Oudiga-Oudigou

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« Si j'avais su qu'en venant ici, je me ferai Oudiga-Oudigouer tout ce qui était pénétrable, jamais je n'aurai osé sortir mon Oudiga-Oudigou personnel, qui me tenait tant à cœur, et que j'ai à présent en moi-même, par dieu sait quelle intervention obscure et malvenue d'odieux malotrus (tels que Paul Binocle ou bien encore Brousse SpringsPine. »

Attention, cet article parle d'un album du grand Édika.

Définition de la chose (car savoir de quoi on cause, de temps en temps, c'est bien utile, sinon, autant aller se faire Oudiga-Oudigouer) :

Un Oudiga-Oudigou utilisé de manière follement appropriée.

Splendide mot d'origine biélorusse mêlée de sang spirituel en directe provenance de la magnifique ville de Grenade, ville à ne pas confondre avec Gonades, petite ville portuaire où de nombreux marins se donnent rendez-vous sur le brise-burnes (le brise-vague étant réservé aux zones maritimes où lesdits marins chantent dansent travaillent et copulent, au lieu de triturer seuls et apeurés leurs Oudiga-Oudigous).

Le Oudiga-Oudigou, donc, désigne en un terme passe-partout et aisément identifiable, la turgescence fallacieuse et organique possédée par l'homme sain de cœur et d'esprit, à savoir le Phallus dans toute sa splendeur éthérée sévèrement burnée et parfois peroxydée à l'ammoniac (mais l'huile de coude fonctionne aussi, quoique seulement les mardis 12 du mois, ce qui avouons-le, n'arrive pas si fréquemment que ça, et arrange au final tout le monde, car c'est le jour du poisson, jour donc, au cours duquel les marins de Gonades profitent de l'occasion pour se malaxer l'Oudiga-Oudigou un petit coup... comme à leur habitude, mais sans les mains, journée exceptionnelle oblige !)

Verbation

Par voie de faits, et ça fait mal par où ça passe, surtout si la voie est double, voire triple, voire à péage, le verbe Oudiga-Oudigouer signifie donc par voie digestive : pratiquer l'acte de Oudiga-Oudigouer, copulationner, pénétrationner, le tout avec un accord préalable des tierces parties, génitales ou non, tout en gardant en tête que "à deux, c'est mieux ! ".

Allégorie et détournement d'un terme jusque là banal et "Fortapropos"

Un spécimen de Oudiga-Oudigou présupposé appartenant à Steven Seagal, ce qui expliquerait bien des choses et révélerait bien des mystères sur la vie, la mort, les chats, et tout ce qui va avec.

Par un concours de circonstances aussi rigoureux que jusqu'au boutiste, et, il faut bien l'avouer, aussi crissant qu'un dérapage de Gonado-grenado-biélorusso-biélorusses Gonades sur les pommelles jarretées et suffocantes de Philippon Eymalakson, il se trouve que le mot Oudiga-Oudigou se révèle être également la définition d'une activité nocturne de renom : la bien nommée et sempiternellement relaxante Sodomie.

Pour finir, comment ne pas citer les fameux mots prononcés par Steven Seagal lorsqu'il parlait du sens de la vie, en ce temps béni où la propreté aussi bien intellectuello-fascisante que physico-gargarisante était encore de ce monde : "Si un jour je perds la boule, il m'en restera une ! ". Citation d'une forte teneur en vitamines, oligo-éléments, et autres opiacées, qui ne manquera pas de rappeler à chacun les turpitudes de la vie et autres misères et coincements subits et spontanés de Gonades dans le Tupperware (parfois appellé slip, slibard, caleçon, ou bien encore moule-Oudiga-Oudigou).


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