Mr. Leappy

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« Un grand artiste par sa petite taille. »
« Mouais, pas un grand athlète en tout cas ! »
~ Chuck Norris à propos de la citation précédente.
« Il n'aurait pas été cinéaste, il aurait inspiré Homer Simpsons lui-même. »

Mr. Leappy est un des plus grands réalisateurs du cinéma culturiste. Sa vie fut brève, mais intense, et son oeuvre reste présente dans tous les esprits, malgré sa triste fin.

Sa vie

Mr. Leappy naquit à la fin de la Seconde Guerre Mondiale en Californie, d'un père au foyer et d'une mère culturiste. Sa tendre enfance fut rythmée par l'affection délicate de son paternel, qui lui offrait mille cadeaux, et la poigne de fer de sa génitrice, qui lui foutait taloches sur taloches, manquant lui dévisser la tête à chaque fois (ce qui arrive aux quatre frères qui le précédèrent).

Mr. Leappy resta malingre toute sa vie, ironie du sort, car n'aimant pas l'effort (l'internaute averti remarquera la superbe rime ici formée). Son intégration dans la société était laborieuse, du fait de ses faibles capacités physiques qui le transformait en boulet pour tout sport collectif pratiqué. Son enfance fut malheureuse, maltraité qu'il était par ses camarades de classe.

Vinrent ses 15 ans et l'année de la découverte, pour Mr. Leappy, du cinéma, et en particulier du cinéma d'auteur. Le choc se produisit alors que le programme scolaire imposait aux élèves le visionnage d'un film de leur choix : Mr. Leappy, hésitant, s'en alla voir 300, et là, le choc : tous ces corps huilés, toute cette perfection musculaire, tous ces combats virils et puissants, ces affrontements dantesques et barbares ! Le choc s'imprégna en Mr. Leappy, le marquant à vie : il avait trouvé sa voie : il serait réalisateur dans le cinéma culturiste (et accessoirement homosexuel).

Deux ans plus tard, Mr. Leappy faisait des débuts cinématographiques difficiles dans le domaine du pornographique culturiste, branche encore plus méconnue du cinéma. Malgré le faible intérêt de ses oeuvres au vu des spectateurs, celles-ci s'accompagnaient d'une indéniable qualité de mise en scène : ainsi, Mr. Leappy fut le précurseur du bullet-time (entre autres), qu'il utilisait fréquemment (nos codes d'honneur nous interdisent de décrire en quelles circonstances).

Enfin vint 1962 et le superbe Septième saut (le), oeuvre magistrale et aujourd'hui toujours célèbre. Ce film fut celui de la consécration de Mr. Leappy. Surfant sur sa vague de célébrité, il réalisa deux suites, Le huitième saut et Le neuvième saut, avant de se lancer dans la musculation avec Training Night, qui reçut à nouveau une excellente critique.

La fin de Mr. Leappy vint quatre ans plus tard, avec le sublime L'homme au bras de fer, qui raconte la victoire d'un champion méconnu aux tournois de bras de fer mondiaux, champion interprété par Chuck Norris lui-même. Mr. Leappy effectua une apparition en caméo durant le film, interprétant le premier athlète que defia Chuck Norris. Il décéda dans les jours suivants du développement d'une gangrène à son bras arraché.

Son oeuvre

Outre ses débuts scabreux, trois grandes oeuvres jalonnent le parcours de Mr. Leappy.

Septième saut (le)

Le septième saut fut la première grande oeuvre de Mr. Leappy. Film à l'analyse fortement controversée, il n'en reste pas moins une oeuvre majeure du cinéma culturiste d'aujourd'hui et d'hier, par sa force émotionnelle et par les prouesses techniques qui furent déployées durant la réalisation. Le film fut suivi de deux suites, Le huitième et le neuvième saut, et une parodie fut effectuée à sa suite, Le septième sot, mettant en scène Georges W. Bush et Arnold Schwarzenegger.

Training Night

Le film qui inspira toutes les scéances d'entraînements des Rocky, Training Night raconte comment un champion olympique de boxe poids plume va s'entraîner, de longues années durant, pour devenir champion de boxe poids lourd.

L'homme au bras de fer

Drame sur le bras de fer, L'homme au bras de fer raconte l'ascension d'un homme jusqu'alors méconnu dans ce domaine du sport culturiste, homme interprété par Chuck Norris lui-même. Le film, d'une intensité sans pareille, souffre toutefois d'une lourde absence de suspense, due au nom de l'interpréte principal.

Portrait d'un homme sans pareil

Mr. Leappy était un homme sans pareil : petit, malingre, au prénom inconnu (même si la légende raconte qu'il s'agirait de Chuck en hommage au dieu que tout le monde connaît), Mr. Leappy étonna toutes ses connaissances par la rapidité avec laquelle il se fit un nom dans le cinéma. Bien moins intelligent et cultivé que ce qu'on peut croire, il s'agissait en réalité d'un imbécile heureux, au plus haut point, et traversé de temps en temps par des traits de génie comme on en voit que rarement, tellement la différence entre son être et ses oeuvres est flagrante.

Voir aussi

Les fiches de ses films :

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