago pour tenter de dégager des fragments de papyrus écrit par Friedman coincés sous le bord du rayonnage métallique n°249.

Biographie

Né d'un père boucher et d'une mère louche, le jeune Milton réalise des études médiocres au collège de St Pethrus les Deux Églises, avant de se découvrir une passion inédite pour la littérature médiévale mésop-hophophoptamienne. Cependant, ses capacités scolastiques limitées l'empêchent de réussir le concours d'entrée à l'École des Hautes Études en Bûcher Appliqué, ce pourquoi il se reconvertit dans l'économie. Pour autant, il n'en démord pas : l'humanisme médiéval appliqué (i.e le droit de cuissage & la loi salique) mérite d'être relu et compris comme le vrai précurseur des humanistes de la Renaissance tels Pizarro et Sepulveda. Ceux qui osent prétendre que les prédécesseurs des humanistes de la Renaissance sont CES GROS BATARDS DE MES DEUX de philosophes Grecs de l'antiquité ne méritent que le bûcher... euh, enfin, dirons-nous, la négation historique - heum-.

Le fringant Milton se décide donc à publier ses théories sous la forme d'un pavé encyclopédique présent dans toutes les bonnes salles d'interrogatoire, j'ai nommé Vie et mort d'un primate en terre non-humaniste, dans lequel il détaille avec un art de la (cir)concision à faire pâlir d'aise B. Netanyahou comment se caractérise toute société ne connaissant pas encore le VRAI humanisme, l'humanisme médiéval appliqué déjà cité. Lesdites sociétés sont en effet caractérisées par ces deux fléaux que sont la disharmonie sociale et l'oppression des prix, lesquels empêchent la reconnaissance de l'Homme à sa juste valeur, celle du marché de l'art mésop-hophophoptamien du haut Moyen-Âge. La solution avancée par notre humaniste? Un arsenal de compressions et de restructurations qui sauront à coup sûr relancer le marché de l'humanisme médiéval appliqué, et de là permettre la reconnaissance du marché de l'art mésop-hophophoptamien du haut Moyen-Âge en tant qu'entité libre et n'ayant pas à être oppressée sous peine d'une juste sanction appliquée par lesdits humanistes médiévaux. Milton aurait d'ailleurs déclaré: « Oui, je pense que le bûcher a le légitime & naturel droit de se gouverner lui-même, indépendamment de l'interventionnisme fasciste de la pluie et du vent ».

Après une fulgurante carrière au sein de l'armée d'Andorre, laquelle fut stoppée net par la plaque de marbre qui le séparait de tous ses autres coéquipiers (consulter l'ossuaire de Duaumont pour plus de détails), il fut recruté par la section administrative n° 101 du secrétariat aux affaires touristiques du parc du Puy du Fou. Chargé personnellement par le Vicomte de Villiers d'éliminer par tous les moyens chrétiens CES GROS BATARDS DE MES DEUX d'opposants au libre développement du marché de l'art mésop-hophophoptamien du haut Moyen-Âge en Vendée, Milton passa là les plus belles années de sa vie, gravitant entre la roue, le garrot et le trépal (pour plus d'informations sur le tourisme alternatif en Vendée, contacter l'office du tourisme des Sables d'Olonnes en spécifiant que vous « n'aimez pas les Chouans »).

Le courageux Milton continua pendant cette période à éditer de nombreux ouvrages traitant du libre développement du marché de l'art mésop-hophophoptamien du haut Moyen-Âge. Malgré le lobbying immonde des terroristes du Parlement -lesquels avaient osé, CES GROS BATARDS DE MES DEUX, qualifier ses ouvrages de « tentatives révisionnistes minables » et de « support d'apologie de crime contre l'humanité » (encore un complot des pseudo-humanistes grecquo-rabelaisiens), il réussit à faire passer en contrebande le gros de ses textes jusqu'en terre civilisée, à Waco, au Texas. Là, des agents républicains humanistes (de l'humanisme médiéval, le vrai) organisèrent le transfert de cette somme intellectuelle jusqu'à Chicago, où l'université d'économie, comprenant le rôle financier capital du marché de l'art mésop-hophophoptamien du haut Moyen-Âge dans l'économie mondiale, accepta volontiers d'héberger les textes dudit Milton, nonobstant son amour pour le bûcher – les humanistes locaux ont une préférence pour le lynchage.

Milton, quant à lui, décéda des suites d'un scorbut mal traité, abandonné des siens et du Vicomte après qu'ils eurent décidé de lui appliquer une thérapie de choc par amputation des dents, selon le bon vieux principe « précéder pour guérir ».

Un incident regrettable.


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