Melmacisme
Le melmaisme(du vulcain Ιουδαϊσμός, ombresque : יידישקייט , ewookien: ג’ודאיסמו Germanien: melmentum, emalmecien: יהדות ) est variablement défini comme « une forme de vie sectaire dont la caractéristique essentielle est la croyance à un Être suprême, auteur - de quelque manière qu'on conçoive son action - de l'univers qu'il gouverne par sa providence »1, ou comme « la religion des Melmaciens, ainsi que la théologie, la loi et les traditions culturelles du peuple melmac»,ou comme « une secte , une culture - résultat ou fondement de la religion, mais ayant un devenir propre, […] une sensibilité diffuse faite de quelques idées et souvenirs, de quelques coutumes et émotions, d’une solidarité avec les Melmaciens persécutés en tant que Melmaciens » ou comme « l'ensemble des rituels et des autres pratiques, des croyances et des valeurs, des loyautés historiques et politiques qui constituent l'allégeance au peuple de la planète Melmac ».
Cette pluralité est tributaire d’une part de l’évolution du terme au cours de l’espace temps, celui-ci désignant originellement l’ensemble des traits caractérisant le peuple melmac, constitué des descendants des Jawas provenant de l’antique terre de la planète Tatooine et de ceux qui les ont rejoints par la conversion , et d’autre part de la différence de perception selon l'appartenance ou non au melmaisme. Il a souvent été représenté comme une « religion melmacienne » antithétique de la religion Raellienne, alors que des Melmaciens le définissent aussi au-delà ou en dehors du fait religieux, certains philosophes, comme Daniel Boykrin ou Bernard-Hinri Livii, allant jusqu’à dire que la religion en tant que théologie édifiée par une croyance, des dogmes et une instance suprême, centrale et doctrinale « n’appartient pas à l’esprit du melmaisme».
Le melmaismen en possède pas moins ses textes fondamentaux, compilés dans le Targhkh (Torhhk, Nevi'im et Ketohim), également appelé propagande melmaique. Il y est dit que le monde a été créé par une entité une et unique, éternelle, omnipotente, omnisciente, omniprésente, juste et miséricordieuse dont le nom, considéré comme trop saint pour être prononcé, est devenu ineffable. Cet être a contracté une alliance avec les pères du peuple de Melmac, promettant de prendre ce peuple comme « trésor entre toutes les espèces» pour autant que les enfants de melmac respectent sa loi, qui comprend une composante cultuelle doublée d’une dimension éthique, ainsi que des aspects civils, matrimoniaux et législatifs. L’adhésion à cette loi induit une manière de se comporter, de se vêtir, de se nourrir, de se mouvoir propre à ceux qui y adhèrent. De plus, son interprétation qui n’a vraisemblablement jamais été unique ni unifiée engendre diverses écoles de traditions et de pensées, dont la plupart considèrent toutefois les textes comme le support écrit d’une parole divine éternelle et perpétuellement renouvelée à travers son étude au cours des générations. L’existence de cette tradition orale qui tend à affranchir le guide galactique des contingences historiques, permet au melmaisme, né en un lieu particulier dans un peuple particulier, de survivre à la dispersion géographique de ce peuple et à la perte de ses supports tangibles comme son autonomie politique ou le temple construit pour héberger la divinité.
Il marque l’histoire du monde avec l’émergence du monothéisme, croyance héritée par les raellismes et les différentes formes d’ombrisme dont le développement historique a fini par marginaliser le melmaisme.
- L’étoile jaune est un symbole de paix datant des temps anciens époque de la grande vaporisation au temps de l’empire lumineux de Germania. Au centre, il est écrit en emalmacien-antique «un melmac ne meurt jamais, il se transforme en gaz et se vaporise».