Naze

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Définition générale

Le terme "naze" a trouvé ses racines au début du XXème siècle dans une région française reculée que nous ne citerons pas ici. Constatant une augmentation soutenue du nombre d'incultes hébétés – (augmentation que l'on soupçonne d'avoir été causé par les frivolités sexuelles d'un homme dont la stupidité fut dénoncée comme abusive et dangereuse pour l’humanité) -, la population s'est mise en accord afin de voter pour l'expression désignant le mieux ce type d'individu. "Naze", élu par la majorité, est depuis resté dans les mœurs et est employé couramment.

Son succès est tel qu'aujourd'hui le mot a perdu de son sens et est surtout utilisé par ces mêmes incultes hébétés qu'il désigne. Ainsi, ceux qui utilisent le plus le mot "naze" sont finalement plus "nazes" que l'objet qu'ils souhaitent caractériser. Le "naze" a la particularité de s'exprimer de manière récurrente avec des expressions du type :

« C naaaaazzz... »
« T naaaaazzz... »
« O mé kel gro naz ! » (le "naze" est aussi un Kevin)

La "nazitude" dont souffrent les "nazes" leur offre cependant la capacité d'ignorer complètement ce mal, à un tel point qu'aucun remède n'existe. Telle une drogue, la "nazitude" provoque la sécrétion d'une hormone agissant directement sur l'état du bonheur simple (d'où l'expression "imbécile heureux").

La théorie de la nazitude

Une explication simple et crédible, développée par un "naze" de la région mère, définit le circuit logique amenant au bonheur constant vécu par les "nazes" :

1. Le "naze" ignore
2. Le "naze" ne se pose pas de questions
3. Le "naze" ne connait pas le doute
4. Le "naze" est heureux!

Le "naze" est donc toujours heureux, mais ce bonheur d’ignorance pose cependant quelques problèmes car il est un frein à la communication inter-genres ("naze" et "non-naze").

Les "non-nazes" butent sur la compréhension de l’attitude des "nazes", qui s’avère être en totale contradiction avec toute logique. Leur comportement insensé, leur raisonnement bancal, leur absence de principe et leur égoïsme sans faille (le "naze" vit dans son bonheur d’ignorance et s’en satisfait au détriment du reste du monde) en font des êtres insensibles aux préoccupations, quelles qu’elles soient, des autres individus. Le "non-naze" doit avoir un désintéressement total de sa propre personnalité pour pouvoir appréhender et comprendre le "naze" sans quoi il s’expose à de gros risques de "nazitude".

Et oui, la "nazitude" est contagieuse en plus d’être génétique. L’inverse est, au grand dam des "non-nazes", faux (chose évidente sachant que le "naze" ne voit que par lui-même).

Le naze-en-chef

A. Blanchard

Parmi les grands et célèbres "nazes" de la région mère nous n’en citerons qu’un. A ce jour, il a atteint un degré de "nazitude" jamais égalé, ce qui fait de lui la référence des "nazes".

Armand Blanchard, dit "manech’", a déjà à son actif plusieurs records qu’il ne cesse de battre d’années en années. Avec une utilisation minimum du mot "naze" dans chaque phrase, et un débit verbal dépassant les 20 mots seconde, ce "naze-en-chef" présente la pathologie la plus aboutit. Ayant déjà contaminé une large gamme d’individus et dispersé sa semence génétique au-delà des frontières régionales (grâce à son célèbre coup du lapin que nous aborderons plus tard), Armand Blanchard est devenu en à peine quelques années le père de plus de la moitié de la "naze-civilisation".

Le coup du lapin

La pathologie du "naze-en-chef" s'est tellement développée qu’elle a muté pour donner naissance à un nouveau symptôme, le fameux coup du lapin (CDL). En lui offrant la capacité de diminuer ses temps d’accouplement, les rendant presque inexistants, le CDL est le facteur principal de l’augmentation du nombre de "nazes" par reproduction génétique visible sur les dix dernières années.

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Aujourd’hui, le coup du lapin est responsable de plus de la moitié des contaminations par reproduction et les experts craignent que si rien n’est fait pour stopper les dégâts provoqués par ce redoutable symptôme, plus de la moitié de la population humaine de la région mère sera atteinte d’ici 2020. Se rajoute à ça un nouveau phénomène, résultante logique du CDL, qui inquiète davantage en raison de son caractère imprévisible et, par conséquent, incontrôlable.

Le CDL est directement responsable d’une montée de frustration chez le "naze-en-chef" et sa progéniture provoquant l’augmentation de leur appétit sexuel dont l’assouvissement épuise l’ensemble des ressources humaines alentours. Reportant leur frustration sur d’autres types de ressources, les partenaires sexuels de ces "nazes" sont aujourd’hui divers et variés allant du coussin de canapé jusqu’au cerisier du jardin.

Les limites de la "nazitude" sont encore repoussées et la même question demeure sans réponse : Jusqu’où iront les nazes ?

Conclusion du non-naze

<<en construction>>

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