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{{Q|Fumetto ergo sum.|Première phrase du livre la ''Philo selon Bob''.|}}
{{Q|Ne fume pas de cigarettes, cette saleté industrielle pleine de produits toxiques et mortels. Fume de la marijuana, c’est de la bonne herbe naturelle.|Bob Marley|}}
{{Q|Pourquoi boire et conduire quand on peut fumer et planer ?|Bob Marley|}}
{{Q|Ne fume pas ces merdes de clopes car tu n’as que deux poumons. Fume de l’herbe car tu as des millions de neurones inutiles.|Bob Marley|}}
{{Q|J’avais envie de voyager mais je n’avais pas d’argent. Alors je fumais un joint et je voyageais toute la journée.|Extrait des ''Confessions de Bob''.|}}
{{Q|Aaargh, putain c’est pas du sang de pucelle!|[[Dracula]] après une morsure sur Bob Marley.|}}
{{Q|Moi je vais vous apprendre à voler sur la piste avec votre BoB! Allez hop tirez une latte les mecs !|Coach Bob aux Rasta Rockets.|}}
{{q|J'suis allé au marché. J'ai acheté un bob, car quand je l'ai essayé, j'ai trouvé que le bob m'allait.|Chanson traditionnelle antillaise|}}
Robert Marley Jose Michael Boccadoro Dorothy Kingston, dit Bob Marley, était un [[Valérie Damidot|jardinier]], [[Jean-Jacques Rousseau|philosophe]] et [[William Sheller|chanteur]], originaire de [[Jamaïque]]. Il est également reconnu comme le plus grand prophète jamaïcain, il faut dire aussi qu’il fut le seul. Il a également été [http://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9gus Négus] d'[[Éthiopie]] et [[Pape]] sous le nom de [[Benoît XVI|Overdose XVI]].
{{Savoir|Il créa ce qu'on appelle aussi "le Bob", qui est un style de roulage fortement conique, mais également un [[chapeau]] ridicule pour touristes [[Allemand]]s.}}
Il est considéré comme le père du [[Reggae]], l’oncle du [[Allô Bière Shit|Ska]] et le grand-père de la petite [[Cannabis|Marie-Jeanne]]. Dans les dernières années de sa vie, il a été l’entraineur de l’[[Histoire du boycott aux Jeux Olympiques|équipe nationale de Bobsleigh de Jamaïque]], les célèbres Rasta Rockets.
== Biographie ==
=== Enfance ===
[[Image:Meduse10.jpg|left|thumb|180px|Qui sont ces serpents qui sifflent sur ma tête? À coté de cette folle, Véronique Courjault est une mère poule.]]
Bob Marley est le fruit de l’union d’un dieu, un certain [[Zeus|Jah]], et de la mythique [[L'Odyssée|Méduse]], la nana [[Ségolène Royal|hystérique]] avec la [[Coupe des Coupes|coupe]] de cheveux pleine de serpents. Et justement toutes ses vipères faut s’en occuper comme des bébés, les faire bouffer ou changer leurs couches sinon elles lui chieraient sur la gueule toute la journée à Méduse. Alors pourquoi Méduse s’encombrerait-elle d’un chiard conçu accidentellement au cours d’une [[La fête à neuneu|beuverie de soirée]] trop [[Comment se saouler avec une bière sans alcool ?|arrosée]] d’[http://fr.wikipedia.org/wiki/Ambroisie_%28mythologie%29 ambroisie] ? Elle projeta de [[Bébé mort|bouffer]]<ref> ou de le congeler le temps qu'elle ouvre son livre de recettes</ref> le petit Bob mais son père [[Poséidon|Jah]] intervint ''in extremis'' pour le sauver.
{{Q|T’avais qu’à pas oublier de prendre ta pilule aussi. Et puis si j’avais su je t’aurais même pas sauté, putain tes serpents m’ont mordu quand t’as joui! Alors fait pas chier, bouffe pas le marmot, envoie le sur Terre, un grand destin l’attend !|Jah|}}
[[Image:Bob marley enfant.jpg|right|thumb|120px|Bob Marley bébé.]]
Un pauvre [[Gérard Schivardi, l'épopée d'un roi ou Comment devenir empereur quand on est un cul-terreux|paysan]] découvrit le petit Bob dans un champ de cannabis, enroulé dans un joint de [[Cannabis|marijuana]] et enveloppé de langes en fibre de chanvre. Bob passa une enfance heureuse entre les [[Afrique du Sud|fusillades]] dans les rues de Kingston et les vols à l'arme blanche contre les [[Japonais|touristes]] sans méfiance sur les plages de l'île. On pourrait penser que tout cela le rendrait insouciant mais non, dès son plus jeune âge, il s'intéressa à de graves problèmes tels que :
* L'injustice de l'[[Esclavagisme|esclavage]] il y a deux siècles.
* Les [[Armée de terre|racines]] (principalement les carottes et pommes de terre).
* La situation politique en [[Éthiopie]].
* La [[Mafia|corruption]] à Babylone.
* Le prix exorbitant du [[haschich]].
Ces méditations [[René Descartes|métaphysiques]] influencèrent énormément sa vie entière, et pas seulement la sienne.
[[Image:3330237998 c95094147c.jpg|right|170px]]
Au cours de sa jeunesse, Bob a travaillé comme 99,9% des habitants de l'[[Île de Pâques|île]] sur la principale source de revenus de la Jamaïque : l'[[Agriculteurs moldavo-soviétiques|agriculture]]. Bien qu'il aimait travailler dans les champs, il se mit à [[Désirs d'avenir|rêver d'un avenir meilleur]]. Ainsi à l'âge de 33 ans, il rallia ses fidèles amis : [http://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_Tosh Peter Tosh] (Peter, tu es pierre et sur cette pierre je bâtirai mon église), [http://fr.wikipedia.org/wiki/Bunny_Wailer Bunny Wailer], [http://fr.wikipedia.org/wiki/Marcus_Garvey Marcus Garvey], [[Docteur Zoïdberg|Doc Gynéco]] et quelques autres nègres.
Il prit un [[pain]] de shit d'un kilo, le rompit et le distribua en disant : ''« Prenez ceci et fumez en tous, ceci est mon corps et demain on va se faire un gros paquet de fric! »'' Le lendemain, il signa un [[Bernadette Scoubidou|miraculeux]] contrat de plusieurs milliards avec Adidas qui sponsorisa tout de lui : de la [[Guitare électrique|guitare]] au chapeau, du [[slip]] aux mégots.
=== Le succès ===
[[Image:Bob Marley & Homer Simpson.jpg |right|thumb|180px|Bob en concert à Springfield.]]
Sponsor ou non, percer dans le monde de la musique n'était pas facile pour un [[Comment passer au Plus Grand Cabaret du monde grâce à vos attributs génitaux|noir]] qui ne savait même pas écrire son nom et était donc incapable de se faire mousser en signant des autographes à ses dindes de groupies<ref>[[Tokio Hotel]] a depuis prouvé qu'on pouvait être analphabète et réussir</ref>. En plus dans les années 70, [[Nouvelle Star]] n'existait pas, pas plus que la [[UMP|HALDE]], l'organisme qui réussit à trouver du [[Promotion des métiers dont personne ne veut|travail]] même au plus [[Jean Sarkozy|médiocre]] des métèques.
Bob avait grandi en écoutant la musique diffusée par les stations de radio du sud des [[États-Unis]], les seules qu'il réussissait à capter avec son récepteur bricolé avec des feuilles de [[Banane|bananier]] et des coquilles de noix de coco liés par des tiges de [[cannabis]].
Avec une réception aussi merdique, tu penses bien qu’il en eu une écoute entrecoupée et qui grésillait. Il mélangea alors ce qu'il entendait de façon arythmique : du [[jazz]], [[rock]], [[rap]], gospel, [[blues]] auxquels il ajouta une paire de tam-tam jamaïquains pour créer une [[Anguis au vert|bouillie]] sonore disharmonieuse d’un genre nouveau : le [[Reggae]].
Bob Marley participa en 1962 à une audition avec un célèbre producteur de musique nommé [[Gorille|King Kong]] qui, captivé, hurla tout en tapant avec ses poings géants sur son torse au rythme des Tam-tams. Puis il prit Bob dans ses bras et l'invita dans son studio situé au sommet de l'Empire State Building à [[New York]] pour enregistrer un album.
Un album bien fumeux et pompeux que justement il composa en pompant fort sur son joint et au prix d'une grosse [[masturbation]] intellectuelle : ''Babylon by bus''. Un concept-album dédié à la vie de merde des travailleurs [[Paris|parisiens]] qui quotidiennement attendent un métro qui ne passe jamais au milieu des [[Les putes de l'autoroute|putes brésiliennes]], des [[Steevie Boulet|travelos]] et de la [[Étude sociologique de la racaille|racaille]] métissée. L'album eut un succès fracassant et en vieux [[renard]] Bob pensa de suite à en faire un nouveau<ref>il faut fumer son joint quand il est encore chaud comme dit l'adage jamaïquain</ref>. Alors il publia l'album ''Exodus'' qui racontent les [[La méthode Ponce Pilate|souffrances atroces]] d'une famille de vacanciers franciliens qui pour aller en vacances à [[Cannes|Saint-Tropez]], affronte la terrible A7 en plein mois de juillet.
Ce fut l'apothéose, un succès immense, des milliers de jeunes partout dans le monde se mirent à chanter ses chansons, à ne pas se laver les cheveux<ref>l’industrie du shampoing s’effondra</ref> et à se rouler des joints. Les chansons de Bob se dispersèrent comme de la fumée aux quatre coins du monde répandant partout un message de joie, d'amour et de [[cannabis]]. Ou peut-être seulement de cannabis.
[[Image:Gclintonmug1.jpg|200px|left|thumb|Bob Marley après son lifting]]
=== Les dernières années ===
[[Image:Cène rasta.jpg|280px|right|thumb|Le dernier repas de Bob en compagnie de ses fidèles apôtres.]]
Pendant ce temps, les années ont passé, les cheveux sont tombés et Bob à 37 ans en faisait 70 à cause de son abus de tétrahydrocannabinol. Il composa ses dernières chansons dont ''I smoke the sherif'', un crime qui lui valut un bref séjour en [[prison]]. Puis il donna son dernier concert jubilé lors du festival de [[Woodstock]] devant 500 000 [[rasta]]s tout acquis à sa cause.
Finalement, il se retira pour prier et méditer dans le jardin [[zen]] de la Ganjah. On l'y trouva mort le 11 mai 1981, il venait de fumer une [[Pudding à l'arsenic|Marlboro]] qui avait mystérieusement atterri dans son paquet de joints. On raconte qu'en réalité il s'agissait d'une vilaine plaisanterie de son fidèle disciple reggae-man Peter Tosh, dit [[Judas]], qui jaloux de son succès voulait se débarrasser de lui. Toujours est-il que le simple contact avec du [[tabac]] dépourvu du moindre effet stupéfiant fut trop pour son corps de rastaman et le tua sur le coup. On l'enterra sous un [[Arbre Vraiment Immense|arbre]] de la forêt de Ganjah jamaïquaine. Trois jours plus tard ses amis trouvèrent vide son tombeau. Aujourd'hui Il est probablement assis à la droite du [[Dieu|Père]] au [[paradis]] en train de dealer de l'herbe en cachette à [[Jésus]], [[Bouddha]], [[Bob l'éponge]] ou [[Francis Lalanne|Serge Gainsbourg]].
== Engagement politique ==
{{Savoir|Il a eu beaucoup d'enfants, la moitié des enfants de [[Jamaïque]] ont été engendrés par Bob Marley. L'autre moitié a été engendrée par le prince [[Albert, un singe parmi les Hommes|Albert II]] de [[Monaco]].}}
En dehors de la musique, Bob eut bien d’autres intérêts : un jour en se regardant dans un [[miroir]] il découvrit qu’il était [[noir]]. Tout en sirotant un [[Curaçao bleu|daïquiri]] sur le balcon de sa luxueuse villa de [[Miami]], il décida de se consacrer à ses frères vivant dans la pauvreté. Il apprit l’histoire de l’[[Afrique]] en regardant un documentaire de la chaine [[TF1|Téva]], la compris un peu, et commença à propager la nécessité pour les noirs d’Amérique de quitter cette civilisation décadente, les voitures, la [[Basket-Ball|NBA]] ou [[McDonald's]] pour retourner en [[Éthiopie]] faire paître des [[Bouzkachi|chèvres]]. Malgré les bras d’honneurs qui s’élevèrent contre ce projet dans tout le [[Bien vivre sa mort|Bronx]], Marley finit par y devenir un vrai leader politique. Il acheta plein de postes de télévisions et les utilisa pour répandre son message, glorifiant l’image de [http://fr.wikipedia.org/wiki/Hail%C3%A9_S%C3%A9lassi%C3%A9_Ier Hailé Selassié], l’ancien négus d’[[Éthiopie]] qu’il présenta comme le [[Adolf Hitler|Führer]] idéal des peuples africains et ce même si Selassié est la cible de moqueries dans le monde entier pour avoir été le chef de l’unique nation vaincue par l’armée [[Italie|italienne]] de [[Benito Mussolini|Mussolini]] !!!<ref>Mussolini n’a même pas réussi à battre l’armée française en 1940, c’est dire !</ref>
Galvanisé par ses paroles, des milliers de noirs quittèrent leurs foyers et s'entassèrent sur des [[Porte-avions Clemenceau|bateaux délabrés]] vers l'Afrique où ils furent [[Archimède|coulés]], fusillés ou massacrés à la machette par les gouvernements locaux aux cris de : ''Allez vous faire foutre sales nègres ! On en a bien assez ici !''
Pendant ce temps, Bob pondait chanson sur chanson dédiée aux problèmes du continent noir, parmi lesquelles ''Colonazination'', qui apportait des preuves [[La Belgique fondée par les Égyptiens : preuves irréfutables|irréfutables]] que tous les problèmes de l’Afrique étaient dû aux blancs, cet infect cancer leucodermique<ref> pour reprendre les mots de [[Cheikh Anta Diop]]</ref>, et que quand les noirs auraient à nouveau le pouvoir seul, le continent redeviendrait prospère et pacifique. Une thèse totalement vérifiée depuis :
* Par les politiciens démocrates noirs qui ont fait de leur nation un espace de paix et de liberté comme Mobutu au Congo, Charles Taylor au [[Liberia]], Gbagbo en [[Côte d'Ivoire]], Omar al-Bashir au [[Soudan]] etc…
* Par les nombreuses marques pacifiques d’affection que les peuples africains de différents groupes ethniques se sont fait au fil des années : Hutu et Tutsi, éthiopien et érythréen, congolais et [[Nain de jardin|pygmées]]…
* Par des pays paisibles comme le [[Sierra Leone]], où on dénombre une guerre civile par jour.
* Au Liberia, où à 11 ans tu es déjà un soldat meurtrier multirécidiviste (si tu a survécu jusque là)
* Des nations pacifiques comme l’[[Angola]] qui a une machette sur son drapeau, tandis que le [[Mozambique]] a préféré la [[Kalachnikov]].
[[Image:Bob Marley amsterdam.jpg|230px|right|thumb|Bob en croisade à [[Quartier Rouge|Amsterdam]], après avoir exagéré sur les tulipes hallucinogènes.]]
Nul doute que ce [[Albert Einstein|génial]] visionnaire de Marley pensait à tout cela quand il chantait ''Africa United''.
Son engagement sans faille a valu à Bob de belles reconnaissances publiques : en 1990, le musicien reçut un coup de téléphone du secrétaire de l’ONU d’alors, Kofi Annan, qui lui présenta immédiatement ses excuses pour avoir fait un mauvais numéro. Quelques années plus tard Nelson Mandela en personne lui a rendu hommage, désignant Marley comme ''Le plus gros trou du cul fumant du Monde''.
== Engagement religieux ==
Entretemps, surfant sur la vague de son succès politique, Bob pris la décision de faire dévier son combat vers le mystique. Après s’être documenté sur [[Wikipédia]], sur ce qu’étaient les principales [[religion]]s et leurs dieux, il constata qu’aucun ne lui arrivait à la cheville. Il décida de créer sa propre [[Chamanisme iakoute du Dieu Poney|religion]] par l’intermédiaire de ses chansons. Un peu de [[Bible]], une pincée d’Évangile, un soupçon de [[Coran]], épicé d’une pointe de [[Vaudou]] jamaïquain, le tout fondu dans un culte centré sur l’adoration de la vierge et pure [[Cannabis|Marie-Jeanne]], [[Ta mère|mère]] de tout les rastas. Il choisit comme [[Mythologie basque|divinité]] suprême son père [[Dieu|Jah]] et surtout promulgua 360 jours de fêtes religieuses par an, bien entendu [[Chômage|chômé]]. Il s’autoproclama premier et unique prophète de ce nouveau culte qu’il baptisa [[Pastafarisme|Rastafarisme]]. Il se mit à porter un [[Chaposaurus Rex|chapeau]] bizarre<ref>mais quand même pas aussi drôle que ceux de [[Benoit XVI]] ou grotesque que [[Geneviève de Fontenay|Madame de Fontenay]]</ref> et alla prêcher dans le [[Désert de Gobi|désert]]. Il rentra bien vite en ville car il n'avait vu personne dans ce putain de désert. Épuisé, il s’enferma dans une fumerie d’[[opium]] 40 jours durant pour se ressourcer mais maintenant son culte était crée.
Dix bonnes raisons pour lesquelles tu dois devenir un [[Rasta|rastafari]] :
{{Savoir|Il était un grand ami de [[Che Guevara]], ensemble ils s’amusaient à parier sur celui qui parviendrait à rouler le plus d’[[Kévin|adolescents]] et de paumés.}}
# Tu ne te fais plus chier à penser à l’avenir, Jah l’a déjà prévu pour toi.
# Ganja ! Ganja ! Ganja !
# Tu n’a plus besoin de te laver les cheveux.
# Tu peux te promener avec des vêtements voyants et colorés et un chapeau à la con sans passer pour une sale [[Homosexuel|tapette]].
# Les [[SDF|laveurs de vitre]] au feu rouge ne te mendient plus rien parce qu’ils pensent que tu es plus pauvre qu’eux.
# Fais gaffe car après ton 10ème pétard en une heure, tu leur donneras spontanément ta [[Citroën BX|caisse]].
# Les [[témoins de Jéhovah]] te [[Comment se débarrasser des Témoins de Jéhovah ?|fuient]].
# Le dimanche pas la peine de te faire chier à l’église.
# Les prêtres rastafariens sont trop camés et malades pour te harceler ou te faire la morale.
# La vie est plus [[Plus belle la vie|belle]] lorsque tu es drogué du soir au matin, du matin au soir.
== Discographie ==
* Catch a Fire (1973): les terribles souffrances d’un Rastaman qui se retire 40 jours dans le désert pour méditer avec 50 kilos de shit et qui découvre qu’il a oublié son briquet.
* Rastaman Big Vibration (1980): La [[Rocco Siffredi|raison]] pour laquelle des tas de vieilles filles de 50 ans vont passer leurs vacances en [[Jamaïque]].
* Revoluzion, Legalize ! (1988): en trio avec Che Guevara et Doc Gynéco.
* Survival (2002): La dure vie d’un rasta qui déménage à Kaboul.
* No Woman, No Cry ! (2005) Son chef d’œuvre ultime remixé avec des cris de [[Principes de justice iranienne|torturés]] [[Iran|iraniens]] ou [[Afghanistan|afghans]].
== Notes et références ==
<references />
[[Image:Bob Fumiste.jpg|260px|center|thumb|Allez une petite dernière pour la route, ''Hasta Siempre'', Marie-Jeanne!]]
{{Lien vers portail|Musique|Tour de Babelfish|Biographie|Irreligion}}
{{DEFAULTSORT:Marley,Bob}}
[[Catégorie:Chanteur]]
[[Catégorie:Noirs célèbres]]
[[Catégorie:Religion]]
[[Catégorie:Philosophe]]
[[de:Bob Marley]]
[[en:Bob Marley]]
[[es:Bob Marley]]
[[fi:Bob Marley]]
[[he:בוב מארלי]]
[[it:Bob Marley]]
[[no:Bob Marley]]
[[pl:Bob Marley]]
[[pt:Bob Marley]]
<noinclude><poll>Qu'avez-vous pensé de Bob Marley?
Un grand homme (Parfait)
un homme brillant (Poilant)
Un bordélique (A retravailler)
Un fumiste (A effacer)
Jé rien conprit</poll></noinclude>
{{Traduit|it|Bob Marley}}
{{VBO}}
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