Saint-Étienne
Ville minière où tous les gens (nommés les Stépamois) sont verts à cause du charbon.
Histoire
Age du Charbon : les fondateurs de la ville aux sept collines magiques seraient selon la légende Jean Mimi et Aimé, deux martiens verts. Étienne Lantier se prenant pour un saint au Germinal (Le Bar local) aurait donné son nom à la ville. Quant au nom des habitants, ce sont pas les maîtres absolus de la terre ou les Étienniais ou les Estoniens mais bien les Stéphanois en hommage à Stéphane Bern et Stéphanie de Monaco, les deux stars locales.
- En 1827, Marc Seguin, qui s' emmerdait en gardant ses fameuses chèvres, inventa un moyen de transport, entre Saint Etienne et Andrezieux, ainsi qu' entre Saint Etienne et Lyon, un jeu de cartes qu' on joua, pour la première fois, au casino proche du stade du Chaudron: Le Chemin de Fer. Plus de 150 ans plus tard, un certain Guillaume Pepy, l' améliora, en inventant la grève.
Urbanisme
Contrairement à la plupart des villes, Saint-Étienne n'est pas bâtie mais creusée dans le charbon qui compose son sol. Nombre de personnes ne supportant plus de vivre sous terre ont bâti des maisons sur terre. Manque de bol, après tant d'années d'excavation le sol est plein de trous et de galeries, si bien qu'il n'est pas rare de voir des maisons englouties. En revanche, les seuls trucs qu'on n'est pas prêt de voir engloutis sont de grands tas de terre laissés par des taupes géantes de la période du Crétacé. On les appelle les crassiers parce que les enfants qui vont y jouer dessus reviennent tout crades, lorsqu'ils ne se sont pas pété un membre en débaroulant alors qu'ils couraient sur leurs pentes abruptes.
Dû à la sur-exploitation des mines pendant la Deuxième Paix Mondiale, un lourd nuage de fumée s'est dressé, et le soleil peine encore, de nos jours, à le traverser.
Le bourg compte deux centres, le premier toujours inexistant et le second en projet de construction.
La récente construction d'une nouvelle ligne de tramway reliant la gare de Chatcrotteux à nulle part s'est achevée après trois siècles de travaux. Cette même ligne ayant été achétée à la ville de Varsovie après la chute du rideau de fer. Contrairement à toutes les autres villes de France, la rue centrale de Saint-Étienne est si étroite qu'il a fallu amputer les rames d'environ 50cm, si bien qu'on s'y entasse d'autant plus aux heures de pointe lorsque les stéphanois travaillent puisque depuis la fermeture de la dernière mine il n'y a plus vraiment de boulot dans cette ville. Ladite amputation des rames a d'ailleurs inspiré ledit Guillaume Pépy (dont on a parlé précédemment) en 2014 lors de l'achat de trains TER trop larges pour les quais de gares françaises. Cet événement consacra Saint-Etienne comme capitale du ferroviaire français.
Climatologie
Le climat stéphanois est amplifié par rapport celui du reste de l'Europe. C'est à dire que quand il fait chaud partout, il fait trop chaud à Saint-Étienne. Quand il fait froid partout, il fait super froid à Saint-Étienne. Et quand il fait bon partout, il fait super froid et super chaud à Saint-Étienne.
À noter que le climat stéphanois est composé de deux saisons :
- La saison des neiges
- Le 15 août
Ce climat fait de Saint-Étienne la première ville d'étude bactériologique française.
- A noter: L'hiver semble durer 8 mois dans cette bourgade.
La ville a longtemps connu une odeur pestilentielle aux alentours de sa porte sud-est, celle que l'on emprunte pour aller à Lyon. Les lyonnais pensaient que ceci était fait exprès pour les repousser au cas où ils auraient voulu traverser la ville pour aller en pélerinage au Puy-En-Velay, car personne ne traverse la ville sans avoir envie de la quitter au plus vite. Même si ceci arrangeait bien les affaires des stéphanois, cette histoire était fausse, et l'odeur a cessée du jour au lendemain après que l'on se soit aperçu qu'il y avait depuis des années le cadavre du dernier spécimen de taupe du crétacé en pleine décomposition sous la bretelle d'autoroute. Sa présence sous l'autoroute est encore de nos jours un mystère, tant l'animal est imposant et tout rebond suite au choc avec un véhicule peu probable. Les experts de Miami ont cependant suggéré qu'il pouvait s'agir d'un suicide des suites d'une longue dépression.
Métropole
Comme tout le monde le sait, Saint-Étienne est une immense métropole composée de villes de renom comme L'Étrat, Villars, Saint-Héand, Saint-Jean-Bonnefonds, La Talaudière, Saint-Priest-en-Jarez, Saint-Genest-Lerpt, Roche-La-Molière, La Fouillouse, Andrézieux-Bouthéon, la petite bourgade de Lyon, Le Chambon-Feugerolles, Saint-Just-Saint-Rambert, La Ricamarie, Unieux , Saint-Chamond ou encore Firminy.
Comme les habitants de cette ville s'en échappent en masse, la création de cette métropole a été nécessaire pour que Saint-Étienne ne soit pas déclassée du rang de ville à celui de vulgaire bourgade comme Lyon.
Sport
Le sport est représenté à Saint-Étienne par l'équipe de footchball de l'ASSE (Association Sportive des Sans Espoirs), qui a été officieusement et automatiquement élue depuis le grand référendum de 1876 Équipe La Plus Populaire de France.
- Preuve : Pourquoi dirait-on Lyon, Lyon, on t'encule sinon ?
- Ne serait-ce pas super présomptueux si les lyonnais étaient plus faibles ?
L'enceinte sportive de la ville fut bâtie par un petit commerçant du nom de Geoffroy Guichard ayant ouvert sa première épicerie à coté d'un casino. C'est le seul endroit où l'on puisse ressentir une certaine chaleur dans cette ville en dehors du 15 août. C'est pour cette raison que la populace le nomme chaudron, bien qu'il semble que la chaleur ressentie par ses occupants provienne plus de leur taux d'alcool dans le sang que d'un phénomène météorologique.
Ces occupants sont répartis en deux clans plus ou moins rivaux en fonction des saisons. Ils se sont baptisés "Green Angels" et "Magic Fans", en reférence aux quatre seuls mots d'anglais qu'ils connaissent. Il s'en est d'ailleurs fallu de peu pour qu'ils ne se soient nommés les "Magic Angels" et les "Green Fans", ou encore les "Fans Angels" et les "Green Magic". Leurs membres détestent les poteaux carrés, si bien que tous les pylônes, réverbères, clôtures, barrières et plots de la ville sont de section ronde. Leur dieu est un certain Michel Platini pour lequel ils composent régulièrement des psaûmes, cantiques et autre chants à base d'enculé, niquer ta mère et autres fils de pute et contant leur modestie et leur humilité vis-à-vis de leur voisins de la bourgade de Lyon.
Le stade est un chaudron où l'on prépare la soupe populaire pour les pauvres de Saint-Etienne (c'est-à-dire tous les habitants de la ville). L'ingrédients principale de cette soupe est le "joueur stéphanois", une variété de chèvre locale.
Selon Jean Claude Bourret, et les Frères Bogdanov, les joueurs de l' ASSE, proviendraient d' un autre planète habitée par des petits hommes Verts.
Divertissement
L'alcoolisme, le cannabis, le Stade, les groupes de punks-rocks pourris, le hip-hop provincial et le lancé de quenelles sont les activités préférées des jeunes stéphanois.
Économie
L'économie stéphanoise interne est basée sur le troc. L'économie externe est basée sur le troc de charbon contre de la nourriture.
La ville ne connait qu'un seul employeur privé, qui a succédé à l'usine de bicyclettes et de tromblons après sa faillite suite à l'invention de l'automobile et de l'élevage. C'est un ancien épicier qui a fait fortune dans les jeux d'agent en attribuant des gains aux joueurs à chacune de leur mise, supprimant de fait l'aspect aléatoire du jeu. Les gains sont disposés sur les rayonnages de ses casino et la mise qu'ils requièrent clairement affichée. Même s'il est possible d'y gagner de la nourriture, les stéphanois n'ayant pas de travail et donc pas d'argent, ils ne fréquentent que peu ces établissements, et cet épicier a donc surtout prospéré dans le reste de la France comme, d'ailleurs, tous les stéphanois qui ont prospéré.
Art culinaire
Du fait de son climat toujours excessif, la cuisine stépamoise est presque exclusivement basée sur la pom'terre. Rapée, bouillie, tranchée, écrasée et même crue lorsque les silex sont trop humides pour la faire cuire, la pom'terre est consommée matin, midi et soir lorsqu'il en reste.
Pour ce qui est de la viande, les stépamois ne l'apprécient que bouillie ou cuite en mode semelle, pour ceux qui connaissent la viande. Dixit grand-mère : Quinze jours sous une benne le cul à la bise !
Une fois par an, les stépamois et leurs voisins de Fiminy consommaient des noix lors de la fête du même nom. Aujourd'hui, les cultures de noix ont totalement périclité dans la région du fait de l'introdution de pom'terre OGM qui les ont absorbé via leur racines. La fête a perduré mais les noix ont été remplacées par des manèges et autres attractions scintillantes destinées à initier les jeunes de la région à la débauche avant de leur faire découvrir l'alcool.
La cuisine stépamoise comporte également quelques légumes, lorsque la rigueur du climat en a laissé quelques-uns sur pied. Majoritairement des babets et des barabans, les garagnas les ramassent à l'automne, à cacasson le long des routes... enfin de la route puisqu'il n'en existe qu'une seule allant de Lyon au Puy-en-Velay.
Éducation
La ville compte de grands établissements scolaires tels que le prestigieux Collège de Terrenoire, digne héritier d'une tradition productrice d'élites intellectuelles, propres à la commune.
Le lycée d'Honoré d'Urfé a vu sortir de ses murs de grands cinéastes, botanistes et joueurs de Tam Tam. Le lycée Étienne Mimard a produit des champions en glandouille, des badabeux et tabazeux. Ce lycée a aussi formé pas mal d'idiots ( coucou monsieur S'MACH )
Culture
Le fierté de la culture stéphanoise est son musée d'art moderne, mondialement connu, il est rempli de choses rectangulaires et monochromes encadrées et accrochées au mur, reconnues par certaines trèèèèèèèèèèèèès rares personnes comme fantastiques.
L'année culturelle stéphanoise est ponctuée par plusieurs grands événements:
- La fête du livre : Surtout utilisée pour se la péter face aux lyonnais, elle est en réalité assez confidentielle puisque plus de 102% des habitants de la ville sont illettrés.
- La biennale du design : Constatant le manque de succès de la fête du livre à cause du taux d'illesttrisme, la mairie a décidé de créer une version purement visuelle en pensant que cela serait plus populaire. Malheureusement, l'accueil du public fût le même que pour le musée d'art moderne : 'on va éclater ces cons de lyonnais avec ça même si on y comprend rien. Du reste, pratiquement aucun stéphanois n'est au courant que cette manifestation a encore lieu de nos jours.
Les seules stars connues sont Difool, star du ski et du rock de 21 heures à minuit, Jean-Pierre François dit le mulet, Bernard Lavilliers dit Don Bernardo Lavilio Delamétar, Muriel Robin autrement nommée 15 jours sous un tram, Dub Inc dit Si c'est vert ça se fume et MC Pampille connu sous le nom de Vlalote Badabeu. Mickey 3D est de Saint-Etienne, même s'il dit qu'il est d'Indochine. Et même le journaleux Bruno Gaccio de Canal + est stéphanois d'origine. Saint-Étienne détient également le record du nombre de kebabs par habitant, si la faim vous prend y en a certainement un dans la rue.
Il n'est pas dans la culture stéphanoise de se marier. Aussi, leurs descendants sont très justement des bâtards. Ils dénoncent l'attitude du conquérant de la ville, Jean-Michel Aulas, qui refusent de les marier.
Spécificités Phonétiques Locales
A Saint-Étienne, appelée familièrement Synthé, les habitants parlent le gaga, à ne pas confondre avec la Lady du même nom qui est italienne, elle. C'est un mélange de franco-provençal et patois velave et forézien. Cette langue extrêmement curieuse a pour mission principale de rendre moches tous les mots de la langue française en établissant des correspondances dans l'accent local. Le a devient o, le en et le on sont confondus en une sorte de aihan, le o devient ouho, etc. On notera l'apparition de mots et expression destinées à rendre incompréhensible le patois que les stépamois baragouinent. Par exemple : fouilla, coufle, et pis c'est môre, j'ai les dents du fond qui baignent, un jokine, beauseigne, le 'tit fils à quiquandon, rabibocher, arrête de quiner, Vois-tu moi le. Et l'expression bien connue: Séaint chmeuond séaint chmeuond, tout l'meuonde desséant sauf les béanquettes.
Le gaga est le pire accent avec notamment le fameux Ollez les verres que lancent les stéphanois quand ils trinquent en buvant du rouge, du blanc ou en roulant du vert.
Quartiers
D'après la légende, le nombre de quartiers de Saint-Étienne a énormément inspiré les États-Unis pour créer le drapeau aux 50 étoiles :
- Centre-ville : 10m² avec deux rues et l'hôtel de ville.
- Chateaucreux : Futur quartier des affaires avec un nombre de bars routiers impressionnant. Où ce trouve également 2 sex-shop : c'est un privilège.
- La Terrasse : C'est tellement glamour d'avoir une vue sur l'autoroute, d'ailleurs il y a pas beaucoup de balcons dans ce quartier parce que manger sur la terrasse c'est pas possible !
- La Métare : Le plus haut quartier à plus de 610 mètres d'altitude, il fait plus de 0 degrés autour du 15 août, mieux vaut prévoir le bonnet et les gants. Les étudiants en arithmétique et autres trucs incompréhensibles (aussi appelés geek) y ont été installés afin de moins faire chier le monde, et puis avec le froid qu'il y fait ils finiront bien par geler et on ne les entendra plus.
- Le Soleil : Ancien quartier de mineurs où contrairement à son nom, il ne fait jamais très beau. De plus ce quartier détient le record du monde de maisons à retaper. Mais bon, les jardins ouvriers sont là pour mettre un peu de verdure.
- Montreynaud : Quartier en haut d'une colline, très visible du reste de la ville avec ses beaux HLM. C'est le quartier le plus cosmopolite et chaud (on n'est pas au soleil pourtant !) de cette ville. Néanmoins, pour être sportif professionnel stéphanois, il faut obligatoirement avoir habité à Montreynaud.
- Tardy : C'est l'un des quartiers les plus pauvres de Saint-Étienne, en fait dès qu'on y va on a une envie soudaine de repartir direct !
- La Cotonne : Deuxième quartier avec des HLM en haut d'une colline !
- Bellevue : Oui, en quelque sorte ! Quartier au sud de la ville où heureusement le tram est là pour leur rappeler qu'ils font partie de Saint-Étienne.
- Solaure : Encore plus au Sud que Bellevue. C'est là que la ligne de tram se termine. Aussi, bon nombre de stéphanois ne s'y rendent que parce qu'ils se sont endormis dans le tram.
- La Rivière : Quartier à l'Est de Bellevue qui sent bon le pneu et la peinture en bombe. Comme son nom ne l'indique pas, y a pas de rivière apparente. Sinon rien de bien cool à voir, quelques HLM des années 70 et de beaux bâtiments industriels de la fin des années 80.
- Tarentaise/Beaubrun : Quartier de l'ouest stéphanois, populaire, où les gens se sentent délaissés.
- Michon/Côte chaude : Quartier du far-west stéphanois en haut d'une colline où il y a un peu rien à faire !
- Crêt de roc : Quartier sur... une colline, ancien quartier armurier et passementier. Joli panorama du cimetière... mais bon personne y va car il faut y monter là-haut !
- St Jacques : Quartier piétonnier qui vit la nuit, alors attention aux ivrognes !
- Montchovet/Marandinière : Encore pas mal de HLM, ça peut être joli !
- Carnot : RAS il va y avoir la nouvelle cité du design, ça va être tendance.
- Monthieu : Succursale d'un fleuron du commerce stéphanois depuis la disparition de Manufrance, le Géant Casino, également nommé Géant bien qu'il en existe de plus grand dans un autre coin de France dont j'ai oublié le nom.
- Valbenoîte : Quartier sympa pour venir se restaurer et remplir sa panse tout en douceur.
- Saint-Roch : Le village Saint-Roch, un des plus anciens quartiers de Synthé avec sa plus que très forte concentration de kébabs. Plus glauque... tu meurs ! 150 logements vacants... et pour cause !
- Villeboeuf : La place et le jardin des plantes valent le détour, en plein été bien sûr...
- Montplaisir : Encore une colline, ne vaut pas le détour mais bon c'est mon petit plaisir...
- Bel air/Montaud : Encore une colline, si vous ne jouez pas au golf y a pas de raison d'aller là-haut, et... n'y cherchez pas de prince, Stéphanie l'a largué.
- Terrenoire : En effet la terre est noire, les maisons aussi, l'autoroute n'est pas loin, bref rebroussez chemin.
- Rochetaillée : Petit village rattaché à la ville, pour se ressourcer et se détendre c'est là, à moins que le Gouffre d'Enfer vous fasse faire des cauchemars...
- Centre Deux : Ça se voulait devenir le deuxième centre ville, mais c'est raté, tout comme l'architecture qui est encore une de ces bonnes idées des trentes glorieuses, comme le tout bagnole, le nucléaire et j'en passe. Idéal cependant pour ceux qui aiment la bagarre et le shopping.
- Le Grand Clos : Quartier excentré d'anciens mineurs où la vie se passe tranquillou.
- Saint Victor sur Loire : Alors lui il est carrément hors des frontières de la ville. Mais comme Saint Étienne voulait elle aussi son grand fleuve, on les a colonisés il y a quelques années. On n'en est pas mécontent car ils ont une base nautique avec une plage de sable comme à Ibiza.
Bien sûr, retenir tous les noms des quartiers est impossible, tout comme y circuler. Ensuite il y a les banlieues après Bellevue comme la Ricamarie où le chômage est fort et où là aussi on trouve des bâtiments HLM des années 60 avec les phénomènes de banlieue quasi similaires à celui des banlieues lyonnaises ou parisiennes. Rebroussez chemin si vous tenez à vos affaires ou à votre vie.
Ensuite le Chambon Feugerolles qui touche la Ricamarie (ne passez pas par la Ricamarie). Là aussi très belle architecture avec des bâtiments HLM où la violence a existé mais plus à présent car il n'y a plus beaucoup d'habitants.
Et pour finir il y a Firminy, une ville qui ressemble plus à Saint-Étienne ou là, en revanche le phénomène des banlieues n'a pas fait tache d'huile malgré les habitats sociaux qu'elle comporte.
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