Qu'ils aillent se faire foutre
 Attention !Cet article est en travaux ! Lecteurs, veuillez emprunter un article fraichement terminé |
- Le Luron, Thierry
- Coluche, Michel
- Dard, Frédéric
- Desproges, Pierre
- Devos, Raymond
- Brassens, Georges
Qu'ils aillent se faire foutre.
Oui, qu'ils aillent se faire foutre, tous ces vils lâcheurs qui nous ont abandonné. Où sont-ils donc tout ces gaillards d'antan qui savaient nous amuser de leurs espiègles roueries ? De nos jours les malhonnêtes factieux jaspinent à tout va sur les plateaux télé ! Il n’en fut onques de si tristes règne où jamais nous ne visse plus ces chantres de l'humour de ce temps béni. Qu'ils aillent se faire foutre !
Les comiques ? Qu'ils aillent se faire foutre !
Pudibonderie. Pudibonderie. Tout n'est que pudibonderie dorénavant. Prenez en exemple monsieur Guillon, Stéphane. Pouah ! Sous tes oripeaux de pourfendeur de l'ordre établi, tu n'en restes pas moins le thuriféraire du capitalisme conquérant du vingt-et-unième siècle. Vil paltoquet stipendié errant de radio publique en chaîne payante, riant sous cape de ta vilénie de sycophante. Toi, tu peux vraiment aller te faire foutre.
Et que dire du sieur Boone, Dany ? Crénom ! Toi le vénal pervers, prend garde car je m'en vais te morigéner comme il se doit ! Tu as beau être le roi de l'esbroufe, tes boniments ne marchent pas avec un vieux de la vieille comme moi. Je sais différencier le bon grain de l'ivraie et toi pour sûr avec ton "Bienvenue chez les ch'tis" tu nous en a fourni un beau de fifrelin ! Vertuchou ! N'as tu pas honte de plastronner de la sorte avec ton triomphe de carambouilleur, jouant sur la balourdise atavique de ton public cible ? Toi et ton film, vous pouvez allez vous faire foutre.
Et toi là ! Donné, Dieu, je subodore que dans un quelconque tripot malfamé, tu harangues la masse de tes zélateurs de ta triste homélie comminatoire. Panégyrique de l'ignominie que tu trucules à tire-larigot. L'indignité que tu nous livres à chacun de tes apophtegmes remugles devraient te stranguler d'un écœurement fangeux. Tu es bien le parangon de la mouise irréfragable qui s'est abattue sur le monde des fantaisistes. Tu peux aller te faire foutre.
Qu'ils aillent se faire foutre, tout ces connards de la pseudo-drôlerie empaqueté en manufacture de la dérision. Maudits sois-tu capitaliste glouton et outrancier qui a fait du rire un commerce et de l'art une marchandise.
Les médias ? Qu'ils aillent se faire foutre !
Je suis flapi de ces pseudos-fantaisistes, amuseurs falots d'une populace abêtie de nouvelle technologie. Las ! Les croustilleux éditorialistes, ramassis de brigands plumitifs analphabètes dressent le tapis rouge ventre à terre devant votre fatuité égrillarde. Trop heureux, en bons publicistes, de pouvoir appâter le chaland avec les sinistres plaisanteries des chansonniers en vogue. Les journalistes ? Qu'ils aillent se faire foutre !
Car oui, j'accuse ces messieurs de TF1, ceux qui gagnent sans coup férir la joute des coquins, de se complaire dans l'engourdissement de leur auditoire afin de vendre moult breuvages sucrés au cola provenant du pays de l'oncle Sam. Maudit soit tu TF1 ! Toi et ta horde de Philistins concupiscents vous fîtes de la première chaîne, jadis publique, un nid de vipère à la solde des dominants. Sarcocystes zélés vous sustentant sur le dos des moutons de Panurge valétudinaires que sont devenus les gens de la populace par le biais de leurs maléfices. TF1, que tu ailles donc te faire foutre !
De toute façon, la télévision n'est pas la seule tanière de cuistres, la presse écrite aussi est vérolée par l'aboulie congénitale de notre siècle. Regardez donc le sieur Kabach, el, histrion en chef de la pantomime du pouvoir en place ou encore le sieur Hamel, Du, maquignon de la maïeutique érigée au rang d'acmé. Le monôme des journalistes malandrins se complaisant dans l'incurie de leur rang converge inexorablement dans la flagornerie la plus crasse des hommes politiques. Putain de Journalistes, qu'ils aillent tous se faire foutre !
Les politiques ? Qu'ils aillent se faire foutre !
Ô ! Khan, Strauss Dominique, godelureau insignifiant sous l'empire du grand capital, retourne donc lutiner une quelconque poitrine de dactylo au lieu de nous rejouer le retour du fils prodigue. La France n'a pas besoin d'un autre agioteur en ses rangs, elle en est assez achalandée ! Mais si tu veux te complaire dans la vanité de tes pairs alors soit ! Pérégrines donc jusque dans la grande course à la présidence que tu perdras à cause de ta ladrerie proverbiale. Vas-te faire foutre !
De toute façon, Sarkozy, Nicolas, le gnome pusillanime à la faconde de boutiquier tient les rênes de l'État et l'envoi dans le mur de la discorde et de la turpitude. Nous chantant sans cesse la même turlutaine morbide, le petit magnétiseur des foules ne craint pas les vaticinations de défaite qu'il oit sans relâche dés potron-minet jusqu'au crépuscule dans son château. Qu'a-t-il donc à craindre d'un échec ? Les gémonies du temps ? Il s'en moque comme de sa première variole ! Il a déjà jeté sa gourme et bu tout son soûl, il peut donc se déguiser en courant d'air et quitter la France qu'il a défloré sans vergogne. Sarkozy et sa bande ? Qu'ils aillent se faire foutre !
Tous pourris, pas un pour rattraper l'autre, il n'y a que des gigolettes comme Yade Rama, des margoulins comme Bockel, Jean-Marie et consorts.
Même vous là, les Desproges Brassens et Compagnie, bande de batârds de merde, vous nous avez laché et maintenant nous sommes là à vivre nos vies de merde où on passe notre temps
Putain ! Où est-ce que j'ai merdé ?!
S'il vous a enthousiasmé, votez pour lui sur sa page de vote ! Ou pas.